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vaccin - Page 21

  • DES VACCINS AU MERCURE, RESPONSABLE D'UNE EPIDEMIE D’AUTISME.

    Depuis quelque temps, l’autisme est devenu un problème médical important et l’on nous parle, de plus en plus, de la responsabilité génétique dans cette maladie. Les gènes ont bon dos car, ainsi, personne ne peut être tenu responsable de ce phénomène qui touche plus d’un enfant sur 150.

    Quoi qu’il en soit, il est impossible qu’une épidémie soit d’origine purement génétique car les facteurs génétiques ne varient pas suivant l’époque et n’expliquent pas l’incidence croissante de l’autisme, surtout lorsqu’elle passe de 1 pour 10 000 à 1 pour 150 en 22 ans. Toutefois, étant donné que les gènes réglementent de nombreuses fonctions du cerveau, il est normal qu’ils soient un facteur qui contribue à l’expression de l’autisme. Cependant la maladie a besoin d’un déclencheur pour se manifester.

    Le scandale de Simpsonwood met sérieusement en doute la version apportée par les laboratoires et les États.

    En juin 2000, sous l’égide du CDC*, un groupe de scientifiques et d’officiers de santé du gouvernement américain s’est réuni à Simpsonwood dans un centre de retraite méthodiste isolé protégé par le secret. L’événement était d’importance, mais l’agence s’était gardée d’annoncer publiquement la réunion. Elle n’avait invité que 52 personnes. Les invités étaient triés sur le volet. Certains faisaient partie du CDC ou de la FDA (Food and Drug Administration), d’autres étaient des spécialistes de la vaccination de l’OMS.

    Enfin, on pouvait y rencontrer les représentants des principaux fabricants de vaccins, tels GlaxoSmithKline, Merck, Wyeth et Aventis Pasteur.

    Tout ce monde avait été rassemblé pour discuter d’une récente étude qui soulevait d’importantes questions sur la sécurité des vaccins administrés journellement aux nouveau-nés et aux jeunes enfants. D’après Tom Verstraeten, un épidémiologiste du CDC qui venait d’examiner les données médicales de 100.000 enfants, il était apparu de manière irréfutable que le mercure contenu dans les vaccins était responsable de l’effrayante augmentation d’autisme et de désordres neurologiques chez ces enfants. Verstraeten a cité les nombreuses précédentes études qui démontraient le lien entre le mercure et les problèmes auxquels étaient confrontés les enfants.

    « Nous serons en mauvaise position pour nous défendre en cas de poursuites », a constaté le Dr. Robert Brent, pédiatre à l’hôpital pour enfants Alfred du Pont dans le Delaware.
    Le Dr. John Cléments, conseiller de l’OMS pour les vaccins, a avoué qu’« il aurait mieux valu que cette recherche n’ait pas eu lieu ». Il a ajouté : « Les résultats doivent être remaniés », car l’étude risquait de tomber entre des mains étrangères et d’être « utilisée de manière différente, hors du contrôle de leur groupe ».

    Pour sa part, le Dr. Robert Chen, chef du service de la sécurité des vaccinations au CDC, a exprimé son soulagement d’avoir conservé ces informations « hors de portée de personnes moins responsables ». On peut s’interroger sur la  notion de la responsabilité. N’oublions pas qu’il fut invité par la France pour participer au « consensus » de Bichat pour la relance du vaccin HB chez les nourrissons, où il s’est empressé d’occulter tout effet indésirable du vaccin.

    Dans cette situation, il semble qu’on souhaitait surtout limiter les dégâts plutôt que de protéger la santé des enfants. Le CDC a recommandé à l’Institut de Médecine de mener une nouvelle étude afin de blanchir le mercure et de minimiser ses risques, ordonnant aux chercheurs « d’éliminer » les liens avec l’autisme. Le CDC occulta les travaux de Verstraeten et raconta au Freedom of Information Act que les données originales avaient été perdues et ne pouvaient donc être reproduites.

    Lorsque Verstraeten publia finalement ses travaux en 2003, il avait été engagé par GlaxoSmithKline et reconsidéra ses données afin d’effacer le lien entre le mercure et l’autisme.

    Les fabricants de vaccin ont alors commencé à supprimer le mercure de certaines injections administrées aux nouveau-nés américains, tout en utilisant jusqu’à épuisement les anciens stocks de vaccins au mercure. Ensuite, le CDC et la FDA les ont aidés à exporter ces vaccins vers les pays en voie de développement et leur ont permis de continuer à utiliser ce produit pour certains vaccins américains, dont des vaccins pédiatriques contre la grippe et le tétanos administrés aux enfants de 11 ans.

    L’affaire s’est passée aux États-Unis, et certains prétendront qu’en France, les vaccins ne contiennent plus de mercure depuis 2002. Mais les autistes actuels ont, dans de vastes proportions, été vaccinés avec un vaccin contenant du mercure. En outre, le mercure n’est pas la seule substance incriminée dans les risques d’autisme et nombre de scientifiques ont confirmé un lien entre cette maladie et le vaccin ROR* car on a maintes fois constaté la présence du virus de la rougeole chez les enfants victimes d’autisme régressif, tous vaccinés peu de temps avant l’apparition des troubles et tous indemnes de virus avant la vaccination (cf. Journal of American Physicians and Surgeons, 9 juin 2004).

    En outre, ces laboratoires qui ne reculent devant aucun mensonge pour « avoir raison à tout prix » sont présents partout dans le monde et gèrent notre santé pour leur plus grand profit et au détriment des citoyens.

    Extrait de : Un vaccin provoque l’autisme, révélation de Simpsonwood 
                        Écrit par Sylvie Simon, collaboration spéciale  
                         27-08-2007

    C’est effrayant, je vous invite à consulter le  texte intégral

    Source : http://www.lagrandeepoque.com/LGE/content/view/2357/42/

  • Gardasil

    Le 11 Juillet 2007 Roselyne Bachelot-Narquin ministre de la Santé , de la Jeunesse et des Sports se félicité du remboursement du vaccin Gardasil

    Pour la ministre, « le remboursement de ce vaccin (135 euros par dose, trois doses nécessaires)   est une grande avancée pour la santé des femmes puisqu’il va permettre de mieux lutter contre le cancer du col de l’utérus qui Tue encore près de 1 000 femmes chaque année dans notre pays.

    Le vaccin Gardasil sera pris en charge dès aujourd’hui à 65% par l’assurance maladie. Cette prise en charge se fera dans le cadre de la prévention des lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l’utérus, des condylomes vulvaires.

    Elle concernera les jeunes filles de 14 ans (370 000 par an) et les jeunes femmes âgées de 15 à

    23 ans qui n’ont pas eu de rapports sexuels ou au plus tard dans l’année suivant le début de leur vie sexuelle.

    Or, En 2006, Le laboratoire Sanofi Pasteur MSD  avait décidé de le commercialiser à partir du 23 novembre en France sans attendre les recommandations des pouvoirs publics.

    Comme tous nouveaux produits diverses inconnues persistent : d’une part ce vaccin ne protège que contre certaines des souches de papillomavirus susceptibles d’induire des cancers génitaux féminins (environ80%), d’autre part, même si les études menées par Sanofi ont montré que ce vaccin empêchait l’apparition de lésions histologiques de haut grade, on ne connaît pas aujourd’hui la durée de la protection qu’il confère, or les cancers surviennent plusieurs années après la contamination.

    Alors avant de vous précipiter ou d’envoyer votre fille chez le médecin afin de se faire vacciner, posez vous les bonnes questions ?

    1.    QUE CONTIENT SE VACCIN ?

    2.    A T’IL DES EFFETS SECONDAIRE ?

    3.    EN ME VACCINANT AUJOURD’HUI LE VIRUS NE RISQUE T’IL PAS DE MUTER ET D’ETRE PLUS VIRULENT DANS LE FUTUR ?

    1.      QUE CONTIENT SE VACCIN ?

    Gardasil, suspension injectable.Vaccin Papillomavirus Humain [Types 6, 11, 16, 18] (Recombinant, adsorbé)

    COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

    1 dose (0,5 ml) contient environ :
    Protéine L1 de Papillomavirus Humain1 de type 62, 3 20 microgrammes
    Protéine L1 de Papillomavirus Humain1 de type 112, 3 40 microgrammes
    Protéine L1 de Papillomavirus Humain1 de type 162, 3 40 microgrammes
    Protéine L1 de Papillomavirus Humain1 de type 182, 3 20 microgrammes
      1 Papillomavirus Humain = HPV.
      2 Protéine L1 sous la forme de pseudo particules virales produite sur des cellules de levure(Saccharomyces cerevisiae CANADE 3C-5 (souche 1895)) par la technique de l'ADN recombinant.
      3 adsorbée sur sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe (Al: 225 microgrammes) comme adjuvant.

    2. A-IL DES EFFETS SECONDAIRES?

    6 160 sujets ayant reçu Gardasil (5 088 femmes âgées de 9 à 26 ans et 1 072 garçons âgés de 9 à 15 ans lors de l'inclusion) et 4 064 sujets ayant reçu le placebo ont été suivis à l’aide de carnets de surveillance.

    Chez les sujets ayant reçu Gardasil, les effets indésirables liés au vaccin, mentionnés ci-dessous, ont été observés soit à une fréquence d'au moins 1%, soit à une fréquence plus importante que celle qui a été observée chez les sujets ayant reçu le placebo. Ils sont classés en fonction de leur fréquence selon la convention suivante :

    Très fréquent (≥ 1/10), Fréquent (≥ 1/100, <1/10), Peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100), Rare (≥ 1/10000, < 1/1 000, Très rare (<1/10 000), y compris cas isolés

     

    Troubles généraux et anomalies liées au site d’administration :

     

    Très fréquent : fièvre.

    Très fréquent : au site d'injection : érythème, douleur, gonflement.

    Fréquent : au site d'injection : saignement, prurit.

    De plus, au cours des études cliniques, des effets indésirables qui ont été jugés par l'investigateur en relation avec le vaccin ou avec le placebo, ont été observés à des fréquences inférieures à 1% :

    Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :

    Très rare : bronchospasme.

    Affections de la peau et du tissu sous-cutané :

    Rare : urticaire.

    Sept cas (0,06%) d'urticaire ont été rapportés dans le groupe Gardasil et 17 cas (0,18%) dans le groupe placebo contenant l'adjuvant.

    Dans les études cliniques, les sujets faisant l'objet d'un suivi de tolérance ont rapporté tous les

    nouveaux événements médicaux pendant une période allant jusqu'à 4 ans.

    Parmi les 11 813 sujets ayant reçu Gardasil et les 9 701 sujets ayant reçu le placebo, 8 cas d'arthrites non spécifiques ont été rapportés, 6 dans le groupe Gardasil et 2 dans le groupe placebo.

    Expérience après mise sur le marché

    Des évènements indésirables ont été spontanément rapportés après la mise sur le marché de Gardasil et ne sont pas listés ci-dessus :

    Troubles gastro-intestinaux : nausées, vomissements.

    Troubles du système immunitaire : réactions d'hypersensibilité incluant des réactions

    anaphylactiques/anaphylactoïdes.

    Troubles du système nerveux : vertige, syncope.

    Données provenant : http://afssaps.sante.fr/htm/10/pgr/indpgr.htm

    3. EN ME VACCINANT AUJOURD’HUI LE VIRUS NE RISQUE T’IL PAS DE MUTER ET D’ETRE PLUS VIRULENT DANS LE FUTUR ?

    A l’heure d’aujourd’hui, il est impossible de connaître les effets sur le long terme trop récent et pas assez de recul

    Moi ce qui me gêne dans tous cela c’est :

    1.    La population Française est estimée, en janvier 2007, à 63,4 millions d’habitants. Les femmes représentent environ 51,4 % de la population. Soit à peu près 31 millions d’habitantes et que le cancer du col de l’utérus tue 1000 femmes par an.
    Pas étonnant que
    Le laboratoire Sanofi Pasteur MSD  ait décidé de le commercialiser sans attendre les recommandations des pouvoirs publics. Cela représente un bon paquet d’argent. 135 € * 3 = 405 € pour une femme mais je le rappel, on ne sait pas pendant combien de temps dure l’immunité.

    2.    Le vaccin concernera les jeunes filles de 14 ans (370 000 par an) et les jeunes femmes âgées de 15 à 23 ans qui n’ont pas eu de rapports sexuels ou au plus tard dans l’année suivant le début de leur vie sexuelle.
    Alors pourquoi a-t-on testé le vaccin sur des fillettes de 9 ans et surtout des garçons âgés de 9 à 15 ans.

    3.    L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de sante  (Afssps) connaît les problèmes liés à l’aluminium  étant donné que depuis décembre 2006 L’association E3M (myofasciite à macrophage) fait partie du 4ème groupe d’étude sur les effets secondaires des médicaments.
    N’y a-t-il pas assez de gens qui comme moi souffrent des effets de l’aluminium ?

    4.    Pourquoi les écoles canadiennes et bien d’autres organismes publics canadiens refusent d’obéir à leur gouvernement qui a imposé cette vaccination comme faisant partie des vaccins obligatoires.

    Alors je le répète, je ne suis pas contre la vaccination mais pour une vaccination intelligente.

    Je ne veux pas enrichir les laboratoires à mes dépends (laboratoire qui représente la 3 ème économie  française).

     

    Et je veux dire aux femmes :

     

    Allez chez votre gynéco chaque année, faites vous suivre régulièrement et surtout sortez couvert, dans bien des cas  le préservatif peut vous protégé des maladies sexuellement transmissibles 

     

  • vaccination contre l’hépatite B

    Mes Voyages sur la toile m’ont emmené aujourd’hui à visiter le Centre international d’information, recherches et études sur les troubles du métabolisme et du comportement.

     

    Voilà un extrait d’article que l’on peut lire sur le site :

    Les conclusions bouleversantes du Dr Marc Girard. Expert en pharmacovigilance et pharmacoépidémiolocjie (Médicament et Recherche biomédicale) près la Cour d’Appel de Versailles


    « Le 14 novembre 2002, la parution d’un rapport d’expertise judiciaire, commandé par le juge Marie-Odile Bertella-Geffroy qui instruit depuis plusieurs années le dossier du vaccin contre l’hépatite B, a fait la une de la presse française. Basé sur des documents saisis à l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé et au centre de Pharmacovigilance de Strasbourg, ce rapport accablant de 450 pages dénonce les incohérences et défaillances notoires de cette campagne qui a coûté 10 milliards de francs.
    L’expert, le Dr Marc GIRARD, a découvert un rapport de la Direction Générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 ». (Cité par S.Simon)

      

    Pour le Dr Marc GIRARD :

     « Des observations cliniques et épidémiologiques convergentes ainsi parues dans la littérature internationale, il ressort que pour des raisons encore mal déterminées, la vaccination contre l’hépatite B semble avoir une propension toute particulière à déclencher des réactions d’expression très variables : (affections démyélinisant, lupus, maladies rhumatismales, troubles rénaux ou hématologiques...) ; mais dont le point commun est qu’elles sont toutes susceptibles d’être liées à une réaction dysimmunitaire mettant notamment en jeu des phénomènes d’auto-immunité…

     Il semble que le risque de pathologie auto-immune fié à la vaccination contre l’hépatite B soit encore mieux documenté que celui des complications neurologiques...

    (. .) Catastrophe sanitaire probablement d’une ampleur sans précédent dans notre pays.

     « L’affaire » de la vaccination contre l’hépatite B se ramène pour l’essentiel à une disproportion caricaturale entre un bénéfice prévisible- infime- et un risque objectivement encouru...

    Alors qu’une exigence toute particulière d’information aurait dû gouverner un projet collectif aussi dépourvu de bénéfice individuel crédible, les responsables ont accumulé les dissimulations, voire les falsifications scientifiquement caractérisées...

    Un essai de bilan chiffré aboutit à considérer que pour un espoir théorique de quelques centaines de complications évitées tout au plus, Les responsables n’ont pas hésité à envisager comme risque acceptable des milliers de victimes iatrogènes dans une population parfaitement saine, quasiment pas exposée au risque d’hépatite, dont un bon nombre d’enfants et de nourrissons.., pour un bénéfice proche de zéro, il est probable que les victimes françaises se dénombrent aujourd’hui par dizaines de milliers...

    (. .) L’exposition massive de la population à la vaccination contre l’hépatite B est le seul facteur nouveau exactement contemporain de cette élévation massive du nombre de SEP. »

     

    Effrayant non !

     

    Je vous invite à découvrir ce site : http://www.hyperactif.net/accueil.html