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Voici une blague publié en 2005 sur le site revue-républicaine, la chute est terrible.
François Hollande meurt accidentellement...
Il est accueilli au Paradis par saint Pierre qui lui dit : — Bienvenue. Cependant, nous devons régler un petit problème. Nous voyons si rarement des chefs de parti, ici, que nous ne sommes pas certains de ce que nous devons faire de toi. Le Grand Patron veut que tu passes un jour en Enfer et un jour au Paradis. Tu devras ensuite choisir l’endroit où tu voudras passer l’éternité.
— Mais j’ai déjà décidé, je veux rester au Paradis. — Je regrette, mais nous avons nos règlements.
Saint Pierre conduit François Hollande vers un ascenseur qui le conduit en Enfer.
Quand la porte s’ouvre, il se retrouve sur un magnifique terrain de golf tout vert, le soleil brille dans un ciel sans nuages et il y fait un parfait 25 degrés. Au loin se profile un superbe « club house ». A l’avant de l’édifice se trouvent son papa ainsi que Guy Mollet, Charles Hernu et le promeneur du Champ de mars.
Une grande partie de la droite est là aussi ; tous ces beaux personnages s’amusent, heureux et habillés de façon élégante et décontractée (Dior, Versace, Armani, etc.). Ils accourent à sa rencontre, l’embrassent et se mettent à brasser leurs souvenirs d’antan et leurs débats homériques (ha ! ha !).
Ils jouent une partie de golf amicale et dînent au homard et au caviar. Le Diable offre même une consommation glacée.
— Bois donc cette Margarita et relaxe un peu, François !
— Euh, ben, je ne peux plus boire, j’ai fait un serment...
— Voyons, mon garçon, c’est l’Enfer ici. Tu peux boire et manger tout ce que tu veux sans t’inquiéter. À partir de maintenant, ça ne peut qu’aller de mieux en mieux !
François Hollande boit son cocktail et commence à trouver le Diable sympathique. Il est gentil, raconte de bonnes blagues, aime aussi jouer de bons tours, etc. Ils s’amusent tellement qu’ils ne voient pas le temps passer. Arrive pourtant l’heure de partir. Tous ses amis le serrent dans leurs bras et François Hollande prend l’ascenseur qui monte vers le Ciel.
Saint Pierre l’attend à la sortie.
— C’est maintenant le temps de visiter le Ciel, lui dit le vieil homme, en ouvrant la porte du Paradis.
Pendant vingt-quatre heures, François Hollande doit frayer avec Jean Moulin, Jean Jaurès, de Gaulle et toute une confrérie de gens bienveillants qui conversent de sujets beaucoup plus intéressants que l’argent et qui se traitent l’un l’autre avec courtoisie.. Pas un seul mauvais coup ou une seule blague cochonne ; pas de « club house » mirobolant mais un resto ordinaire.
Etant donné que ces gens sont tous pauvres, il ne rencontre aucune connaissance, et il n’est pas reconnu comme quelqu’un d’important ou de spécial ! Pire ! Jésus est une espèce de hippie, un hurluberlu qui ne parle que de « paix éternelle » et ne cesse de répéter ses insipides rengaines : « Chasser les marchands du Temple », « il sera plus difficile à un riche d’entrer dans mon royaume qu’à un chameau de passer par le chas d’une aiguille », etc.
La journée terminée, saint Pierre revient...
— Alors, François, tu dois maintenant choisir.
François Hollande réfléchit pendant une minute et répond :
— Bien, je n’aurais jamais pensé faire ce choix... Hum !... Bon, je trouve le Paradis « intéressant », mais néanmoins je crois que je serais plus à l’aise en Enfer avec mes amis.
Saint Pierre l’escorte alors jusqu’à l’ascenseur et François Hollande redescend jusqu’en Enfer.
Quand les portes s’ouvrent, il se retrouve au beau milieu d’une grande plaine brûlée et stérile, couverte de vidanges et de déchets toxiques industriels.
Il est horrifié d’apercevoir tous ses amis, en guenilles et enchaînés tous ensemble, qui ramassent des déchets pour les mettre dans des grands sacs noirs. Ils gémissent de douleur, se plaignant de leur supplice, leurs mains et leurs visages noirs de saleté.
Le Diable s’amène, mettant son bras velu et puant autour des épaules du nouveau.
— Je ne comprends pas, balbutie François Hollande en état de choc, lorsque j’étais ici hier, il y avait un terrain de golf et un « club house » ; nous avons mangé du homard et du caviar et nous nous sommes soûlé. On s’est envoyé en l’air comme des lapins et on s’est tous follement amusés. Maintenant, je ne vois qu’un désert rempli d’immondices et tout le monde a l’air misérable.
Le Diable le regarde, lui sourit sournoisement et lui susurre à l’oreille :
— Hier nous étions en campagne électorale ; aujourd’hui, tu as voté pour nous !
Qu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet tout
Mais qui est ce qui m'a dit que demain nous aurions la parole ?
Je ne me souviens plus c'était tard dans la nuit,
J'entends encore la voix, mais je n'vois plus les traits
"Il vous le promet, alors pourquoi en douter, lui dites pas qu'j'vous l'ai dit"
Tu vois quelqu'un m'a dit...
Que demain nous aurions la parole,
Me l'a t'on vraiment dit...
Que tu nous serions consulté,
Serait-ce possible alors ?
On me dit que nos vies ne valent pas grand chose,
Elles passent en un instant comme fanent les roses
On me dit que les partis sont des salauds
Que de nos tristesses ils s’en font des manteaux,
Pourtant quelqu'un m'a dit…
Que demain nous aurions la parole !
Serait-ce possible alors ?
Inspiré par Carla Bruni
Dorénavant avant de faire un discours d’un montant de 58 000 euros la minute payé par les français, nous serons peut être consulté ?
Le saviez-vous ?
Challenge : N° 287 du 09 au 15 février 2012.
Cout D’Etat : extrait du livre « L’argent de l’Etat » par René Dosière
Novembre 2009, un rapport consacré à la présidence française de L’union Européenne, restera comme le citait le président de la cours des comptes Philippe Séguin : Une forme de record, par son ampleur, le caractère irrégulier de procédures suivies et son impact massif sur les finances publiques.
Cout total pour une conférence de 3H : 16.6 millions d’euros soit 58 000 euros la minute.
Lieu du sommet :
Grand Palais
Aménagement du lieu :
-Installation d’une climatisation : 653 703 euros
-Pose d’un plancher surélevé : 301 208 euros
-Décoration de l’entrée :95 155 euros
-Salle de conférences (16 monolithes et jardinières) :194 977 euros
-Réalisation d’un fond de scène : 136 895 euros
-Plus 8 salles d’entretiens bilatéraux avec douche attenantes
-1 Bureau pour le président avec également 1 douche attenante afin de la rendre utilisable : installation 1 ballon d’eau + 1 réceptacle d’eaux usées (qui n’a pas servi);
Équipé de :
*Siège rétractable
*Jets multifonction
*Lecteur CD
*Radio FM
Vous vous demandez certainement : « Qu’est il devenu le Grand Palais et son aménagement ? » un lieu visitable, tel un musée ?
Eh bien, vous êtes assis …ce lieu dont les aménagements nous ont couté 16.6 millions d’euros a été totalement démonté du sol au plafond les jours suivants : Rien n’est resté, pas le moindre bout de moquette n’est laissé !
CONSPIRATION DU SILENCE _ Extrait du discours de M. Philippe Séguin le 5 mai 1992.
M. Philippe Séguin fut l’une des plus fortes personnalités qui ont animé le juste combat contre le Traité de Maastricht. « L’Europe que l’on nous propose n’est ni juste, ni libre, ni efficace. Elle enterre la conception de la souveraineté nationale et les grands principes issus de la Révolution : 1992 est littéralement l’anti 1789 » Philippe Séguin.
Traité européen : qui fut rejetée par référendum en France le 29 mai 2005 (55 %) et aux Pays-Bas le 1er juin 2005 (61 %).
Que s’est-il passé ?
Du référendum de 2005 à la ratification de 2008
Les Non de 2005 provoquent une crise qui interrompt ce scénario idéal, sans qu’il soit question de redéfinir le projet : ceci n’a jamais été envisageable.
La « crise de l’Europe » ne résidait finalement pas dans le choix d’une orientation institutionnelle et politique, mais n’était qu’une péripétie passagère à laquelle il convenait de remédier.
Pourtant, aucun nouveau texte ne fut proposé avant l’été 2007, et ceci pour deux raisons :
1. Le calendrier électoral français, Jacques Chirac ne pouvant revenir sur le verdict des urnes, ce rôle était donc dévolu à son successeur. Nicolas Sarkozy promit de tenir compte du vote du 29 mai et proposa « un traité simplifié pour rassembler les mesures qui font consensus dans la Constitution de Valéry Giscard d’Estaing » qui serait ratifié par voie parlementaire.
2. Il fallait prendre le temps d’élaborer ce traité sur le principe suivant : « Toutes nos propositions seront dans le nouveau texte, mais cachées ou déguisées. »
Ainsi l’UE maquille la Constitution Giscard qu’elle se refuse à abandonner pour en faire le traité de Lisbonne.
La méthode « consiste à vouloir conserver une partie des innovations du traité Constitutionnel et à les camoufler en les faisant éclater en plusieurs textes. Les dispositions les plus innovantes feraient l’objet de simples amendements aux traités de Maastricht et de Nice.
Les améliorations techniques seraient regroupées dans un traité devenu incolore et indolore.
L’ensemble de ces textes serait adressé aux Parlements, qui se prononceraient par des votes séparés. Ainsi l’opinion publique serait-elle conduite à adopter, sans le savoir, les dispositions que l’on n’ose pas lui présenter en direct.
Cette supercherie permet de contourner les peuples réticents, procédé qui jette rétrospectivement un voile de suspicion sur les étapes précédentes de l’intégration européenne. Car, comme l’a dit José-Manuel Barroso, « Si on avait organisé un référendum sur la création de la Communauté européenne ou sur l’euro, vous croyez vraiment que ce serait passé ? »
Avec ce genre de méthode, la ratification française n’était plus qu’une formalité une fois Nicolas Sarkozy élu et disposant d’une majorité au Parlement, puisque « Les modifications ont été conçues pour permettre à certains chefs de gouvernement de vendre à leur peuple l’idée d’une ratification parlementaire, plutôt que par référendum. »
Les étapes suivantes du processus s’enchaînent sans difficultés : le 13 décembre 2007, le Traité est signé par les chefs d’État des vingt-sept à Lisbonne ; la France est le cinquième pays à le ratifier.
Pour répondre aux évolutions des crises internationales, Mme ALLIOT-MARIE a proposé que l'Espagne, l´Italie, le Portugal, les Pays-Bas et la France qui disposent de forces de police à statut militaire, travaillent ensemble à la création d'une Force de gendarmerie européenne (FGE) en mesure d'effectuer des missions de sécurité publique au profit d'une force militaire.
La création de cette force a été approuvée par la déclaration d'intention signée par les différents ministres de la défense à NOORDWIJK (Pays Bas) le 17 septembre 2004.
La FGE est ainsi en mesure d’intervenir à tous les stades d’une crise, de la guerre à la paix : lors de la phase militaire, dans le sillage des forces armées ; en phase de transition ou lors d’une crise de moyenne intensité ; une fois le théâtre stabilisé, sous l’autorité civile internationale.
La FGE, qui ne comporte que des forces de police à statut militaire placées soit sous commandement civil, soit sous commandement militaire, permet également de valoriser le modèle français de gendarmerie, tant vis-à-vis des autres membres que de nos partenaires européens dans leur ensemble.
Riche des compétences des gendarmeries qui la composent et forte de leur expérience des opérations extérieures et de la coopération internationale, la FGE offre un outil intégré, qui couvre la totalité du spectre des missions de police : maintien de l’ordre, sécurité publique, police judiciaire recherche et exploitation du renseignement. Elle peut se substituer aux forces de police locales défaillantes, ou bien les renforcer en les accompagnants par des actions de formation et de tutorat.
Tunisie : les propos "effrayants" d'Alliot-Marie suscitent la polémique
La police de Mme ALLIOT-MARIE
Eurogendfor résout divers problèmes pour les gouvernements européens. A l’avenir, ils pourront, lors de troubles sociaux ou de manifestations majeures de longue durée, utiliser des armes à feu contre leurs populations, mettre des zones entières sous quarantaine militaire et retirer les meneurs de la circulation sans avoir à engager leurs propres forces militaires ou policières qui pourraient éventuellement se solidariser avec les manifestants.
Ils ont également tenté d'incendier un autre drapeau avec une croix gammée. La police antiémeute est intervenue et a tiré des gaz lacrymogènes pour disperser la foule en colère
Aujourd’hui ce sont les grecques mais ne vous faites pas d’illusion demain c’est notre tour !
Tant que nous serons sous le pouvoir de L’Union Européenne, peut importe qui sera élu, le pouvoir ne se trouve pas en France mais à l’union européenne avec le traité de Lisbonne et en 2015 domination USA grâce au marché transatlantique voté par le FN entre autre.
"Et que nous allons mettre dehors tous ces menteurs,
Serait-ce possible alors ?
Que demain la Gauche, la Droite et le Fn connaissent Pole Emploi
C'est quelqu'un qui m'a dit que
Les français vont voter.
Alors pourquoi en douter, lui dites pas qu'j'vous l'ai dit"
Nos médias ont fait le choix de faire de la pub que pour :
N. Sarkozy, F. Hollande, M. Le Pen, J.L Mélenchon, E. Joly mais saviez vous qu’il en existe beaucoup d’autre mais que l’on ne veut pas mettre en avant afin de ne pas vous inciter à aller voir ailleurs.
Pourquoi nous ne sommes plus en démocratie !
Enquête et Débat vous propose une série (de 10 vidéos, voir plus) de montages vidéo inédits visant à démontrer que nous ne sommes plus en démocratie. Comme vous pourrez le constater, beaucoup de contenus de ces montages seront tirés des vidéos d’Enquête & Débat.
Voici la première vidéo, sur la présélection des candidats.
Le métoclopramide (Primpéran® et génériques) est indiqué chez l'enfant et chez l'adultedans les nausées et vomissements, induits ou non par les chimiothérapies anticancéreuses.
Le risque d’effets indésirables neurologiques, notamment des troubles extrapyramidaux (tremblements, mouvements anormaux de la tête et du cou, etc.) a conduit les autorités de santé françaises et européennes à remettre en cause l’utilisation de ce produit chez l’enfant.
Par ailleurs, à la demande de la France, une réévaluation est en cours au niveau européen concernant son utilisation chez l’adulte.
Depuis le 13 octobre 2011,
le PRIMPERAN et ses génériques
sont contre-indiqué
chez l’enfant en dessous de 18 ans.
Ellea également considéré nécessaire d’élargir la réévaluation de la balance bénéfice/risque chez l’adulte particulièrement chez le sujet âgé, en raison notamment du risque d’effets indésirables neurologiques et cardiovasculaires potentiellement graves.
A compter du 9 février 2012,
Primpéran Nourrissons et Enfants 2,6mg/ml solution buvable
et
Primpéran Enfants 2,6mg/ml solution buvable
seront retirés du marché
La présentation des autres formes sera modifiée afin de les réserver à l’adulte.