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politique - Page 17

  • Des dépenses liées à la grippe A/H1N1 qui pourraient atteindre 2,2 milliards d’euros.

     

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    image provenant : http://jeanbesset.unblog.fr/2008/10/

     

    Non seulement, Madame Roselyne Bachelot (à mon avis, elle ne devrait pas être la seule qui devrait être assigné son patron aussi), Ministre de la Santé, avait reçu vendredi dernier une assignation à comparaître en référé devant le Tribunal de Grande Instance de Paris le lundi 4 janvier à 9 h, aux fins de mettre un terme dans les plus brefs délais à la campagne de vaccination contre la grippe H1N1.

     

    Procédure judiciaire qui avait été engagé, devant le « danger imminent » encouru par la population, par l'Association Cri-Vie (Coordination de Recherche et d'Informations Indépendantes en matière de Santé), présidée par le Dr Marc Vercoutère (Pau, Pyrénées-Atlantiques) et le parti politique d'extrême-centre Politique de Vie, présidé par Christian Cotten (St-Aubin, Essonne), psychosociologue, ont engagé.

     

    Une des sources : http://journalextimerecherchespoir.over-blog.com/article-bachelot-assignee-en-justice-a-cause-de-la-campagne-anti-grippe-a--41605103.html


    Mais, au vu du coût financier que cela représente, la commission des Affaires sociales du Sénat veut entendre la ministre sur la gestion de la pandémie.


    Sénateurs et parlementaires demandent des comptes à la ministre de la Santé. Roselyne Bachelot. Dernière requête en date, celle de la commission des Affaires sociales du Sénat qui veut entendre la ministre « rapidement » sur la gestion de la pandémie, selon un communiqué publié mercredi. Les laboratoires pharmaceutiques sont également dans la ligne de mire.

    Source : http://info.sfr.fr/france/articles/Bachelot-prise-en-grippe-par-le-Parlement,127220/

     

    Selon le Rapport Enregistré à la Présidence du Sénat le 19 novembre 2009.


    La question de la gestion de la pandémie grippale au cours de sa récente mission de contrôle sur l'EPRUS1, a souhaité dresser un premier bilan des dépenses liées à la grippe A/H1N1, à partir de données collectées auprès du ministère de la santé et des sports, de la caisse nationale d'assurance maladie (CNAMTS) et du ministère de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales.

    Il laisse apparaître un coût total lié à la pandémie compris entre 1,8 et 2,2 milliards d'euros.


    Outre les dépenses supportées par l'EPRUS, cinq autres types de dépenses sont à distinguer :


    - les dépenses liées aux consultations de généralistes, à la prescription de médicaments et aux indemnités journalières, supportées par l'assurance maladie, soit un coût compris entre 376 millions et 752 millions d'euros, selon les estimations de la CNAMTS ;

    - les dépenses d'indemnisation des personnels de santé réquisitionnés évaluées à 290 millions d'euros, hors frais de déplacement, par le ministère de la santé et des sports ;

    - les frais d'information et de convocation des vaccinés à hauteur de 52,8 millions d'euros. Ces dépenses devraient être prises en charge par l'assurance maladie à partir d'un redéploiement de crédits au sein du fonds national de prévention, d'éducation et d'information sanitaires (FNPEIS) ;

    - les dépenses de communication évaluées à 6,8 millions d'euros, financées par l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES) qui reçoit une subvention pour charge de service public et une dotation de l'assurance maladie ;

    - les frais liés à l'organisation territoriale de la campagne de vaccination (mobilisation des personnels administratifs qui participent au fonctionnement des centres et location de locaux lorsque ceux-ci sont mis à disposition par les collectivités territoriales). Le coût de la campagne est évalué à 100 millions d'euros par le ministère de l'intérieur, de l'outremer et des collectivités territoriales.

    Cette estimation ne prend cependant pas en compte le coût supporté par les collectivités territoriales qui ont notamment été incitées à constituer des stocks de produits de santé par une circulaire du 20 janvier 2006 relative à l'action des maires dans la gestion d'une crise sanitaire majeure2.

     

    Question : Qui va réellement payer? 

  • La colère de Cantona

    Pourquoi cette vidéo?
    Réponse évidente !

    Comme Eric Cantona je pense que des choses graves sont entrain de se mettre en place.

  • Prenez de Bonne Résolution.

    Je vous souhaite
    une Bonne et Heureuse Année 2010.

     

     

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    Vivez si m'en croyez, n'attendez à demain.
    Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie.

    Pierre de Ronsard.


    1)      A voir ou A revoir


    Demain mardi 05 janvier sur ARTE à 22H25 : Le monde selon Monsanto.

     

    Résumé :

     

    Le 9 janvier 2008, la Haute Autorité sur les OGM a révélé que le maïs transgénique MON 810 commercialisé par la firme américaine Monsanto présentait des risques sanitaires économiques et environnementaux. Certains produits fabriqués par la firme ont fini par être interdits à la vente. Quels sont aujourd'hui les enjeux liés à ces semences transgéniques ? Comment se présente la problématique de l'agriculture mondialisée ?


    Voir la bande annonce : http://www.programme-tv.net/culture-infos/83372-le-monde-selon-monsanto/


    A Ne Pas Rater


    http://1.bp.blogspot.com/_o8NSHb4HALk/SV4LX-dlKvI/AAAAAAAABsw/xJQEfIq5gyc/s320/sarkozy-voeux-2009_1-763548.jpg

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    2)Des substances radioactives bientôt à la maison.

     

    Non vous ne rêvez pas !


    Suivant la méthode de notre gouvernement, pendant que nous regardons ailleurs, ils en profitent pour faire leurs grandes réformes.

    Leur dernière trouvaille : Le 14 mai 2009 était publié au Journal Officiel un ARRETE INTERMINISTERIEL instaurant une procédure de DEROGATION à ces interdictions.


    Cet arrêté a été publié en dépit
    d'un AVIS DEFAVORABLE de l'Autorité de Sûreté Nucléaire.


    Petit Rappel :


    En 2002, deux garanties essentielles pour la protection du public contre les dangers des rayonnements ionisants ont été inscrites dans le CODE DE LA SANTE PUBLIQUE (CSP) :


    L'INTERDICTION D'AJOUTER délibérément des substances radioactives dans les aliments, les biens de consommation et les produits de construction (cf. article R.1333-2) ;


    L'INTERDICTION D'UTILISER des matériaux et des déchets provenant d'une activité nucléaire - et qui sont CONTAMINES ou susceptibles de l'être - pour la fabrication de biens de consommation et de produits de construction (cf. article R.1333-3).


    On est ainsi passé d'un régime d'interdiction à un régime de dérogations.


    Seules 5 catégories de produits ne peuvent bénéficier de dérogations et sont donc protégées de tout ajout de substances radioactives.


    4 catégories sont protégées et exclues du régime dérogatoire en application des dispositions de l'article 5 de la directive du Conseil 96/29/Euratom du 13 mai 1996 :

    • LES ALIMENTS
    • LES PRODUITS COSMETIQUES
    • LES PARURES
    • LES JOUETS


    Les autorités françaises ont ajouté une 5ème catégorie :

    • LES MATERIAUX EN CONTACT AVEC LES ALIMENTS ET LES EAUX.


    Pour toutes les autres catégories de produits, les industriels ont désormais la possibilité d'obtenir des dérogations à l'interdiction d'ajouter des substances radioactives.


    Sous réserve de cette obtention, les métaux, plastiques, gravats... contaminés issus du démantèlement d'installations nucléaires pourront servir à la fabrication de matériaux (ciments, acier, plomb...) qui seront utilisés pour la construction d'habitats ou de locaux de travail, de moyens de transport (voitures, vélo, bateaux...), d'équipements ou d'objets de la vie quotidienne (meubles, fournitures de bureau, vêtements...).


    Si les jouets sont exclus des dérogations, la fabrication des équipements destinés aux bébés ou aux enfants... pourra s'effectuer à l'aide de composants radioactifs.

    Si les matériaux en contact avec les aliments sont exclus des dérogations, tel n'est pas le cas des vêtements et des polaires pourront, par exemple, être réalisés à l'aide de plastiques contaminés en provenance de la déconstruction de centrales ou d'usines d'enrichissement...

    Pour en savoir plus : http://www.criirad.org/


    Si comme moi vous êtes choqué alors mobilisez vous, nous sommes au début de l'année et il serait peut-être temps d'ouvrir les yeux.


    Je vous assure que beaucoup de faits mis bout à bout sont étranges, voir dangereux pour l'avenir de la planète.


    Le nouvel ordre mondial tant voulu par notre président et bien d'autre avant lui, ne  sera jamais bénéfique aux peuples tels qu'ils le conçoivent.


    http://www.criirad.org/mobilisation/img/picto_radioactivitegrand.gif

    VOUS POUVEZ, VOUS-AUSSI, APPORTER VOTRE CONTRIBUTION en participant à la campagne contre l'ajout de substances radioactives dans les biens de consommation et les matériaux de construction.


    MODELES DE LETTRES rédigés par la CRIIRAD pour chacun des ministres compétents pour abroger l'arrêté du 5 mai 2009 : ministre de la santé ; ministre de l'économie (en charge de la consommation) ; ministre de l'écologie (en charge de la construction).


    MODELES DE LETTRES : http://www.criirad.org/mobilisation/img/courrier_ministres.pdf