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SANTE : MYOFASCIITE ET SES DERIVES - Page 23

  • Myofasciite à macrophages

    N° Orphanet : http://www.orpha.net

     

       Une nouvelle myopathie inflammatoire, dénommée myofasciite à macrophages, est observée avec une incidence croissante dans les principaux centres de myopathologie français. Depuis son apparition en 1993, plus de 100 cas ont été colligés, principalement en France, par le Groupe d'Etudes et de Recherche sur les Maladies Musculaires Acquises et Dysimmunitaires (GERMMAD). La maladie touche le plus souvent l'adulte, sans prédominance de sexe. La myofasciite à macrophages se révèle généralement par des douleurs musculaires (myalgies), d'intensité variable, notées dans 95% des cas, le plus souvent associées à une fatigue chronique invalidante (90% des cas). Les myalgies prédominent aux membres - notamment inférieurs - et sont souvent aggravées par l'effort. Des douleurs articulaires touchant principalement les grosses articulations périphériques sont notées dans 50 à 60% des cas. Un syndrome fébrile modéré est noté dans 30% des cas. Il n'y a pas de manifestations cutanées, ni de symptomatologie digestive. Le diagnostic repose sur la biopsie musculaire, indispensable, réalisée de façon chirurgicale dans le deltoïde et intéressant le fascia. Elle met en évidence un infiltrat macrophagique focal pathognomonique. Les examens complémentaires ne sont pas toujours contributifs. Une augmentation des enzymes musculaires avec élévation de la Créatine Kinase (CK) est observée dans 30% des cas. L'électromyogramme montre un aspect myopathique chez moins de 30% des patients. La scintigraphie au Gallium révèle des anomalies évocatrices mais non spécifiques. Une origine toxique (vaccins aluminiques) est suspectée, justifiant la réalisation d'une enquête épidémiologique par l'Agence Française du médicament. De nombreux protocoles d'études épidémiologiques, cliniques, fondamentaux et thérapeutiques sont en cours, sous l'égide du GERMMAD, en collaboration avec l'Institut de Veille Sanitaire. *Auteurs : Pr P. Chérin, Dr J. Authier (mai 2001)*.

     

     

    Biopsie musculaire deltoïdienne montrant une infiltration diffuse des espaces conjonctifs intermyocytaires par des macrophages cohésifs non épithélioïdes à large cytoplasme basophile (hématéine-éosine ; x40)

     

  • VACCIN ET ALUMINIUM DANGER !

     
    En ce moment il y a une alerte concernant la méningite, alors une compagne vaccinale a été mise en place en Haute-Vienne.

    Je dis oui à la vaccination non à l’empoisonnement !

    *Le vaccin utilisé est le Neisvac, Non remboursé, Agréé aux collectivités 

    Composition : Neisseria meningitidis gpe C 10 µg
                          Conjugué à l’anatoxine tétanique : 10 µg à 20 µg  
                          Excipients : aluminium hydroxyde, sodium chlorure, eau ppi.

    *Vaccin ne contenant pas d’aluminium : VACCIN MENINGOCOCCIQUE A+C POLYOSIDIQUE, Non remboursé

    Composition : neisseria meningitidis gpe A : polyoside purifié 50 µg
                         neisseria meningitidis gpe C : polyoside purifié 50 µg  
                        Excipients : lactose monohydrate, sodium chlorure, phosphate disodique  dihydrate, phosphate monosodique, eau ppi.

    ALUMINIUM DANGER !!

    Extrait : Mission d’expertise sur la politique de vaccination contre l’hépatite B en France

    Site : www.sante.gouv.fr     

    Ces analyses décisionnelles montrent donc que les bénéfices de la vaccination restent supérieurs aux éventuels risques dans différents scénarios envisagés en fonction de l’importante incertitude entourant certains paramètres comme le taux de sous notification.
    Pour conclure cet état des connaissances sur le rapport bénéfice/risque, il faut noter Cinq points importants :

    1) Le risque, s’il existe, est encouru par tous les vaccinés alors que la protection va bénéficier uniquement à une faible proportion d’entre eux. Mais il est impossible de prédire qui en seront les bénéficiaires.

    2) Le risque d’EAD, s’il existe, est immédiat alors que les risques de complications de l’hépatite sont retardés.

    3) Si on considère qu'il existe un risque d’effet indésirable lié au vaccin, une information précise préalable à la vaccination de l’individu et/ou de ses parents est indispensable, ce qui rend la stratégie de vaccination scolaire peu réaliste.

    4) A risque constant, le rapport bénéfice/risque d'un programme de vaccination au long cours comme celui contre l'hépatite B, se réduit au fur et à mesure que sa mise en oeuvre produit les effets attendus. Ainsi, plus la réduction de l'incidence est élevée (en fonction du temps et l'efficacité de la stratégie vaccinale), moins les bénéfices additionnels futurs de la vaccination seront importants.

    En conséquence toute réévaluation du rapport bénéfice/risque doit prendre en compte dans le calcul du bénéfice la part correspondant à la réduction attendue de l'incidence et celle représentée par le maintien d'une prévalence réduite antérieurement par le programme. Un calcul du bénéfice qui négligerait de comptabiliser les acquis antérieurs conduirait à arrêter sur cette base tout programme qui tendrait vers une éradication de la pathologie. C’est par exemple le cas de la vaccination contre la diphtérie et la poliomyélite.

    Autres effets secondaires notifiés après vaccination contre l’hépatite B

    Plusieurs autres effets secondaires ont été notifiés après vaccination contre l’hépatite B : mort subite du nourrisson, aplasie médullaire, lupus érythémateux disséminé, autres maladies auto-immunes, myofasciite à macrophage.

    Nous avons choisi de ne pas consacrer un chapitre important à ce sujet, parce que nous avons fait, à l’instar de la dernière réunion de la Commission Nationale de Pharmacovigilance consacrée à ce sujet, le constat qu’à l’exception de la SEP , aucun signal de pharmacovigilance n’était suffisamment fort pour mériter d’être pris en compte dans une analyse bénéfice risque. De plus, du fait de la taille considérable de la population vaccinée, de la prévalence relativement élevée de ces affections dans la population rejointe et de la difficulté à définir une fenêtre de temps à risque après l’injection d’une dose de vaccin, l’argument de concomitance de survenue lié au hasard pourrait s’appliquer à presque tous ces effets secondaires. La seule étude (non encore publiée) est celle que M.Sturkenboom et al ont mené en Angleterre sur la base de données GPRD selon une méthodologie proche de celle détaillée précédemment. Cette étude a notamment étudié les associations pouvant exister entre le vaccin anti-hépatite B, plusieurs autres vaccins (rougeole, oreillons, hépatite A, DTP, BCG, grippe, méningocoque) et plusieurs affections auto-immunes, notamment polyarthrite rhumatoïde, lupus et maladie de Basedow. Pour l’ensemble des vaccins, cette étude ne met pas en évidence d’association statistiquement significative hormis pour le lupus et le vaccin anti-hépatite B dans le sous-groupe des sujets de plus de 40 ans (odds ratio=2,6 ; intervalle de confiance à 95% =1,1 ; 6,0).

    Dans le cas de la myofasciite à macrophage, c’est l’adjuvant constitué d’hydroxyde d’aluminium qui serait en cause.

    Voir également : Evaluation des risques sanitaires liés à l’exposition de la population française à l’aluminium 

    Site : http://agmed.sante.gouv.fr/

    Les effets cliniques avérés de l’aluminium sur la santé humaine ont toujours été observés dans des situations engendrant une forte accumulation d’aluminium dans l’organisme, un contact direct avec du sang ou des structures nerveuses. Dans ce cas, les effets décrits sont essentiellement neurologiques et osseux. Cependant, à partir de l’ensemble des données disponibles, rien ne permet à ce jour d’affirmer que l’exposition à l’aluminium par l’eau, les aliments ou les produits de santé aux doses habituellement consommées par la population française soit associée à une augmentation de risque pour la santé.

    Toutefois, à ce jour, l’évaluation des risques sanitaires liés à l’exposition à l’aluminium se heurte à un certain nombre de difficultés, liées à la fois à la mesure de l’exposition à l’aluminium et à la mauvaise connaissance de la cinétique, métabolisme et toxicité des différentes formes chimiques de l’aluminium. Par ailleurs, les principales pathologies mises en cause présentent des difficultés d’analyse épidémiologique. A partir de l’expertise scientifique mise en place par les trois agences de sécurité sanitaires et en l’état actuel des connaissances, un certain nombre de recommandations peuvent être formulées.

    Conclusion : A vous de voir et faites ce qui bon vous semble mais ne dites pas par la suite si j'avais su!!!

  • FIBROMYALGIE, SYNDROME DE FATIGUE CHRONIQUE ET MYOFASCIITE À MACROPHAGES

    Publié par Dr Sylvain Desforges,

    Site : http://www.drdesforges.com/smartsection+item.itemid+19.htm

      FIBROMYALGIE, SYNDROME DE FATIGUE CHRONIQUE ET MYOFASCIITE À MACROPHAGES

    1- FIBROMYALGIE ET SYNDROME DE FATIGUE CHRONIQUE

    Symptômes identiques dont les principaux sont : douleurs musculaires et articulaires, fatigue chronique et atteinte de la sphère cognitive, notamment mémoire et attention. La kyrielle des autres symptômes est également identique.

    Ces deux syndromes entraînent une perturbation du système immunitaire.

    Les seules différences trouvées dans un document est que :

    Dans le cadre d’une fibromyalgie, c’est la douleur qui entraîne la fatigue alors que dans celui du Syndrome de Fatigue Chronique, c’est la fatigue qui entraîne la douleur. " Comment faire la différence, sachant que les deux interviennent en même temps ? "

    L’exercice physique améliore l’état des personnes souffrant de Fibromyalgie alors qu’il augmente la fatigue pour celles souffrant d’un SFC.

    Pourtant malgré les très nombreux témoignages, je n’ai pas encore trouvé de personnes diagnostiquées " Fibromyalgiques "' ayant un soulagement avec l’exercice, c’est plutôt l’inverse…. ? Par contre, il en faut un minimum pour éviter la fonte musculaire.

    Les patients souffrant de FIBRO ou de SFC sont en majorité des personnes atteintes de myofasciite à macrophages, hormis celles qui ne connaissent pas cette maladie (ou leur médecin) et se contentent du diagnostic

    2 - LA MYOFASCIITE A MACROPHAGES

    Les symptômes sont exactement les mêmes que ceux de la Fibromyalgie et le Syndrome de Fatigue Chronique, ainsi que ceux du Syndrome de la Guerre du Golfe et différentes myosites.

    La Myofasciite à Macrophages touche les patients vaccinés par certains vaccins contenant de l’hydroxyde d’aluminium et la lésion provoquée par l’aluminium est encore visible trois ans après la vaccination et parfois huit ans après .

    On décèle cette lésion au point d’injection du vaccin (deltoïde) en pratiquant une biopsie musculaire.

    Malheureusement, il n’existe que 4 centres en France qui peuvent pratiquer cette biopsie (Paris, Créteil, Marseille et Bordeaux).

    Il est important de savoir que la norme européenne pour le seuil d’aluminium à ne pas dépasser est de 15 mg/litre. Or, les vaccins souvent réalisés (DTCP, HA, HB) = 650 à 1250 mg / litre . Un enfant qui suit les vaccinations obligatoires se retrouve avec 8000 mg d’aluminium dans le corps avant l’âge d’un an .

    Sachant que les anticorps ne sont pas à maturité et qu’il y a risque d’un déficit immunitaire, on peut imaginer facilement qu’il pourra contracter une maladie dans les années à venir. Comme il s’agit d’un enfant, cela évolue très rapidement et l’on constate aujourd’hui qu’il y a une "flambée" d’enfants vaccinés déclarent des Scléroses en Plaques.

    Pour en revenir à la Myofasciite à Macrophages, 30 % des Myofasciites à Macrophages sont associées à une maladie autoimmune, le plus souvent une Sclérose en Plaques.

    Source : CRI-VIE www.innovationsanté.com

    Historique de la Myofasciite à Macrophages

    • Mai 1993 : Docteur Michelle COQUET Neuropathologiste observe le premier cas Français. Une biopsie musculaire pratiquée chez une femme suspectée de polymyosite montre des lésions jamais publiées en pathologie musculaire. Une première publication américaine antérieure avait déjà observé cet aspect histologique particulier (1982. MRACK).
    • Décembre 93 : Ce cas est présenté à la Société scientifique Française de Neuropathologie à Paris. Personne n’avait vu de telles lésions.
    • 1994 : Professeur Romain GHERARDI, chef du service d'histologie de l'hôpital Henri-Mondor, à Créteil (Val-de-Marne). Groupe d'Etude et de Recherche sur le Muscle et le Nerf (GERMEN) observe un deuxième cas.
    • 1995 : 2 nouveaux cas (Bordeaux et Créteil).
    • 1996 : Réunion sous l’égide de l’Association Française des Myopathies des médecins ayant observés des cas identiques : Fardeau (Institut de Myologie), Coquet ( CHU Bordeaux ) Ghérardi ( CHU Créteil ), Pellissier ( CHU Marseille ), Mussini ( CHU Nantes ) : tous les cas montrent les mêmes lésions histologiques (amas de macrophages dans fascia et muscle contigu) et ultrastructurales (inclusions en aiguilles dans les macrophages). Un tableau clinique commun se dégage des observations : douleurs musculaires et articulaires, fatigue intense. 
      On ne connaît pas la nature des inclusions observées en microscopie électronique. A la demande de l’Association Française des Myopathies, un groupe de travail est créé par le Pr Patrick Chérin, clinicien en médecine interne à la Pitié-Salpétrière , dénommé GERMMAD (Groupe de Recherche sur les Maladies Musculaires Acquises et Dysimmunitaires), qui en assure la présidence. 
      Ce groupe de recherche associe des cliniciens, des histologistes et des immunologistes. Compte tenu de l’apparition de nouveaux cas, une réunion du GERMMAD se tient à Paris, spécifiquement dédiée à cette nouvelle myopathie. Le nom descriptif de 'myofasciite à macrophages' est proposé et accepté par le groupe. 
    • 1998 : Parution de l’article du ' Lancet '. A l’époque on ne connaissait toujours pas la nature des inclusions, on pensait qu’il pouvait s’agir d’une nouvelle maladie d’origine virale, bactérienne ou toxique. La nature des inclusions macrophagiques est trouvée par Philippe Moretto du CNRS à Bordeaux, grâce à une technique mise au point par lui au centre de recherche nucléaire de Bordeaux-Gradignan: c’est de l’aluminium. Les dosages d’aluminium dans le sang et les urines sont normaux (Pr Patrick Chérin, Pitié-Salpétrière), évoquant une intoxication locale.Romain Ghérardi ( CHU Créteil ) pense que cet aluminium est d’origine vaccinale.Jérôme Authier ( CHU Créteil ), reproduit les lésions de la Myofasciite à Macrophages chez le rat en injectant du vaccin contre l’hépatite B. 
    • Septembre 1999 : Réunion à l’OMS à Genève : Membres du GERMMAD : le Président Pr Patrick CHERIN, Hôpital Salpétrière , le Pr Ghérardi et le Dr Coquet, ainsi que des représentants de l’Institut de Veille Sanitaire (Malfait Levy-Bruhl) étaient présents, ainsi que les représentants de nombreux pays(USA, Afrique du Sud, Inde, Angleterre, Allemagne, Suisse) et les représentants des 2 laboratoires fabriquant les vaccins : Pasteur-Mérieux et MSD (Marck Sharp & Dahme). 
    • Juin 2000 : Deuxième réunion à l’OMS avec la même équipe. Le Pr Patrick CHÉRIN présente ses résultats sur les scintigraphies au GALLIUM dans la Myofasciite à Macrophages, au cours d'une étude comparative. Le Pr Romain Ghérardi émet l’hypothèse d’une analogie entre Myofascite à Macrophages et certains syndromes de la guerre du golfe qui pourraient être dus à l’aluminium des vaccins. 
    • 2001: Publication dans THE BRITISH JOURNAL BRAIN avec les conclusions de tous les travaux de recherche des centres de Neuropathologie de Créteil et Bordeaux et de l’Institut de Myologie de la Salpetrière. La publication démontre la présence d’aluminium, son origine vaccinale, la reproduction des lésions chez le rat et les relations avec la clinique. 
    • 2002 : Mise en place d’une étude épidémiologique exploratoire de la Myofasciite à Macrophages financée par l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé. (enquête en cours en juin 2002).

    Depuis son apparition, environ 350 cas ont été colligés en France. Cette description rapportait l'apparition d'une nouvelle myopathie inflammatoire, enregistrée avec une incidence croissante dans les principaux centres de myopathologie français et dénommée myofasciite à macrophages (MMF).

    À CE JOUR : Il se diagnostique en moyenne et au minimum 6 myofasciites par semaine sur les 4 centres officiels. CRETEIL, SALPETRIERE, BORDEAUX, MARSEILLE.

    La myofasciite à macrophages représente une nouvelle entité émergente au sein des myopathies et des fasciites inflammatoires. Elle ne correspond à aucune des histiocytoses antérieurement décrites ou aux maladies de surcharge macrophagique connues.

    Professeur Patrick CHÉRIN., Hôpital Salpétrière Président du GERMMAD

    Docteur Michelle COQUET, CHU DE BORDEAUX

    Professeur Romain GHERARDI, chef du service d'histologie de l'hôpital Henri-Mondor, à Créteil (Val-de-Marne). Groupe d'Etude et de Recherche sur le Muscle et le Nerf (GERMEN)

    Professeur Jean-François PELLISSIER, chef du service d'Anatomie Pathologique et de Neuropathologie de l'Hôpital de la Timone à Marseille. Groupe de recherche LBNM (Laboratoire de Biopathologie Nerveuse et Musculaire -EA 3281)

    Docteur François-Jérome AUTHIER, Hôpital Henri-Mondor, à Créteil (Val-de-Marne)

    Source: Association E3M