Je dis oui à la vaccination non à l’empoisonnement !
*Le vaccin utilisé est le Neisvac, Non remboursé, Agréé aux collectivités
Composition : Neisseria meningitidis gpe C 10 µg
Conjugué à l’anatoxine tétanique : 10 µg à 20 µg
Excipients : aluminium hydroxyde, sodium chlorure, eau ppi.
Composition : neisseria meningitidis gpe A : polyoside purifié 50 µg
neisseria meningitidis gpe C : polyoside purifié 50 µg
Excipients : lactose monohydrate, sodium chlorure, phosphate disodique dihydrate, phosphate monosodique, eau ppi.
ALUMINIUM DANGER !!
Extrait : Mission d’expertise sur la politique de vaccination contre l’hépatite B en France
Site : www.sante.gouv.fr
Ces analyses décisionnelles montrent donc que les bénéfices de la vaccination restent supérieurs aux éventuels risques dans différents scénarios envisagés en fonction de l’importante incertitude entourant certains paramètres comme le taux de sous notification.
Pour conclure cet état des connaissances sur le rapport bénéfice/risque, il faut noter Cinq points importants :
1) Le risque, s’il existe, est encouru par tous les vaccinés alors que la protection va bénéficier uniquement à une faible proportion d’entre eux. Mais il est impossible de prédire qui en seront les bénéficiaires.
2) Le risque d’EAD, s’il existe, est immédiat alors que les risques de complications de l’hépatite sont retardés.
3) Si on considère qu'il existe un risque d’effet indésirable lié au vaccin, une information précise préalable à la vaccination de l’individu et/ou de ses parents est indispensable, ce qui rend la stratégie de vaccination scolaire peu réaliste.
4) A risque constant, le rapport bénéfice/risque d'un programme de vaccination au long cours comme celui contre l'hépatite B, se réduit au fur et à mesure que sa mise en oeuvre produit les effets attendus. Ainsi, plus la réduction de l'incidence est élevée (en fonction du temps et l'efficacité de la stratégie vaccinale), moins les bénéfices additionnels futurs de la vaccination seront importants.
En conséquence toute réévaluation du rapport bénéfice/risque doit prendre en compte dans le calcul du bénéfice la part correspondant à la réduction attendue de l'incidence et celle représentée par le maintien d'une prévalence réduite antérieurement par le programme. Un calcul du bénéfice qui négligerait de comptabiliser les acquis antérieurs conduirait à arrêter sur cette base tout programme qui tendrait vers une éradication de la pathologie. C’est par exemple le cas de la vaccination contre la diphtérie et la poliomyélite.
Autres effets secondaires notifiés après vaccination contre l’hépatite B
Plusieurs autres effets secondaires ont été notifiés après vaccination contre l’hépatite B : mort subite du nourrisson, aplasie médullaire, lupus érythémateux disséminé, autres maladies auto-immunes, myofasciite à macrophage.
Nous avons choisi de ne pas consacrer un chapitre important à ce sujet, parce que nous avons fait, à l’instar de la dernière réunion de la Commission Nationale de Pharmacovigilance consacrée à ce sujet, le constat qu’à l’exception de la SEP , aucun signal de pharmacovigilance n’était suffisamment fort pour mériter d’être pris en compte dans une analyse bénéfice risque. De plus, du fait de la taille considérable de la population vaccinée, de la prévalence relativement élevée de ces affections dans la population rejointe et de la difficulté à définir une fenêtre de temps à risque après l’injection d’une dose de vaccin, l’argument de concomitance de survenue lié au hasard pourrait s’appliquer à presque tous ces effets secondaires. La seule étude (non encore publiée) est celle que M.Sturkenboom et al ont mené en Angleterre sur la base de données GPRD selon une méthodologie proche de celle détaillée précédemment. Cette étude a notamment étudié les associations pouvant exister entre le vaccin anti-hépatite B, plusieurs autres vaccins (rougeole, oreillons, hépatite A, DTP, BCG, grippe, méningocoque) et plusieurs affections auto-immunes, notamment polyarthrite rhumatoïde, lupus et maladie de Basedow. Pour l’ensemble des vaccins, cette étude ne met pas en évidence d’association statistiquement significative hormis pour le lupus et le vaccin anti-hépatite B dans le sous-groupe des sujets de plus de 40 ans (odds ratio=2,6 ; intervalle de confiance à 95% =1,1 ; 6,0).
Dans le cas de la myofasciite à macrophage, c’est l’adjuvant constitué d’hydroxyde d’aluminium qui serait en cause.
Voir également : Evaluation des risques sanitaires liés à l’exposition de la population française à l’aluminium
Site : http://agmed.sante.gouv.fr/
Les effets cliniques avérés de l’aluminium sur la santé humaine ont toujours été observés dans des situations engendrant une forte accumulation d’aluminium dans l’organisme, un contact direct avec du sang ou des structures nerveuses. Dans ce cas, les effets décrits sont essentiellement neurologiques et osseux. Cependant, à partir de l’ensemble des données disponibles, rien ne permet à ce jour d’affirmer que l’exposition à l’aluminium par l’eau, les aliments ou les produits de santé aux doses habituellement consommées par la population française soit associée à une augmentation de risque pour la santé.
Toutefois, à ce jour, l’évaluation des risques sanitaires liés à l’exposition à l’aluminium se heurte à un certain nombre de difficultés, liées à la fois à la mesure de l’exposition à l’aluminium et à la mauvaise connaissance de la cinétique, métabolisme et toxicité des différentes formes chimiques de l’aluminium. Par ailleurs, les principales pathologies mises en cause présentent des difficultés d’analyse épidémiologique. A partir de l’expertise scientifique mise en place par les trois agences de sécurité sanitaires et en l’état actuel des connaissances, un certain nombre de recommandations peuvent être formulées.
Conclusion : A vous de voir et faites ce qui bon vous semble mais ne dites pas par la suite si j'avais su!!!