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fibromyalgie

  • Fibromyalgie et Nanotechnologies

    Voilà 2 articles parues sur le site : Médecine douces.
    Source : http://www.medecines-douces.com/impatient/343avril07/nanotechnologies.htm

    Article 1 :

     

    Nanotechnologies entre espoir et interrogations

     

    Plus de 400 produits de consommation courante contiennent des nanoparticules. Alors que l’on ne sait pas grand-chose sur leur éventuelle toxicité !

    Le nanomètre est au mètre ce que le pamplemousse est à la terre, infiniment petit. Les nanotechnologies se réfèrent à toutes les technologies utilisant des particules de l’ordre du nanomètre, c’est-à-dire 1 milliardième de mètre. 

    Il existe des nanoparticules d’or, d’oxyde de titane, de noir de carbone (autrement dit les extra mini-poussières de fumée de bougie). Elles se présentent sous différentes formes : nanotubes (de carbone), nanosphères, nanocubes, nanocristaux (encore appelés boîtes quantiques ou « quantum dots »)…

    À ces dimensions-là, les propriétés physiques et chimiques de la matière se trouvent modifiées, comme le rappelle le groupe ETC dans son dernier rapport sur les nanotechnologies (1). « De manière générale, plus les matériaux sont petits, plus ils réagissent vite et violemment. Par exemple, le carbone, sous forme de mine de crayon est tendre et malléable, alors que sous forme de nanotubes, il devient beaucoup plus résistant que l’acier. » Le noir de carbone et le dioxyde de titane, classés potentiellement cancérigènes chez l’homme par le Centre international de recherche sur le cancer, le seront-ils moins ou plus à l’état nano ? On aurait pu penser que le règlement Reach (destiné à évaluer la toxicité des substances chimiques) résoudrait cette question, mais, rappelle l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail, « ce règlement n’est limité qu’aux substances produites à plus d’une tonne par fabricant, non cumulable. Par ailleurs, il s’applique aux substances et non aux matériaux ». Or les nanos se trouvent souvent à la frontière entre les deux mondes.

     

    Une toxicité encore méconnue
    On ne sait rien de la présence de nanoparticules dans divers produits courants : médicaments, crèmes antirides, shampooings, chaussettes désodorisantes, pneumatiques, raquettes … …de tennis (2)… Pourtant, elles n’ont fait l’objet d’aucune évaluation quant à leur toxicité pour la santé humaine ou celle de l’environnement…

    De plus, il n’existe pas de législation adéquate relative à leur étiquetage, ce qui permettrait « au consommateur de choisir en connaissance de cause et d’éviter, en vertu de la plus élémentaire prudence, l’utilisation de produits potentiellement dangereux », souligne le Grappe-asbl (Groupe de réflexion et d’action pour une politique écologique - Association sans but lucratif) (3).

     

    Dès 2003, Greenpeace donnait l’alerte en dénonçant la méconnaissance générale liée à l’absence pure et simple d’études sur le sujet (4). Depuis, plusieurs programmes européens (Nanosafe, Nanoderm, Shape Risk…) ont été initiés pour étudier les dangers de ces particules, leur capacité à franchir la barrière de la peau, les moyens de les détecter…

    Ce n’est qu’en janvier 2007 qu’une étude officielle du CNRS a démarré sur la toxicité des nanotubes de carbone. Découverts en 1991, ils entrent aujourd’hui dans la composition de matériaux courants : écrans plats, pneus, pièces de carrosserie (Renault et Peugeot) ou articles de sport (battes de baseball)… Lors du tour de France 2005, Floyd Landis roulait sur le premier vélo équipé d’un cadre aux nanotubes de carbone.

    L’étude du CNRS doit également examiner le devenir de ces matériaux après usage : leur dégradation, la libération des nano particules dans l’eau, l’air, les sols… La production annuelle mondiale de nano tubes de carbone (près de 99 tonnes en 2006) justifie sans doute cette attention, celles de noir de carbone (6 millions de tonnes par an, dont 200 000 en France), de dioxyde de titane et d’oxyde de zinc (1 000 à 2 000 tonnes par an) mériteraient également d’être prises en compte.

     

    Des cosmétiques révolutionnaires ?

    Si les applications médicales des nanotechnologies restent balbutiantes (lire encadré page suivante), il en va autrement des compléments alimentaires et de la cosmétologie qui contiennent déjà des nanoparticules. Le Grappe, inquiet des possibles conséquences sanitaires, vient de lancer en Belgique une série de débats citoyens sur le sujet. L’Afsset (5) émet des doutes : « Il existe très peu de données publiées sur les expositions par voie cutanée aux nanoréseaux […]). Compte tenu de leur faible diamètre, leur pénétration cutanée pourrait être largement facilitée. Peu de travaux sont disponibles dans la littérature et leurs conclusions apparaissent contradictoires. »

    D’autres sources d’exposition sont à craindre : les aliments que nous consommons ! Nano forum (6), réseau d’information sur les nanotechnologies constitué avec le soutien de la l’Union européenne, rappelle que « les applications des nanotechnologies dans tout le secteur de l’agroalimentaire sont multiples et déjà opérationnelles ». Des films plastiques d’emballage, truffés de nano particules de silicate, réduisent les échanges gazeux entre l’aliment emballé et l’extérieur, et protègent du dessèchement, des moisissures, de l’oxydation… Autre secteur, lui, expérimental : les nano particules dans les aliments pour leur conférer diverses qualités concernant la composition (avec ou sans sucre), l’apparence (texture plus ou moins onctueuse, couleur, saveur) ou la conservation (par exemple la libération de conservateurs après ouverture de l’emballage).

    Mais l’ingestion de telles particules pose question : leur possible traversée de membranes à effet barrière comme le placenta est dangereuse, leur persistance dans l’organisme pourrait être hautement pathogène…

    Et l’exposition professionnelle ?

    Fera-t-on face à une nouvelle affaire de l’amiante ? Pour certaines associations comme les Grenoblois de Pièces et Main d’œuvre (7), cela ne fait aucun doute. Ils assimilent les nanotechnologies à des « nécro technologies », au même titre que le nucléaire ou les biotechnologies. Il faut dire qu’à Grenoble s’est ouvert Minatec, un vaste complexe industriel, premier pôle européen sur les nanotechnologies. Sans aucune concertation avec la population. Sans information. « Minatec consomme à lui seul 15 % de l’électricité de la ville de Grenoble ! » s’indigne l’association. La concentration de l’air en nano particules devient en Isère beaucoup plus élevée qu’ailleurs…

    Avec quels risques ? L’Afsset rappelle sans ambiguïté que les nano particules « peuvent entrer dans l’organisme par trois voies principales : respiratoire, cutanée et digestive ». Des experts du CNRS estiment qu’en 2010, plus de deux millions de salariés y seront exposés.  Or, « aucun masque ne peut les arrêter », alerte le toxicologue Alain Lombard.

    Si bon nombre des recherches tiennent encore de la science-fiction, il n’en reste pas moins que nous sommes bel et bien entrés dans l’ère des nanotechnologies, souvent sans le savoir et sans en connaître les conséquences à long terme sur la santé humaine. On s’étonnera décidément toujours d’une politique de développement qui consiste à faire d’abord et voir ensuite !     

    Article 2:

    Fibromyalgie

    La fibromyalgie rencontre de plus en plus d’intérêt dans les milieux scientifiques, et le dernier Congrès mondial de la douleur s’en est fait l’écho à Sydney, en août 2005.
    Il ressort de ces études que 600 000 Français, 2 % de la population occidentale et jusqu’à 4,9 % des femmes seraient atteints par cette affection.

    Bien que reconnue par l’OMS, certains pensent que ce syndrome n’existe pas. L’un de nos confrères écrivait récemment dans une revue professionnelle (Revue pratique Médecine générale 2005 ; 19,692):   « Allons-nous longtemps cautionner des diagnostics douteux ou à la limite de l’escroquerie pure ? … »
      L’entourage de ces patients est également partagé entre bienveillance et suspicion. Pris entre deux feux, les patients sont dans une situation bien inconfortable, aggravée par le peu de traitements ayant fait la preuve de leur efficacité. D’autant plus que certains de ces patients ne tolèrent aucun médicament…
      Que pouvons-nous faire lorsque, apparemment, il n’y a rien à faire ?
     
      Aucune explication scientifique ne fait l’unanimité, plusieurs concepts sont discutés : neurophysiologique, psychologique, social. Il est légitime de s’interroger. Les modifications neurophysiologiques sont-elles cause ou conséquence d’un vécu perturbateur comme dans une dépression ? Les symptômes sont-ils l’expression somatique d’un trouble psychique ? Découlent-ils d’un « prêt-à-porter culturel » (Dr Anne Françoise Allaz), d’une construction sociale ? Ils semblent résister à nos hypothèses physiopathologiques, nos tentatives thérapeutiques. Le parcours médical de ces patients est une longue pérégrination qui a souvent duré des mois ou des années, au cours desquels ils ont rencontré des praticiens de spécialités différentes. Ceux-ci les ont écoutés sans les soulager, ou bien ne les ont pas écoutés, pas crus, et bien souvent les ont pris pour des simulateurs ou des malades psychiatriques. A la douleur physique s’ajoutent, alors, déception et découragement.

    Ma réflexion :

    Sachant que la myofasciite est dû a l’hydroxyde d’aluminium et hormis les personnes diagnostiqués fibromyalgique et qui n’ont jamais eu de biopsie et qui peuvent être donc atteintes de myofasciite sans le savoir,

    Alors question ?

    Fibromyalgie et Nanotechnologies peuvent-ils avoir un rapport ? Faites votre opinion !

  • FIBROMYALGIE, SYNDROME DE FATIGUE CHRONIQUE ET MYOFASCIITE À MACROPHAGES

    Publié par Dr Sylvain Desforges,

    Site : http://www.drdesforges.com/smartsection+item.itemid+19.htm

      FIBROMYALGIE, SYNDROME DE FATIGUE CHRONIQUE ET MYOFASCIITE À MACROPHAGES

    1- FIBROMYALGIE ET SYNDROME DE FATIGUE CHRONIQUE

    Symptômes identiques dont les principaux sont : douleurs musculaires et articulaires, fatigue chronique et atteinte de la sphère cognitive, notamment mémoire et attention. La kyrielle des autres symptômes est également identique.

    Ces deux syndromes entraînent une perturbation du système immunitaire.

    Les seules différences trouvées dans un document est que :

    Dans le cadre d’une fibromyalgie, c’est la douleur qui entraîne la fatigue alors que dans celui du Syndrome de Fatigue Chronique, c’est la fatigue qui entraîne la douleur. " Comment faire la différence, sachant que les deux interviennent en même temps ? "

    L’exercice physique améliore l’état des personnes souffrant de Fibromyalgie alors qu’il augmente la fatigue pour celles souffrant d’un SFC.

    Pourtant malgré les très nombreux témoignages, je n’ai pas encore trouvé de personnes diagnostiquées " Fibromyalgiques "' ayant un soulagement avec l’exercice, c’est plutôt l’inverse…. ? Par contre, il en faut un minimum pour éviter la fonte musculaire.

    Les patients souffrant de FIBRO ou de SFC sont en majorité des personnes atteintes de myofasciite à macrophages, hormis celles qui ne connaissent pas cette maladie (ou leur médecin) et se contentent du diagnostic

    2 - LA MYOFASCIITE A MACROPHAGES

    Les symptômes sont exactement les mêmes que ceux de la Fibromyalgie et le Syndrome de Fatigue Chronique, ainsi que ceux du Syndrome de la Guerre du Golfe et différentes myosites.

    La Myofasciite à Macrophages touche les patients vaccinés par certains vaccins contenant de l’hydroxyde d’aluminium et la lésion provoquée par l’aluminium est encore visible trois ans après la vaccination et parfois huit ans après .

    On décèle cette lésion au point d’injection du vaccin (deltoïde) en pratiquant une biopsie musculaire.

    Malheureusement, il n’existe que 4 centres en France qui peuvent pratiquer cette biopsie (Paris, Créteil, Marseille et Bordeaux).

    Il est important de savoir que la norme européenne pour le seuil d’aluminium à ne pas dépasser est de 15 mg/litre. Or, les vaccins souvent réalisés (DTCP, HA, HB) = 650 à 1250 mg / litre . Un enfant qui suit les vaccinations obligatoires se retrouve avec 8000 mg d’aluminium dans le corps avant l’âge d’un an .

    Sachant que les anticorps ne sont pas à maturité et qu’il y a risque d’un déficit immunitaire, on peut imaginer facilement qu’il pourra contracter une maladie dans les années à venir. Comme il s’agit d’un enfant, cela évolue très rapidement et l’on constate aujourd’hui qu’il y a une "flambée" d’enfants vaccinés déclarent des Scléroses en Plaques.

    Pour en revenir à la Myofasciite à Macrophages, 30 % des Myofasciites à Macrophages sont associées à une maladie autoimmune, le plus souvent une Sclérose en Plaques.

    Source : CRI-VIE www.innovationsanté.com

    Historique de la Myofasciite à Macrophages

    • Mai 1993 : Docteur Michelle COQUET Neuropathologiste observe le premier cas Français. Une biopsie musculaire pratiquée chez une femme suspectée de polymyosite montre des lésions jamais publiées en pathologie musculaire. Une première publication américaine antérieure avait déjà observé cet aspect histologique particulier (1982. MRACK).
    • Décembre 93 : Ce cas est présenté à la Société scientifique Française de Neuropathologie à Paris. Personne n’avait vu de telles lésions.
    • 1994 : Professeur Romain GHERARDI, chef du service d'histologie de l'hôpital Henri-Mondor, à Créteil (Val-de-Marne). Groupe d'Etude et de Recherche sur le Muscle et le Nerf (GERMEN) observe un deuxième cas.
    • 1995 : 2 nouveaux cas (Bordeaux et Créteil).
    • 1996 : Réunion sous l’égide de l’Association Française des Myopathies des médecins ayant observés des cas identiques : Fardeau (Institut de Myologie), Coquet ( CHU Bordeaux ) Ghérardi ( CHU Créteil ), Pellissier ( CHU Marseille ), Mussini ( CHU Nantes ) : tous les cas montrent les mêmes lésions histologiques (amas de macrophages dans fascia et muscle contigu) et ultrastructurales (inclusions en aiguilles dans les macrophages). Un tableau clinique commun se dégage des observations : douleurs musculaires et articulaires, fatigue intense. 
      On ne connaît pas la nature des inclusions observées en microscopie électronique. A la demande de l’Association Française des Myopathies, un groupe de travail est créé par le Pr Patrick Chérin, clinicien en médecine interne à la Pitié-Salpétrière , dénommé GERMMAD (Groupe de Recherche sur les Maladies Musculaires Acquises et Dysimmunitaires), qui en assure la présidence. 
      Ce groupe de recherche associe des cliniciens, des histologistes et des immunologistes. Compte tenu de l’apparition de nouveaux cas, une réunion du GERMMAD se tient à Paris, spécifiquement dédiée à cette nouvelle myopathie. Le nom descriptif de 'myofasciite à macrophages' est proposé et accepté par le groupe. 
    • 1998 : Parution de l’article du ' Lancet '. A l’époque on ne connaissait toujours pas la nature des inclusions, on pensait qu’il pouvait s’agir d’une nouvelle maladie d’origine virale, bactérienne ou toxique. La nature des inclusions macrophagiques est trouvée par Philippe Moretto du CNRS à Bordeaux, grâce à une technique mise au point par lui au centre de recherche nucléaire de Bordeaux-Gradignan: c’est de l’aluminium. Les dosages d’aluminium dans le sang et les urines sont normaux (Pr Patrick Chérin, Pitié-Salpétrière), évoquant une intoxication locale.Romain Ghérardi ( CHU Créteil ) pense que cet aluminium est d’origine vaccinale.Jérôme Authier ( CHU Créteil ), reproduit les lésions de la Myofasciite à Macrophages chez le rat en injectant du vaccin contre l’hépatite B. 
    • Septembre 1999 : Réunion à l’OMS à Genève : Membres du GERMMAD : le Président Pr Patrick CHERIN, Hôpital Salpétrière , le Pr Ghérardi et le Dr Coquet, ainsi que des représentants de l’Institut de Veille Sanitaire (Malfait Levy-Bruhl) étaient présents, ainsi que les représentants de nombreux pays(USA, Afrique du Sud, Inde, Angleterre, Allemagne, Suisse) et les représentants des 2 laboratoires fabriquant les vaccins : Pasteur-Mérieux et MSD (Marck Sharp & Dahme). 
    • Juin 2000 : Deuxième réunion à l’OMS avec la même équipe. Le Pr Patrick CHÉRIN présente ses résultats sur les scintigraphies au GALLIUM dans la Myofasciite à Macrophages, au cours d'une étude comparative. Le Pr Romain Ghérardi émet l’hypothèse d’une analogie entre Myofascite à Macrophages et certains syndromes de la guerre du golfe qui pourraient être dus à l’aluminium des vaccins. 
    • 2001: Publication dans THE BRITISH JOURNAL BRAIN avec les conclusions de tous les travaux de recherche des centres de Neuropathologie de Créteil et Bordeaux et de l’Institut de Myologie de la Salpetrière. La publication démontre la présence d’aluminium, son origine vaccinale, la reproduction des lésions chez le rat et les relations avec la clinique. 
    • 2002 : Mise en place d’une étude épidémiologique exploratoire de la Myofasciite à Macrophages financée par l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé. (enquête en cours en juin 2002).

    Depuis son apparition, environ 350 cas ont été colligés en France. Cette description rapportait l'apparition d'une nouvelle myopathie inflammatoire, enregistrée avec une incidence croissante dans les principaux centres de myopathologie français et dénommée myofasciite à macrophages (MMF).

    À CE JOUR : Il se diagnostique en moyenne et au minimum 6 myofasciites par semaine sur les 4 centres officiels. CRETEIL, SALPETRIERE, BORDEAUX, MARSEILLE.

    La myofasciite à macrophages représente une nouvelle entité émergente au sein des myopathies et des fasciites inflammatoires. Elle ne correspond à aucune des histiocytoses antérieurement décrites ou aux maladies de surcharge macrophagique connues.

    Professeur Patrick CHÉRIN., Hôpital Salpétrière Président du GERMMAD

    Docteur Michelle COQUET, CHU DE BORDEAUX

    Professeur Romain GHERARDI, chef du service d'histologie de l'hôpital Henri-Mondor, à Créteil (Val-de-Marne). Groupe d'Etude et de Recherche sur le Muscle et le Nerf (GERMEN)

    Professeur Jean-François PELLISSIER, chef du service d'Anatomie Pathologique et de Neuropathologie de l'Hôpital de la Timone à Marseille. Groupe de recherche LBNM (Laboratoire de Biopathologie Nerveuse et Musculaire -EA 3281)

    Docteur François-Jérome AUTHIER, Hôpital Henri-Mondor, à Créteil (Val-de-Marne)

    Source: Association E3M