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fichage - Page 2

  • H1N1 : l'OMS n'avait pas prévu la méfiance contre le vaccin

    l'OMS
    n'avait pas prévu la méfiance contre le vaccin !

     

    http://chantalbeaupre.typepad.com/.a/6a00e5525834548834012875c7583d970c-320wi

    Image provenant: http://chantalbeaupre.typepad.com/.a/6a00e5525834548834012875c7583d970c-320wi

     

    "L'époque où les responsables de la santé pouvaient donner leurs recommandations et attendre que les populations s'y plient est sans doute révolue", selon l'Organisation mondiale de la santé.

    L'Organisation mondiale de la santé reconnait n'avoir "pas prévu que les gens décideraient de ne pas se faire vacciner" contre la grippe A (H1N1).

    "Nous avions prévu qu'il y aurait des problèmes pour produire des vaccins suffisamment rapidement et c'est bien ce qui s'est passé", a expliqué la directrice de l'OMS Margaret Chan lundi 18 janvier.

    "Mais nous n'avions pas prévu que les gens décideraient de ne pas se faire vacciner".


    Pour la directrice de l'OMS, "les gens ont aujourd'hui accès à une vaste palette de sources d'informations" et "l'époque où les responsables de la santé pouvaient donner leurs recommandations (...) et attendre que les populations s'y plient est sans doute révolu".

     

    Source : http://www.challenges.fr/actualites/monde/20100118.CHA0664/h1n1_loms_navait_pas_prevula_mefiance_contre_le_vaccin.html


    Une phrase choque non ?


    Ils ordonnent et on doit se plier.


    Eh oui, ils n'avaient pas prévu le rôle que pourrait jouer internet.

    Alors est-ce un hasard si l'on voit apparaître de toute part à la télévision
    'Faut-il contrôler internet' ?


    Posé comme cela, on pourrait avoir l'impression que c'est un sujet qui va être débattu.

     

    Détrompez-vous !

     

    Avez-vous entendu parler
    du 'projet ACTA'?


    ACTA aura un impact sur Internet, mais de quelle ampleur ?

    Publié le 11 décembre 2009 sur ZDNet

    ACTA - acronyme de Anti-Counterfeiting Trade Agreement - est un projet d'accord international portant sur la protection de la propriété intellectuelle et la lutte contre la contrefaçon.


    Cet accord est en négociation depuis 2007 entre les représentants des gouvernements de : l'Australie, du Canada, de la Corée du Sud, des Émirats Arabes Unis, des États-Unis, du Japon, de la Jordanie, du Maroc, du Mexique, de la Nouvelle-Zélande, de Singapour, de la Suisse ainsi que de l'Union Européenne.

    Des négociations très opaques et loin des citoyens

    Mais là où ACTA pose véritablement problème, c'est parce que ses négociations se déroulent en secret, sans que les citoyens ne soient informés de ce qui se négocie. Or, selon une ébauche de texte divulguée par le site Wikileaks, la signature d'ACTA aurait un impact certain sur la vie des citoyens des états signataires. Cela concerne en particulier leur usage d'Internet et des logiciels libres, et aurait plus largement un effet sur l'économie numérique, la circulation de l'information et la diffusion de la connaissance.
    En effet, ACTA prévoit la mise en place de mesures de filtrage et de blocage de l'Internet, en concertation avec les ayants droit victimes de contrefaçon, et pourrait remettre en cause la liberté d'expression et la protection des communications privées.

    Pour être clair, je ne m'oppose pas à la lutte contre la contrefaçon, pour autant qu'elle n'attente pas aux libertés fondamentales des citoyens, notamment la liberté de communiquer et de s'informer. Et si ACTA me pose problème, c'est justement à cause du secret qui l'entoure : si les citoyens n'ont rien à craindre de ce futur accord, pourquoi leur cacher son contenu ?

    Une lettre ouverte réclamant la transparence des négociations

    Voilà pourquoi de nombreuses organisation non-gouvernementales et associations viennent de publier une lettre ouverte, adressée aux parlementaires européens.

    A voir sur le site:

    http://www.zdnet.fr/blogs/infra-net/acta-aura-un-impact-sur-internet-mais-de-quelle-ampleur-39711488.htm

     

    Autre site :http://www.michaelgeist.ca/content/view/4510/125


    Il suffit de lire un article concernant les mesures de la nouvelle Zélande cité ci-dessus pour le projet ACTA.

    Alors que dit cet article :

    Des mesures du nouveau Cyber-surveillance ont été discrètement mises en place afin que la police et les agents du service du renseignement puissent inspecter la vie de quelqu'un en ligne.

    Des dispositifs spécialisés ainsi que des logiciels d'espionnage ont été installés sur tous les réseaux téléphoniques, internet.

    Les appels à partir d'un mobile, les sms, les emails, la navigation sur internet, les emails, les achats en lignes, le chat et les réseaux sociaux pourront être contrôlé n'importe où en Nouvelle Zélande.

     

    Source anglais : http://translate.google.com/translate?u=http%3A//www.stuff.co.nz/national/3203448/NZs-cyber-spies-win-new-powers&hl=fr&langpair=auto|fr&tbb=1&ie=UTF-8

     

    Quoi qu'il en soit,
    l'échec de la vaccination de la grippe A
    dû aux informations qui ont circulés sur Internet ne se reproduiront plus.



    Autre sujet à voir : La police US utilise des DRONES pour espionner des Américains !

    Vidéo en anglais mais cela n'empêche pas le visuel : http://www.youtube.com/watch?v=2tHk9Q3Fv6g



    Souriez !
    Vous êtes en liberté surveiller !

  • Bientôt la police anti-piratage ?

    medium_licenceglobale.jpg

    Info provenant : http://www.infos-du-net.com/

    Avis aux internautes concernés !!

    Contre la licence globale
    Premier point important, Nicolas Sarkozy s’est déclaré avec virulence contre toute forme de licence globale, qualifiant cette proposition de « vol organisé sous prétexte de jeunisme ». Il estime en effet qu’un tel système de rémunération aurait pour seule finalité de « tuer définitivement toute forme de création ».

    Cette proposition de licence globale qui avait été proposée par de nombreux parlementaires lors des réflexions sur la loi DADVSI, est toujours gardée sous le coude par Ségolène Royal.

    La loi DADVSI à compléter
    Sur cette loi DADVSI, Nicolas Sarkozy propose de faire un bilan fin 2007. Il semble en effet souhaiter la remise en place du système de ripostes graduées qui avait été invalidé par le Conseil Constitutionnel. Les sanctions induises par un tel système serait gérées par une sorte de police anti-piratage, qui appliquerait des mesures restrictives aux internautes contrevenants. On parle ainsi de réduction des débits des connections Internet, de coupures de service, et d’amendes en cas de récidive. L’aspect systématique et automatique des sanctions est l’une des particularités du système, censées le rendre efficace.

    Voir :

    Discours de Nicolas Sarkozy sur la Culture au Showcase Paris le 04.04.2007
    http://www.sarkozy.fr/video/

    Un débat sans fin ?
    Tout ceci n’est possible que si les fournisseurs d’accès jouent un rôle important dans l’application de ces sanctions. C’est d’ailleurs un des points qui avait posé problème au Conseil Constitutionnel, ainsi qu’à la CNIL , étant donné les problématiques liées à la conservation des données de connexions des internautes.