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ACTUALITE - Page 58

  • un nouveau Plan Maladies Rares en 2010

     

    Le 30 janvier, a l’appel de la Fédération des maladies orphelines, j’avais lancé un S.O.S pour sauver le des Plan maladies rares.

     

    Aujourd’hui, je me joins à la Fédération des maladies orphelines pour vous dire Merci à vous tous et bravo pour votre mobilisation ! 

     

    196 367 signataires : un nouveau Plan Maladies Rares en 2010



    La pétition lancée en janvier par la Fédération des maladies orphelines pour réclamer un Plan d’amélioration en faveur de la prise en charge des personnes atteintes de maladies orphelines, a recueilli près de 200.000 signatures !

    Grace à votre soutien, le 10 octobre, le Président de la République a annoncé la mise en œuvre d'un second Plan Maladies Rares en 2010.

    Dès la veille, 9 octobre, Madame Bachelot, ministre de la Santé invitait la Fédération des maladies orphelines à une réunion dans les prochaines semaines afin de définir le calendrier et la méthode de travail pour définir les axes de ce prochain Plan.

    Nous avons, tous ensemble, gagné ce combat essentiel pour nous malades et nos proches !

    La Fédération des maladies orphelines met donc un terme au recueil des signatures de la pétition ; et c’est fort de vos si nombreux soutiens qu’elle va participer à la construction de ce nouveau Plan, et à l’accomplissement de toutes les missions en faveur des malades.

     

     

     

    Toutes les infos : http://www.fmo.fr/

     

  • La Cnil refuse le recours aux empreintes digitales dans les établissements scolaires

    Au fil de mes navigations, je découvre cette info datant du 26/09/2008 et j’hallucine !

    Alors à quand le code barre injecté à la naissance ?
    Etrange ce monde dans lequel on vit.
    Pour avoir regardé beaucoup de film de science-fiction et voyant comment la réalité rejoint la fiction, j’ai peur pour les enfants d’aujourd’hui.


    La Cnil dit NON pour le recours aux empreintes digitales dans les établissements scolaires mais fallait-il savoir que la Cnil avait dit OUI pour le contour de la main pour accéder à la cantine.
    Dans une décision rendue publique hier, la Cnil vient de préciser sa doctrine en matière d'utilisation des procédés biométriques* dans les écoles. La Commission nationale informatique et libertés a en effet refusé que soient utilisés des dispositifs recourant aux empreintes digitales pour contrôler l'accès et la présence des élèves dans les établissements scolaires.

    La Cnil motive son refus de deux façons. D'abord, elle juge qu'un tel dispositif ne devrait être utilisé qu'en cas « d'un fort impératif de sécurité ». Or, dit l'organisme, « le contrôle d'accès à un lycée ainsi que le contrôle de présence des élèves n'ont pas pour objet de sécuriser l'accès d'un nombre limité de personnes à une zone bien déterminée, représentant un enjeu majeur dépassant l'intérêt strict de l'organisme ».

    Un risque d'usurpation d'identité existe

    Ensuite, la Cnil considère que l'empreinte digitale est une donnée biométrique « à trace ». Autrement dit, chacun laisse des empreintes sur tous les objets de la vie courante. Celles-ci constituent autant de traces qui « peuvent être capturées à l'insu des personnes et être utilisées notamment pour usurper leur identité. C'est pourquoi leur utilisation doit être strictement limitée et encadrée ».

    Il y a deux ans, la Cnil avait bien autorisé l'usage de la biométrie dans les écoles, mais il s'agissait de contrôler l'accès à la cantine - pour le processus de paiement - et la donnée biométrique utilisée était le contour de la main. Un élément beaucoup plus difficile à capturer, et qui change d'une année sur l'autre. La Cnil avait d'ailleurs exigé, à l'époque, que les données biométriques soient effacées à la fin de chaque année scolaire.

     

    Pour en savoir plus

    - Communiqué de la Cnil : La CNIL dit non aux empreintes digitales pour la biométrie dans les écoles
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    Communiqué de la Cnil : Délibération n°2006-103 du 27 avril 2006 portant autorisation unique de mise en oeuvre de traitements automatisés de données à caractère personnel reposant sur l'utilisation d'un dispositif de reconnaissance du contour de la main et ayant pour finalité l'accès au restaurant scolaire

     

    * La biométrie s'appuie sur des caractéristiques physiologiques qui sont propres à chaque individu - dessin des empreintes digitales, formes géométriques et couleurs de l'Iris, propriétés acoustiques de la voix, etc ... Un patrimoine humain complexe, très riche en combinaisons, et donc parfaitement indiqué pour permettre à un système d'identifier des utilisateurs, et de limiter un accès à ces mêmes personnes.

  • Incroyable Mais Vrai

    Un aveugle âgé de 29 ans, arrêté alors qu'il conduisait en état d'ivresse le véhicule d'un ami installé à ses côtés, a été condamné vendredi à un mois de prison avec sursis et 500 euros d'amende par le tribunal correctionnel de Nancy.

     

    L'homme qui lui avait laissé le volant, également en état d'ébriété au moment des faits, a été condamné à la même peine, assortie d'une suspension de permis de cinq mois.

     

    Les deux hommes avaient été interpellés à Neuves-Maisons (Meurthe-et-Moselle) sur une route départementale peu fréquentée le 25 juillet vers 3H00 du matin par une patrouille de gendarmerie, alertée par les zigzags d'un véhicule roulant à très faible allure.

     

    A la stupeur des militaires, le conducteur leur avait annoncé être aveugle. L'éthylotest avait montré l'alcoolémie des deux hommes.

    "Ca me tenait à cœur. J'ai exprimé ce souhait. Il a cédé. Je ne cherche pas à me défausser", s'est justifié le prévenu, journaliste, à la barre.

    "On s'est laissé avoir par ce moment de complicité. Il y avait du bonheur qui émanait de lui" quand il conduisait, a renchéri le copilote, un photographe de 52 ans qui avait "une main sur le volant, l'autre sur le frein à main" au moment des faits. "J'étais très concentré sur la route", a-t-il ajouté.

    "Vous aviez deux fois le taux d'alcool légal. Ca ne vous rendait pas fiable comme moniteur", lui a rétorqué le président.

     

    Le journaliste aveugle, poursuivi pour conduite en état d'ivresse, défaut de permis de conduire et mise en danger de la vie d'autrui, avait déjà conduit sur circuit, une expérience qu'il avait relatée dans un quotidien régional. Son compère, qui répondait du chef de complicité de mise en danger de la vie d'autrui, avait illustré l'article.