A l'occasion d'une Table ronde sur l'attractivité du territoire national pour les industries de santé qui a eu lieu le Lundi 26 octobre 2009 au Palais de l'Élysée, je vous invite à découvrir un extrait du discours de notre président ou bien de le visionner plus bas.
Vos entreprises sont toutes prospères, nous nous en félicitons. Elles ont toutes, à des degrés divers, des Implantations et des effectifs en France.
Les industries de santé, le secteur pharmaceutique en Particulier, vont pourtant connaître dans les cinq années à venir la période sans doute la plus difficile de votre histoire.
Difficile parce que vous aurez à faire face à l'expiration des brevets des médicaments les plus vendus, les revenus de vos entreprises vont pour certains d'entre vous baisser de 20, 30, voir 40% ! C'est une chute historique et donc un bouleversement qui vous attendent.
Avec Christine LAGARDE, que je remercie, nous avons mis en place un crédit impôt recherche - je l'affirme - qui est l'un des plus favorables au monde.
Je dis aux industriels étrangers qui investissent en France : le crédit impôt recherche que nous avons triplé est l'un des plus favorables au monde.
Et je vous annonce que son remboursement immédiat décidé dans le cadre du plan de relance sera étendu à 2010 dans le projet de loi de finances. Ce n'est pas une décision que nous avons prise pour un an, c'est une décision qu'avec la ministre des Finances nous avons prise pour faire de la France une terre de recherche.
Valérie PECRESSE a conduit avec mon soutien total l'autonomie des Universités françaises. On l'attendait depuis quatre décennies. C'est aujourd'hui une réalité. Et quand il y a eu contestation, nous n'avons pas reculé d'un centimètre, parce que nous pensons que l'avenir des Universités françaises passe par l'autonomie. La réforme des centres hospitaliers et universitaires qu'a remarquablement conduite Roselyne BACHELOT, - cela concerne 1 100 000 personnes - a été menée dans un climat social apaisé, sans drame. Etc.
La fiscalité sera mise au service de la recherche. Les entreprises bénéficieront donc d'un allègement d'impôts de 12 milliards d'euros en 2010. Cela représente, pour l'industrie pharmaceutique, une baisse de la cotisation de taxe professionnelle de 16%. 16% dans le contexte actuel.
Et comme il tient à le rappeler lors de sa campagne présidentielle, il n'a pas été élu pour augmenter les impôts au contraire.
Mais voilà, il n'avait pas précisé pour qui la baisse.
Source : http://www.elysee.fr/documents/index.php?mode=cview&cat_id=7&press_id=3041&lang=fr
A oui une petite info : François Sarkozy (frère), Vice-président de BioAlliance Pharma
Source : http://www.bioalliancepharma.com/fre/Accueil
Non sérieux, les labos ont besoin de vous car sinon c'est 20 à 40% qu'ils vont perdre comme chiffre d'affaire.
Pour sauver nos labos envoyaient leurs de l’argent ou faites vous vacciner car pour le moment leurs brevets ne va expirer.