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SANTE : MYOFASCIITE ET SES DERIVES - Page 21

  • vaccination contre l’hépatite B

    Mes Voyages sur la toile m’ont emmené aujourd’hui à visiter le Centre international d’information, recherches et études sur les troubles du métabolisme et du comportement.

     

    Voilà un extrait d’article que l’on peut lire sur le site :

    Les conclusions bouleversantes du Dr Marc Girard. Expert en pharmacovigilance et pharmacoépidémiolocjie (Médicament et Recherche biomédicale) près la Cour d’Appel de Versailles


    « Le 14 novembre 2002, la parution d’un rapport d’expertise judiciaire, commandé par le juge Marie-Odile Bertella-Geffroy qui instruit depuis plusieurs années le dossier du vaccin contre l’hépatite B, a fait la une de la presse française. Basé sur des documents saisis à l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé et au centre de Pharmacovigilance de Strasbourg, ce rapport accablant de 450 pages dénonce les incohérences et défaillances notoires de cette campagne qui a coûté 10 milliards de francs.
    L’expert, le Dr Marc GIRARD, a découvert un rapport de la Direction Générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 ». (Cité par S.Simon)

      

    Pour le Dr Marc GIRARD :

     « Des observations cliniques et épidémiologiques convergentes ainsi parues dans la littérature internationale, il ressort que pour des raisons encore mal déterminées, la vaccination contre l’hépatite B semble avoir une propension toute particulière à déclencher des réactions d’expression très variables : (affections démyélinisant, lupus, maladies rhumatismales, troubles rénaux ou hématologiques...) ; mais dont le point commun est qu’elles sont toutes susceptibles d’être liées à une réaction dysimmunitaire mettant notamment en jeu des phénomènes d’auto-immunité…

     Il semble que le risque de pathologie auto-immune fié à la vaccination contre l’hépatite B soit encore mieux documenté que celui des complications neurologiques...

    (. .) Catastrophe sanitaire probablement d’une ampleur sans précédent dans notre pays.

     « L’affaire » de la vaccination contre l’hépatite B se ramène pour l’essentiel à une disproportion caricaturale entre un bénéfice prévisible- infime- et un risque objectivement encouru...

    Alors qu’une exigence toute particulière d’information aurait dû gouverner un projet collectif aussi dépourvu de bénéfice individuel crédible, les responsables ont accumulé les dissimulations, voire les falsifications scientifiquement caractérisées...

    Un essai de bilan chiffré aboutit à considérer que pour un espoir théorique de quelques centaines de complications évitées tout au plus, Les responsables n’ont pas hésité à envisager comme risque acceptable des milliers de victimes iatrogènes dans une population parfaitement saine, quasiment pas exposée au risque d’hépatite, dont un bon nombre d’enfants et de nourrissons.., pour un bénéfice proche de zéro, il est probable que les victimes françaises se dénombrent aujourd’hui par dizaines de milliers...

    (. .) L’exposition massive de la population à la vaccination contre l’hépatite B est le seul facteur nouveau exactement contemporain de cette élévation massive du nombre de SEP. »

     

    Effrayant non !

     

    Je vous invite à découvrir ce site : http://www.hyperactif.net/accueil.html

  • L'impact des éthers de glycol sur l'environnement et la santé

     

    Voilà encore un article qui fait froid dans le dos

     

     

    En 1999, l'INSERM (Institut National de la Statistique et de la Recherche Médicale ) publiait une expertise collective intitulée "Éthers de Glycol, quels risques pour la santé ?", pour répondre aux questions posées par les Ministères en charge de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement, de l'Emploi et de la Solidarité concernant l'impact des éthers de glycol sur l'environnement et la santé. Très utilisés dans de nombreuses branches industrielles, leur succès tient à leur solubilité dans l'eau et les solvants organiques.

    On trouve des éthers de glycol dans les shampooings, les savons liquides, les lingettes pour bébés, les décapants pour four, les nettoyants ménagers, les peintures, etc., mais aussi dans des spécialités pharmaceutiques, dont les vaccins !

    Le phénoxyéthanol est utilisé comme conservateur dans la plupart des vaccins de l'enfance, (T Polio, TP Pasteur, DT Polio, DTCP Pasteur, Tetracoq, Tetravac, Infanrix Polio, Pentacoq, Penthibest, Pentavac, Infanrix Polio Hib) à raison de 2 à 5 µl/ dose de 0,5 ml (1 seringue).

    D'après l'INSERM, le phénoxyéthanol présente une toxicité reproductive chez le mâle et la femelle (effet noté +), ainsi qu'un effet hémolysant (destruction des globules rouges, effet +++). Ces effets sont soit probables à confirmer (pour la toxicité reproductive), soit confirmés par le nombre et la qualité des études (pour l'hémolyse). En novembre 2000, la Commission de la Sécurité des Consommateurs (CSC), dans un avis relatif aux éthers de glycol, avait recommandé que soit réalisée, à très brève échéance, la substitution complète des éthers de glycol des groupes 1, 2 et 3a de la série E. Le phénoxyéthanol appartient au groupe 2...

    En mai 2001, Bernard KOUCHNER aurait engagé les industriels à rechercher des alternatives dont la tolérance est mieux évaluée. Pourtant, une simple lecture des étiquettes de produits vendus en para-pharmacie montre que le phénoxyéthanol est toujours bien présent dans ces produits.

    Après le mercurothiolate, le formaldéhyde, la possible présence du prion de l'ESB et le désormais célèbre hydroxyde d'aluminium, une autre substance toxique est utilisée dans la fabrication des vaccins, dans le mépris total du principe de précaution.

    Mais on n'en est pas à une incohérence près : un autre éther de glycol, le butylglycol, est présent dans des pansements adhésifs, alors qu'il est classé R21 (classe de risque), c'est-à-dire nocif par contact avec la peau !

    Texte provenant : http://www.categorynet.com

    A lire le rapport datant de 2006 et provenant de : Agence Française de sécurité sanitaire

    CPethersdeglycolAfssetInserm_12juin2006.pdf

     

     

     

    @ N'oubli pas de signer ton passage sur le livre d'or:

     http://myofasciite.hautetfort.com/archive/2007/05/23/bienvenue-sur-mon-livre-d-or.html#comments

  • Vivre avec la Myofasciite à macrophage le 29.06.2007

    Comme je le disais précédemment dans la note : Vivre avec la Myofasciite à macrophage en 09.04.2007:

    http://myofasciite.hautetfort.com/archive/2007/04/09/vivre-avec-la-myofasciite-a-macrophage.html

     

    Je suis atteinte de Myofasciite à Macrophages (myopathie inflammatoire acquise) classée dans les maladies rares.
    Les symptômes de cette maladie se manifestent sur le plan physique (douleurs musculaires et articulaires) et neurocognitifs (mémoire, attention, concentration), avec une asthénie importante.

    Je ne vais pas revenir en détail sur toutes les difficultés misent sur la note précédente, mais les symptômes eux sont toujours là et même de plus en plus.

    Ce qui a changer aujourd’hui :

    Difficultés physiques

    -     Marcher est devenu très compliqué, aujourd’hui j’envisage l’usage de la canne (étape difficile à franchir)

     

    Difficultés neurocognitives

     

    -     Je n’arrive plus à écrire un courrier sans faire de faute, (belle invention l’ordi mais malheureusement il ne corrige pas tout).

    -     Je me trompe quand je remplie des documents administratifs (inutile de vous dire les conséquences que cela peut impliquer).

    -     La compréhension devient très difficile surtout si on essaye de m’expliquer plusieurs choses (alors mon cerveau se déconnecte, dommage que sur l’humain on n’a pas prévu la défragmentation, je ne retrouve pas le casier).

    -     Il m’arrive de réfléchir avant de pouvoir donner mon nom.

    -     Je me perds pour me rendre (orientation) dans un lieu qui pourtant m’est familier.

    Bon tout n’est pas noir, ces troubles cognitifs donnent de bonne crise de rire (au lieu de dire "en enregistre le film" cela devient "met une cassette et télécharge". Bizarre mon pantalon ne me vas plus pour cause il est à l’envers. Tiens mais où est passé mon sac, vous n’avez pas vu mon sac ? Et de là on me répond, « tu as la main plongé dedans ».)

    Asthénie

    Je prends des médicaments puissants pour rester éveillé est même avec eux, j’ai des coups de barres terribles (Ne sortez pas de chez vous quand je prends la voiture).

     

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     Je viens de recevoir la décision de mon appel MDPH (cotorep). Résultat : – 50% d’invalidité, autant dire rien. La sécu reconnaît une invalidité 2 ème catégorie, donc incapacité de travail.

    En fait ce qui est terrible, c’est d’apprendre que la MDPH de la Corrèze à une pile de dossier de personne comme moi qui aujourd’hui perdent leurs capacités ; mais aucune directives gouvernementales à notre sujet. On doit donc apporter la preuve que nous sommes diminués.

     

    Si les personnes souffrant de myofasciite et veulent que l’on s’échange des infos, des adresses de spécialiste, des tuyaux afin de monter un dossier MDPH béton etc.

     

    Peuvent me laisser un com

     

     @ T’a signé mon livre d’or, hein ! Avant de partir. C’est par là F

    http://myofasciite.hautetfort.com/archive/2007/05/23/bienvenue-sur-mon-livre-d-or.html#comments