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Sommes nous des marionnettes ?

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Image provenant de : http://lesmotsdelau.l.e.pic.centerblog.net/9ed9b6f1.gif 

 

 Combien de temps encore nos décideurs vont-ils jouer avec nous  avant que  nos fils cassent ?


 Le 21.11.2010, dans ma note  « Retraite, a-t-on joué de notre ignorance ? » je m’exprimais sur la manière dont  les hommes politiques, les syndicats c’était moqué de notre crédulité…Et bien ce n’est pas terminé.


 A travers la planète, le peuple subit les effets de ces marionnettistes et bien sur à qui présentons nous la facture ?
A nous!
 


Voici un extrait de :

La Une des Échos du mercredi 1er septembre  

« Impôts : l’avertissement de Parisot au gouvernement »

 Le soutien massif des États à l’économie a permis d’éviter le pire. Cela se traduit par une forte dégradation des comptes publics. Le déficit public de la France a atteint 7,9 % du PIB en 2009, soit un niveau record de 138 milliards d’euros. »


 Par comparaison, rappelons que les 40 entreprises composant l’indice CAC ont réalisé un bénéfice net de 46 milliards d’euros en 2009… 


Et en 2010 ?


  Tout va très bien pour les stars du CAC 40 : 42 milliards d’euros de bénéfices au premier semestre, soit un quasi-doublement des profits par rapport à 2009. De son côté, le déficit public – celui qui pèse sur nos épaules en tant que citoyens – ne devrait guère s’améliorer, loin de là : 115 à 130 milliards prévus en 2010.


  Ce doublement des profits profite-t-il à la France et aux Français ?


 Contrairement à ce qui est souvent affirmé, hausse des profits des sociétés du CAC 40 ne signifie pas amélioration de la situation de l’emploi en France, au contraire : une usine qui ferme en France pour s’installer dans un pays à bas salaires, c’est avant tout plus de bénéfices pour l’entreprise concernée et, globalement, un transfert de richesse supplémentaire du « travail » vers le « capital ».

 

 Impôts : l’avertissement de Parisot au gouvernement 


La présidente du MEDEF menace d’accélérer les licenciements si les prélèvements sociaux remontent.  

 

Elle explique comment l’État doit s’y prendre pour retrouver l’équilibre des comptes et surtout fixe le cap des « réformes » : « Pour réduire les dépenses, il faut continuer les réformes structurelles. Nous sommes au milieu du gué pour celle des retraites. Il faudra ensuite lancer très vite celle de l’assurance maladie. »

  

  Source : ici          

 

Après les emplois fictifs, les notes de frais somptuaires avec de l'argent de la médecine du travail voir note  du 17.11.2007  Le MEDEF impose sous forment de chantage que la dette de la France soit réglé par les petits gens.

  

 Alors…
en attendant que chaque organisme public soit privatisé,

voici

une réforme passée inaperçu.

  

Salariés : nouveau calcul des indemnités journalières à partir du 1er décembre 2010

  

 A partir du mercredi 1er décembre 2010, le montant des indemnités journalières (IJ) maladie, maternité, paternité, adoption, accident du travail ou encore maladie professionnelle doit être revu à la baisse, les modalités de calcul des IJ étant modifiées.

  

  

Pour les périodes d’indemnisations débutant à partir du 1er décembre, les prestations vont être calculées non plus sur 360 jours mais sur 365 jours (le montant des IJ est égal à un pourcentage du salaire journalier de base).
A compter de cette même date, le montant maximum de l’IJ maladie va également être calculé selon de nouvelles règles, passant, par exemple pour les assurés sociaux ayant moins de 3 enfants à charge, de 48,08 euros à 47,42 euros.

 

 

 

Le décret relatif au mode de calcul des IJ dues au titre de la maladie, de la maternité et des accidents du travail et maladies professionnelles a été publié au Journal officiel du dimanche 31 octobre 2010.

 

Source : ici   

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