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Vaccin - Page 22

  • L'impact des éthers de glycol sur l'environnement et la santé

     

    Voilà encore un article qui fait froid dans le dos

     

     

    En 1999, l'INSERM (Institut National de la Statistique et de la Recherche Médicale ) publiait une expertise collective intitulée "Éthers de Glycol, quels risques pour la santé ?", pour répondre aux questions posées par les Ministères en charge de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement, de l'Emploi et de la Solidarité concernant l'impact des éthers de glycol sur l'environnement et la santé. Très utilisés dans de nombreuses branches industrielles, leur succès tient à leur solubilité dans l'eau et les solvants organiques.

    On trouve des éthers de glycol dans les shampooings, les savons liquides, les lingettes pour bébés, les décapants pour four, les nettoyants ménagers, les peintures, etc., mais aussi dans des spécialités pharmaceutiques, dont les vaccins !

    Le phénoxyéthanol est utilisé comme conservateur dans la plupart des vaccins de l'enfance, (T Polio, TP Pasteur, DT Polio, DTCP Pasteur, Tetracoq, Tetravac, Infanrix Polio, Pentacoq, Penthibest, Pentavac, Infanrix Polio Hib) à raison de 2 à 5 µl/ dose de 0,5 ml (1 seringue).

    D'après l'INSERM, le phénoxyéthanol présente une toxicité reproductive chez le mâle et la femelle (effet noté +), ainsi qu'un effet hémolysant (destruction des globules rouges, effet +++). Ces effets sont soit probables à confirmer (pour la toxicité reproductive), soit confirmés par le nombre et la qualité des études (pour l'hémolyse). En novembre 2000, la Commission de la Sécurité des Consommateurs (CSC), dans un avis relatif aux éthers de glycol, avait recommandé que soit réalisée, à très brève échéance, la substitution complète des éthers de glycol des groupes 1, 2 et 3a de la série E. Le phénoxyéthanol appartient au groupe 2...

    En mai 2001, Bernard KOUCHNER aurait engagé les industriels à rechercher des alternatives dont la tolérance est mieux évaluée. Pourtant, une simple lecture des étiquettes de produits vendus en para-pharmacie montre que le phénoxyéthanol est toujours bien présent dans ces produits.

    Après le mercurothiolate, le formaldéhyde, la possible présence du prion de l'ESB et le désormais célèbre hydroxyde d'aluminium, une autre substance toxique est utilisée dans la fabrication des vaccins, dans le mépris total du principe de précaution.

    Mais on n'en est pas à une incohérence près : un autre éther de glycol, le butylglycol, est présent dans des pansements adhésifs, alors qu'il est classé R21 (classe de risque), c'est-à-dire nocif par contact avec la peau !

    Texte provenant : http://www.categorynet.com

    A lire le rapport datant de 2006 et provenant de : Agence Française de sécurité sanitaire

    CPethersdeglycolAfssetInserm_12juin2006.pdf

     

     

     

    @ N'oubli pas de signer ton passage sur le livre d'or:

     http://myofasciite.hautetfort.com/archive/2007/05/23/bienvenue-sur-mon-livre-d-or.html#comments

  • Vaccins : la même recette partout dans le monde

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    Il existe de nombreuses recommandations pour se faire vacciner, en particulier lorsque vous partez à l'étranger.

    Avez-vous une petite idée sur le contenu des vaccins ?

    Voici la liste non exhaustive des ingrédients : âmes sensibles… s’abstenir !

    - Le formaldéhyde (formol) est classé dans la catégorie des cancérigènes.

    - Le mercurothiolate est destiné à limiter le risque de culture bactérienne. Il est composé de 49,6 % de mercure. Conjugué au mercure alimentaire, nous pouvons nous interroger sur notre toxicité…

    - L'hydroxyde d'aluminium prolonge et augmente la réponse immunitaire aux antigènes inoculés.
    L'hydroxyde d'aluminium traverse la peau et vient se combiner à la ferritine du sang pour gagner la circulation générale et éventuellement le cerveau.

    Tout récemment, le Pr. Gherardi, de l'hôpital Henri Mondor à Créteil (France), a décrit une pathologie particulièrement invalidante dont la fréquence ne cesse de croître : la myofasciite à macrophages (MFM).
    Celle-ci se manifesterait au point d'injection des vaccins.

     

    De plus, l'aluminium semblerait impliqué dans la maladie d'Alzheimer.

    Mais la liste ne s'arrête pas là !!.

    Voici, pour les végétariens tout particulièrement, de quoi faire réfléchir :
    certains vaccins sont cultivés sur la bile de bœuf ou le sérum fœtal de veau.

    Quant au vaccin contre l'hépatite B, c'est un vaccin génétiquement modifié.
    D'après le rapport technique 747 de l'OMS, trois types de contaminants peuvent se retrouver dans le produit final :

    1. des virus,

    2. des protéines capables de cancériser d'autres cellules

    3. de l'ADN provenant de cellules de culture.

    Par exemple: 

    le vaccin GenHevac B, fabriqué par Pasteur Mérieux, est préparé à partir de l'antigène HBs, produit par fragments du génome de deux virus : le SV40, virus de singe et le MMTV, virus de la tumeur mammaire de la souris. Ces cellules sont immortelles, ce qui signifie qu'elles ont un caractère de cellules cancéreuses…

     

    Il existe beaucoup d'expertises scientifiques sur les vaccins qui offrent des conclusions alarmantes.

    Pourquoi la situation ne se clarifie-t-elle pas une fois pour toutes ?

    L'empire du business pharmaceutique est- il si insurmontable ?

     

    ML In Biocontact, mensuel n°118-octobre 2002
    http://www.lasante.be/maladies/MFM.htm

    Simon Sylvie ; Vaccinations : l'overdose,1999Bickel René, Le malade déchaîné, 1996
    www.aventispasteur.com
    www.canadian-health-network.ca

    Source  provenant du texte : http://www.ise.uqam.ca/bulletins/vol14_no3.pdf

  • HEPATITE B : UNE AVOCATE EN JUSTICE

     

    "J’ai agi dans l’intérêt de mes clients"

    - Le laboratoire m'attaque pour violation du secret de l'instruction et du secret médical. Je suis poursuivie pour des propos tenus à des journalistes du Parisien et du Figaro en novembre 2002. C'est à cette époque que le docteur Marc Girard, expert en santé publique, a rendu un rapport qui établissait que les laboratoires avaient dissimulé au public l'existence d'effets indésirables liés à cette vaccination. Les journalistes se sont tout naturellement tournés vers moi pour commenter ce rapport. Ce que j'ai fait en mon âme et conscience. J'ai agi dans l'intérêt de mes clients. Je n'ai en aucun cas divulgué le rapport d'expertise. Il m'est également reproché d'avoir raconté sur " La Cinq " comment les laboratoires avait fait pression sur le juge d'instruction pour qu'il dessaisisse l'expert. Marc Girard inquiétait les laboratoires. C'est un expert connu pour son indépendance et sa probité.

    Quelque deux mille personnes en France s'estiment victimes du vaccin. 250 d'entre eux vous ont confié leur dossier…

    - Toutes ces personnes sont convaincues qu'il existe un lien de cause à effet entre la vaccination contre l'hépatite B et la survenue d'une sclérose en plaque ou d'une maladie de dégénérescence des neurones ayant entraîné une paralysie partielle ou totale, quelque fois même la mort. Les généralistes souvent sont troublés. Ils admettent en privé qu'il y a de fortes chances pour que ce vaccin-là soit en cause. Mais ils refusent d'exprimer publiquement leurs doutes. Pour l'instant, on a obtenu gain de cause deux fois devant le Conseil d'Etat, c'est à dire devant le tribunal administratif, pour deux fonctionnaires ayant eu l'obligation de se faire vacciner dans le cadre de leur travail. J'espère que le Conseil d'Etat poursuivra dans cette voie et que les juges civils feront la même chose pour ceux qui se sont fait vacciner volontairement en suivant les recommandations de la campagne de vaccination. Et aussi pour les enfants qui ont été vaccinés dans les écoles. Toutes les personnes qui sont venues me voir racontent la même histoire. Ils se sont fait vacciner en toute confiance, avec l'impression de faire leur devoir civique. Ils ont cru qu'il y avait urgence alors qu'il a été prouvé que la France est un pays de faible endémie en matière d'hépatite B et que le virus ne se transmet pas par la salive, contrairement à ce qu'on a voulu faire croire, mais par les sécrétions sexuelles et le sang.

    Quelle est la prochaine étape dans cette affaire ?

    - Je vais saisir la Cour européenne des Droits de l'homme. Le 23 février, un arrêt de la Cour de cassation a rejeté la demande d'une petite fille vaccinée à l'école à 12 ans et qui a déclenché une sclérose en plaques. Sa sœur, vaccinée de manière obligatoire dans une école d'infirmière, est indemnisée à vie par le ministère de la santé. Il y a rupture de l'égalité des citoyens devant la justice.

    Propos recueillis Anne Crignon (le vendredi 23 mars 2007)

    Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/opinions/3_questions_a/20070323.OBS8602/jai_agi_dans_linteretde_mes_clients.html