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hépatite b

  • SEP et Vaccination y a t'il une relation?

     

    http://www.contaminations-chimiques.info/images/img2008/dossier_noir-aa38c.jpg

     

    Image provenant : http://www.contaminations-chimiques.info/images/img2008/dossier_noir-aa38c.jpg

     

    Me voilà de retour avec un sujet très controversé : Le vaccin de l’hépatite B peut il provoquer la sclérose en plaque ?

    Alors voici par exemple ce que nous explique le site EurekaSanté lancé par la société VIDAL  (expert présent chez tous les professionnels de santé, dans plus de 90% des Hôpitaux et dans les plus grands groupes et les institutions.)

    Mis à jour : Jeudi, 17 Février 2011

    Que penser du vaccin contre l’hépatite B ?

    Le vaccin de l’hépatite B est très efficace, en particulier chez les jeunes enfants. Dans les années 1990, une campagne de vaccination systématique des enfants a été lancée. À la suite de celle-ci, ce vaccin a été incriminé dans l’apparition de cas de sclérose en plaques (une maladie dégénérative des nerfs) chez de jeunes adultes. Même si les études menées par la suite semblent disculper le vaccin, les Français restent méfiants à son propos et la France a  la plus mauvaise couverture vaccinale des pays industrialisés.

    Source : EurekaSanté     

     

    Et pourtant ….si l’on regarde les fiches des  Vaccins :   INFANRIXHEXA, TWINRIX,   ENGERIX B,  GENHEVAC B PASTEUR, HB VAX PRO, on peut constater que dans les Effets indésirables possibles nous pouvons lire :
    Des troubles neurologiques (dont la sclérose en plaques) ont été très exceptionnellement observés après la vaccination contre l'hépatite B. La responsabilité du vaccin dans la survenue de ces troubles n'est pas établie à ce jour

     

    Autre site Hépatites Info Service onglet : Quel est le risque de développer une sclérose en plaques ?
    Date de la dernière mise à jour 18/01/2006.  Actuellement, aucune étude scientifique n’a démontré de lien de causalité entre la vaccination contre le VHB et la survenue d’une SEP ou autres affections auto-immunes.

    Autre onglet : Quelles sont les contre-indications de la vaccination ?

    On recommande désormais d’éviter cette vaccination chez les patients souffrant d’affections démyélinisantes du système nerveux central (comme la sclérose en plaques) ou ayant des antécédents familiaux de ce type.

     

    Source : Hépatites Info Service  

     

    Vous ne trouvez pas que sur ces deux sites ayant le logo HONcode, code de conduite pour les sites web de santé, il y a beaucoup de contradictions ?

     

    Maintenant si nous faisons des recherches sur le site de l’AFSSAPS dans  Médicaments et classes de médicaments faisant l'objet d'une surveillance renforcée au cours de leur commercialisation dont la Mise à jour date du  08/02/2011 nous pouvons lire :

     Vaccins anti-hépatite B   

    Motifs de la surveillance renforcée : Risque d'atteintes démyélinisantes, maladies autoimmunes et myofasciites à macrophages.

     

    Source : AFSSAPS 

     

    Mais aujourd’hui ce qui m’interpelle c’est la : Deuxième séance du mardi 2 novembre 2010 de l’Assemblée nationale

    Pour vous aidez à vous repérez : Partie 3, Projet de loi de finances pour 2011, Seconde partie (suite) puis Reprise de la discussion

    Amendement n° 42.

    Mme Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la santé :

    Cet amendement vise à supprimer le fonds d’indemnisation des victimes d’accidents médicaux à la suite d’une campagne de vaccination.
    Rassurez-vous : il ne s’agit pas du tout de ne pas indemniser les victimes, il s’agit de simplifier les modalités de leur indemnisation. Etc.

     

    Amendement n° 44, présenté par le Gouvernement.

     

    Extrait :

    Mme Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la santé.

    Le présent amendement concerne l’indemnisation des sapeurs-pompiers volontaires victimes d’un préjudice à la suite d’une vaccination contre l’hépatite B.

    En vertu de l’article 42 de la loi HPST, le Gouvernement a présenté en début d’année au Parlement un rapport évaluant l’intérêt qu’il y aurait à étendre le dispositif d’indemnisation amiable aux sapeurs-pompiers depuis la date d’entrée en vigueur de la loi du 18 janvier 1991.

    En application de certains articles du code de la santé publique, les sapeurs-pompiers peuvent actuellement présenter une demande d’indemnisation pour les préjudices qu’ils considèrent comme imputables à la vaccination contre l’hépatite B, pratiquée postérieurement à l’entrée en vigueur de l’arrêté du 29 mars 2005 qui l’a rendue obligatoire.

    Comme le rappelle le rapport que vous avez en votre possession, un arrêté du ministère de l’intérieur du 6 mai 2000 avait étendu l’obligation vaccinale aux sapeurs-pompiers professionnels et volontaires des SDIS. Etc.

    Les choses sont plus discutables en ce qui concerne la période antérieure à mai 2000 pendant laquelle les sapeurs-pompiers ne peuvent pas se prévaloir d’une obligation vaccinale à proprement parler, mais simplement d’une recommandation particulière au regard de leur exposition aux risques de contamination par l’hépatite B.

    Le rapport remis au Parlement propose donc clairement d’instaurer une rétroactivité de la possibilité pour les sapeurs-pompiers d’avoir recours au dispositif d’indemnisation pour la période allant du 6 mai 2000 à mars 2005.

    M. le président. Quel est l'avis de la commission ?

    M. Gérard Bapt, rapporteur spécial. La commission n’a pas examiné cet amendement. Cependant, l’on ne peut être que favorable à l’indemnisation des sapeurs-pompiers – qui sont des volontaires – en cas d’effets indésirables dus à la vaccination.

    Vingt sapeurs-pompiers sont concernés par cette indemnisation. Pouvez-vous, madame la ministre, nous préciser le type de pathologie dont ils souffrent ? S’agit-il majoritairement de sclérose en plaques ?

    À ma connaissance, les adjuvants du vaccin contre l’hépatite B comportent des sels d’aluminium. Or des études récentes indiquent qu’ils peuvent éventuellement avoir des effets indésirables. Du reste, l’OMS avait demandé que le vaccin contre la grippe A n’en comporte pas.

    Mme Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la santé. Il n’y en avait pas.

    Mme Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la santé. Pour les vingt cas, il s’agit de sclérose en plaques. Le rôle des sels d’aluminium a été identifié. Les études ne sont pas encore déterminantes. Vous avez eu raison de rappeler qu’il n’y avait pas de sels d’aluminium dans le vaccin contre la grippe H1-N1. Le bruit avait couru sur internet de manière infondée.

    Le rôle des sels d’aluminium pourrait être incriminé sous le bénéfice d’études complémentaires.

    M. le président. La parole est à Mme Catherine Génisson.

    Mme Catherine Génisson. Nous ne pouvons que voter cet amendement.

    Serait-il possible également que les personnes ayant été exposées de près ou de loin aux dangers de l’hépatite B et soumises à la vaccination obligatoire puissent être prises en compte par l’indemnisation, ainsi que celles qui ont contracté une complication suite à une hépatite B ?

    Nous avons adopté deux amendements concernant l’indemnisation d’accidents médicaux suite à des vaccinations. Il me semble donc particulièrement nécessaire de faire des campagnes d’information et de la pédagogie sur l’importance des vaccins, eu égard au peu d’intérêt de nos concitoyens pour la vaccination. Etc.

    M. le président. La parole est à Mme la ministre.

    Mme Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la santé. Si vous déposiez un sous-amendement, cher Jean-Pierre Grand, il risquerait fort de tomber sous le coup de l’article 40.

    Je vais donc reprendre votre proposition et modifier la rédaction de mon amendement :

    « Les dispositions de l’article L. 3111-9 du code de la santé publique sont applicables aux personnes exerçant ou ayant exercé une activité professionnelle ou volontaire au sein des services d’incendie et de secours qui ont été vaccinées contre l’hépatite B depuis la date d’entrée en vigueur de la loi n° 91-73 du 18 janvier 1991 portant dispositions relatives à la santé publique et aux assurances sociales. »

     (L'amendement n° 44, ainsi rectifié, est adopté à l’unanimité.)

    Source : Assemblée  nationale                                  

      

    Intéressante cette Deuxième séance du mardi 2 novembre 2010 :

     

    1) On Modifie une loi afin de permettre une indemnisation à une minorité de personne ayant développé une SEP (tant mieux pour eux) à qui ont avait fortement conseillé de recevoir un vaccin n’est il pas une manière de reconnaître la responsabilité du vaccin ?

     

    2) Pour les vingt cas, il s’agit de sclérose en plaques. Le rôle des sels d’aluminium a été identifié.

     

    Oui je sais la précision sur Le rôle des sels d’aluminium doit bénéficier d’études complémentaires mais pourtant ils acceptent de payer.
    De plus on apprend que  l’OMS avait demandé que le vaccin contre la grippe A n’en comporte pas. Pourquoi cette précaution si il n’y a aucun danger ?

    Et si le rôle des sels d’aluminium dans le vaccin de l’hépatite B est imputable à la Sclérose en plaque, alors, Les autres vaccins qui contiennent aussi cet adjuvant risquent également de provoquer la SEP ?

     

     

    A la quand la vérité !

    Ne vous étonnez pas

     Si la France a  la plus mauvaise couverture vaccinale des pays industrialisés

     

     

  • Hépatite B : deux laboratoires convoqués par la justice

    Entre 1994 et 1998, quelque 21 millions de Français ont été vaccinés contre l'hépatite B. Mille trois cents patients ont développé, depuis, des troubles neurologiques. On se dirige vers la mise en examen des deux laboratoires qui ont élaboré le vaccin.

    TREIZE ANS après la campagne de vaccination massive contre l'hépatite B, la juge d'instruction Marie-Odile Bertella-Geffroy vient de convoquer les deux groupes pharmaceutiques qui ont fabriqué le vaccin en vue d’un probable mise en examen, pour « tromperie aggravée », en janvier. Les laboratoires GlaxoSmithKline et Aventis Pasteur MSD, déjà placés sous le statut de témoins assistés, ont reçu un courrier pour un rendez-vous en début de semaine prochaine au pôle santé du parquet de Paris. La magistrate s'assurera de l'identité des représentants légaux des laboratoires avant de leur signifier leur éventuelle mise en examen en tant que personnes morales.

     

    Une étape formelle, mais nécessaire, car les deux groupes ont changé de structure et de dirigeants depuis le début de l'affaire, en 1994. La qualification d'homicide involontaire pourrait être retenue contre Aventis Pasteur MSD. Le laboratoire nous a déclaré « ne pas vouloir s'exprimer sur le sujet du vaccin contre l'hépatite B ». Chez Glaxo-SmithKline, on indique : « Comme dans toute affaire, nous ne souhaitons pas faire de commentaires. »

     

    Six plaintes en cours

    La justice reproche aux deux fabricants pharmaceutiques de ne pas avoir déclaré l'ensemble des effets indésirables ou secondaires lors de la commercialisation de ce produit en 1994. Depuis, plus de 1 300 personnes vaccinées ont souffert d'affections neurologiques dont un petit millier de sclérose en plaques (SEP). Le lien entre l'administration du produit et l'apparition de ces maladies dégénératives a suscité de vives polémiques chez les experts scientifiques, auprès des tribunaux administratifs et de la justice pénale. L'Etat a reconnu sa responsabilité à la suite d'un arrêt du Conseil d'Etat : 150 personnes ont bénéficié d'indemnisations de 2 000 à 15 000 € par an au titre du préjudice subi. Mais l'instruction menée au pénal à la suite des plaintes de six patients est toujours en cours.

    Les interrogations se concentrent sur la pertinence d'une campagne massive. Entre 1994 et 1998, plus de deux tiers de la population et presque tous les nouveau-nés ont été vaccinés, soit quelque 14 millions d'adultes et 7 millions d'enfants de moins de 15 ans. Le virus de l'hépatite B était présenté comme aussi dangereux que le sida et transmissible par la salive, un non-sens. Les dépliants des groupes pharmaceutiques inondaient les cabinets médicaux pour vaincre ce fléau. Selon Bernard Fau, avocat de parties civiles, l'hépatite B ne concernait que des groupes à risques (toxicomanes, personnes ayant plusieurs partenaires sexuels sans protection, professionnels de santé...) : « Il n'existait pas d'intérêt de santé publique à vacciner une population entière. » Une analyse qui converge avec le rapport des experts Salamon, Henry et Gilleron, rendu en juin 2006 à la juge : « Les contrôles des campagnes commerciales menées par les laboratoires pour assurer la promotion de leurs produits laissent apparaître d'importantes insuffisances. ».

    Philippe Douste-Blazy, ministre de la Santé à l'époque, a expliqué qu'il avait suivi l'avis de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) avant de décider de lancer les vagues de vaccination dans les milieux scolaires  

    Source : http://www.leparisien.fr/home/info/faitsdivers/articles.htm?articleid=291412950

     

  • vaccination contre l’hépatite B

    Mes Voyages sur la toile m’ont emmené aujourd’hui à visiter le Centre international d’information, recherches et études sur les troubles du métabolisme et du comportement.

     

    Voilà un extrait d’article que l’on peut lire sur le site :

    Les conclusions bouleversantes du Dr Marc Girard. Expert en pharmacovigilance et pharmacoépidémiolocjie (Médicament et Recherche biomédicale) près la Cour d’Appel de Versailles


    « Le 14 novembre 2002, la parution d’un rapport d’expertise judiciaire, commandé par le juge Marie-Odile Bertella-Geffroy qui instruit depuis plusieurs années le dossier du vaccin contre l’hépatite B, a fait la une de la presse française. Basé sur des documents saisis à l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé et au centre de Pharmacovigilance de Strasbourg, ce rapport accablant de 450 pages dénonce les incohérences et défaillances notoires de cette campagne qui a coûté 10 milliards de francs.
    L’expert, le Dr Marc GIRARD, a découvert un rapport de la Direction Générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 ». (Cité par S.Simon)

      

    Pour le Dr Marc GIRARD :

     « Des observations cliniques et épidémiologiques convergentes ainsi parues dans la littérature internationale, il ressort que pour des raisons encore mal déterminées, la vaccination contre l’hépatite B semble avoir une propension toute particulière à déclencher des réactions d’expression très variables : (affections démyélinisant, lupus, maladies rhumatismales, troubles rénaux ou hématologiques...) ; mais dont le point commun est qu’elles sont toutes susceptibles d’être liées à une réaction dysimmunitaire mettant notamment en jeu des phénomènes d’auto-immunité…

     Il semble que le risque de pathologie auto-immune fié à la vaccination contre l’hépatite B soit encore mieux documenté que celui des complications neurologiques...

    (. .) Catastrophe sanitaire probablement d’une ampleur sans précédent dans notre pays.

     « L’affaire » de la vaccination contre l’hépatite B se ramène pour l’essentiel à une disproportion caricaturale entre un bénéfice prévisible- infime- et un risque objectivement encouru...

    Alors qu’une exigence toute particulière d’information aurait dû gouverner un projet collectif aussi dépourvu de bénéfice individuel crédible, les responsables ont accumulé les dissimulations, voire les falsifications scientifiquement caractérisées...

    Un essai de bilan chiffré aboutit à considérer que pour un espoir théorique de quelques centaines de complications évitées tout au plus, Les responsables n’ont pas hésité à envisager comme risque acceptable des milliers de victimes iatrogènes dans une population parfaitement saine, quasiment pas exposée au risque d’hépatite, dont un bon nombre d’enfants et de nourrissons.., pour un bénéfice proche de zéro, il est probable que les victimes françaises se dénombrent aujourd’hui par dizaines de milliers...

    (. .) L’exposition massive de la population à la vaccination contre l’hépatite B est le seul facteur nouveau exactement contemporain de cette élévation massive du nombre de SEP. »

     

    Effrayant non !

     

    Je vous invite à découvrir ce site : http://www.hyperactif.net/accueil.html