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Polémique séjour privé couple Sarkozy chez un milliardaire.
2009 : Mexique et convalescence
Avant une visite officielle au Mexique, Nicolas et Carla Sarkozy passent deux nuits de vacances dans un hôtel à 3.5000 dollars (2.600 euros) la nuit. Invités par le chef de l’Etat mexicain, jure l’Elysée. Mais la presse locale s’interroge et accuse le couple présidentiel d’avoir profité des faveurs du sulfureux milliardaire Roberto Hernandez Ramirez, soupçonné d’être proche des narcotrafiquants.
Combien de temps encore nos décideurs vont-ils jouer avec nous avant que nos fils cassent ?
Le 21.11.2010, dans ma note « Retraite, a-t-on joué de notre ignorance ? » je m’exprimais sur la manière dont les hommes politiques, les syndicats c’était moqué de notre crédulité…Et bien ce n’est pas terminé.
A travers la planète, le peuple subit les effets de ces marionnettistes et bien sur à qui présentons nous la facture ? A nous!
Voici un extrait de :
La Une des Échos du mercredi 1er septembre
« Impôts : l’avertissement de Parisot au gouvernement »
Le soutien massif des États à l’économie a permis d’éviter le pire. Cela se traduit par une forte dégradation des comptes publics. Le déficit public de la France a atteint 7,9 % du PIB en 2009, soit un niveau record de 138 milliards d’euros. »
Par comparaison, rappelons que les 40 entreprises composant l’indice CAC ont réalisé un bénéfice net de 46 milliards d’euros en 2009…
Et en 2010 ?
Tout va très bien pour les stars du CAC 40 : 42 milliards d’euros de bénéfices au premier semestre, soit un quasi-doublement des profits par rapport à 2009. De son côté, le déficit public – celui qui pèse sur nos épaules en tant que citoyens – ne devrait guère s’améliorer, loin de là : 115 à 130 milliards prévus en 2010.
Ce doublement des profits profite-t-il à la France et aux Français ?
Contrairement à ce qui est souvent affirmé, hausse des profits des sociétés du CAC 40 ne signifie pas amélioration de la situation de l’emploi en France, au contraire : une usine qui ferme en France pour s’installer dans un pays à bas salaires, c’est avant tout plus de bénéfices pour l’entreprise concernée et, globalement, un transfert de richesse supplémentaire du « travail » vers le « capital ».
Impôts : l’avertissement de Parisot au gouvernement
La présidente du MEDEF menace d’accélérer les licenciements si les prélèvements sociaux remontent.
Elle explique comment l’État doit s’y prendre pour retrouver l’équilibre des comptes et surtout fixe le cap des « réformes » : « Pour réduire les dépenses, il faut continuer les réformes structurelles. Nous sommes au milieu du gué pour celle des retraites. Il faudra ensuite lancer très vite celle de l’assurance maladie. »
Après les emplois fictifs, les notes de frais somptuaires avec de l'argent de la médecine du travail voir note du 17.11.2007 , Le MEDEF impose sous forment de chantage que la dette de la France soit réglé par les petits gens.
Alors… en attendant que chaque organisme public soit privatisé,
voici
une réforme passée inaperçu.
Salariés : nouveau calcul des indemnités journalières à partir du 1er décembre 2010
A partir du mercredi 1er décembre 2010, le montant des indemnités journalières (IJ) maladie, maternité, paternité, adoption, accident du travail ou encore maladie professionnelle doit être revu à la baisse, les modalités de calcul des IJ étant modifiées.
Pour les périodes d’indemnisations débutant à partir du 1er décembre, les prestations vont être calculées non plus sur 360 jours mais sur 365 jours (le montant des IJ est égal à un pourcentage du salaire journalier de base). A compter de cette même date, le montant maximum de l’IJ maladie va également être calculé selon de nouvelles règles, passant, par exemple pour les assurés sociaux ayant moins de 3 enfants à charge, de 48,08 euros à 47,42 euros.
Le décret relatif au mode de calcul des IJ dues au titre de la maladie, de la maternité et des accidents du travail et maladies professionnelles a été publié au Journal officiel du dimanche 31 octobre 2010.
Pour bien comprendre, revoyons le 'Principe de la grenouille bouilli' :
Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille.
Le feu est allumé sous la marmite, l'eau chauffe doucement.
Elle est bientôt tiède.
La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager.
La température continue à grimper.
L'eau est maintenant chaude.
C'est un peu plus que n'apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s'affole pas pour autant.
L'eau est cette fois vraiment chaude.
La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s'est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien.
La température continue à monter jusqu'au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir.
Si la même grenouille avait été plongée directement dans l'eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l'aurait éjectée aussitôt de la marmite.
Cette expérience montre que, lorsqu'un changement s'effectue d'une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction, aucune opposition, aucune ne révolte.
Si nous regardons ce qui se passe dans notre société depuis quelques décennies, nous subissons une lente dérive à laquelle nous nous habituons.
Des tas de faits qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30 ou 40 ans, ont été peu à peu banalisés, édulcorés, et nous dérangent mollement à ce jour, ou laissent carrément indifférents la plupart des gens.
AU NOM DU PROGRÈS et de la science, les pires atteintes aux libertés individuelles, à la dignité du vivant, à l'intégrité de la nature, à la beauté et au bonheur de vivre, s'effectuent lentement et inexorablement avec la complicité constante des victimes, ignorantes ou démunies.
Les noirs tableaux annoncés pour l'avenir, au lieu de susciter des réactions et des mesures préventives, ne font que préparer psychologiquement le peuple à accepter des conditions de vie décadentes, voire DRAMATIQUES.
Le GAVAGE PERMANENT d'informations de la part des médias sature les cerveaux qui n'arrivent plus à faire la part des choses... Lorsque j'ai annoncé ces choses pour la première fois, c'était pour demain.
Voici un exemple du principe de la grenouille bouillie mit en pratique:
On a commençait à nous présenter la puce RFID (Radio-Frequency Identification) il y a quelques années en nous montrant à la télévision des jeunes à l’entrée d’une discothèque qui acceptaient l’injection ‘soit disant’ sous-cutané pour payer leurs consommations de bar.
Comme la grenouille, pour beaucoup d’entre nous nous trouvions cette idée un peu loufoque pour ne pas dire stupide mais après tout ils avaient fait un choix !
Ok, un peu d’objection de la part du public sur le principe de l’injection, l’idée pouvait continuer à faire son chemin.
Sur les humains, cela ne passent pas encore totalement. Pas grave, on va l’injecter sur les animaux, prétextant la traçabilité.
Génial, personne ne crient au scandale ! Pourquoi irions-nous crier, si c’est fait dans le cas de la santé public, eh oui « la vache folle ».
Info télévisée, bébé Kidnappé dans une maternité. C’est une aubaine cette actualité, mettons la puce sous forme de bracelets sur des bébés !
Et nous, pauvres petites grenouilles, nous trouvons cette idée agréable, rassurante. En tant que parents, personne ne veut voir son enfant se faire enlever.
Question : Combien de faits divers concernant les rapts d’enfants à l’hôpital ? 1, 2, 10 000...
Ok, sur les bébés, cela rassure. Pas de refus de la part de l’opinion public.
Bon, alors mettons là aux prisonniers également sous forme de bracelets. D’autant que la crise financière est passée par là. IL faut faire des économies. 1 surveillant en moins = 1 bracelet électronique en plus. Et pourquoi pas, bientôt une ville à ciel ouvert qui servira de prison. Je sais vous pensez : -ça, c’est de la science-fiction. En êtes vous vraiment sur ?
Bref, revenons à nous petites grenouilles. Sur les prisonniers, aucun refus. Pire, on trouve même que l’idée est bonne. Voilà... la puce ne nous fais plus peur.
C’est bon, ils peuvent augmenter d’un cran.
Mettons la puce sous forme de badge dans un lycée pour surveiller la grippe H1N1.
Elle a fait très très peur cette grippe, alors oui, faut surveiller le H1N1.
Vu que nous sommes un peu plus gros qu’une grenouille, il faut faire chauffer la marmite un peu plus longtemps.
Augmentons la température.
France2 - Une crèche va pucer des enfants
Voyez-vous, il n’y a pas qu’en France, qu’on augmente la source de chaleur.
L'école maternelle de Richmond est la première à avoir mis en place ce dispositif qui, selon l'administration fédérale, permettrait de dégager 375 jours de travail/homme (soit 3 000 heures) et éventuellement d'économiser 50 000 dollars.
Les bambins âgés de trois à six ans portent une sorte de maillot de basket dans lequel est intégrée une puce RFID (Radio-Frequency Identification). Cet émetteur envoie un signal à des récepteurs répartis dans l'établissement. Les informations sont retranscrites sur une carte interactive où chaque enfant est figuré par un point. Un enseignant peut ainsi localiser d'un coup d'œil un élève dans tout le bâtiment.
Progrès ou danger pour les libertés individuelles ?
En plus de localiser les enfants, le système permettrait selon l'école de diminuer les tâches administratives. Chaque élève est relié au système informatique. Ainsi, le matin les parents signent sur un écran tactile pour signaler qu'ils ont déposé leur enfant à l'école, en même temps qu'ils l'habillent de ce maillot technologique. Ils font de même le soir en le lui ôtant pour signaler sa sortie. Quant aux enseignants, ils confirment d'un clic que l'enfant a bien eu son repas le midi.
Auparavant, maîtres et parents devaient effectuer ces tâches sur des feuilles volantes, obligeant ainsi les professeurs à vérifier sans cesse sur ces documents si un élève n'avait pas été oublié. «Nous n'avons plus à vérifier et vérifier encore les papiers, explique une enseignante au micro de KTVU une chaîne locale, de cette manière nous passons plus de temps avec les enfants. »
L'Electronic Frountier Foundation s'interroge sur le bienfait de ce système. L'organisation craint à terme que les puces RFID ne remplacent l'œil de l'enseignant. «Si la carte obtenue par les puces à radiofréquence montre une enfant qui bouge beaucoup ne pourrait-elle pas être qualifiée d'hyperactive? A l'inverse un autre plus statique ne sera-t-il pas assimilé à un paresseux? Combien de temps vont-être gardées ces données et les conclusions vraies ou fausses qui découleront de ces enregistrements?», Se demande l'EFF pour qui les puces RFID ne doivent pas être une réponse à la faillite budgétaire de l'Etat californien.
Et vous,
en cette période de rentrée, seriez-vous prêts à accepter que vos enfants soient ainsi équipés ?
Eh voilà, Le moment fatidique va arriver : D’ici 2 à 3 ans, tout, absolument tout sera pucés. Que ce soit l’alimentation, les objets de la vie quotidienne, les médicaments etc. contiendra une puce RFID. Lors de la commission du CNIL diffuser cet été, ils nous présentaient le soit disant bon coté ( coté pile et coté face ; le yng et le yang ; le bien et le mal etc. tout va de paire): La traçabilité. A voir,
Fiche pratique, Les RFID (Radio Frequency Identification) : ici
Croyez-vous que cela va s’arrêter à ça ? Eh bien non ! La même méthode est employée avec les drones.
Demain, voilà peut être avec l’aide des puces RFID, celui qui sera employé à nous surveiller.
Je vous représente le drone : Elsa
Extrait de : Un drone policier dans le ciel des zones sensibles : ici
Michèle Alliot-Marie s'est donc fait présenter au Milipol une recrue de choix pour la police : Elsa, pour « engin léger de surveillance aérienne », qui va intégrer les rangs des forces de l'ordre en décembre prochain.
Un drone de 600 grammes, un mètre d'envergure, 30 minutes d'autonomie en vol. Muni de sa caméra embarquée à visée infrarouge, Elsa pourra, de jour comme de nuit, survoler rassemblements et manifestations, venir en aide aux forces de l'ordre en cas de violences urbaines ou encore recueillir des informations avant une intervention délicate du GIGN ou du GIPN.
Pensez à la personne qui pilotera ce drone, un jeu vidéo plus vrai que vrai.
Alors si vous n'êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuits, donnez le coup de patte salutaire avant qu'il ne soit trop tard.