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aluminium - Page 5

  • Vaccins : la même recette partout dans le monde

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    Il existe de nombreuses recommandations pour se faire vacciner, en particulier lorsque vous partez à l'étranger.

    Avez-vous une petite idée sur le contenu des vaccins ?

    Voici la liste non exhaustive des ingrédients : âmes sensibles… s’abstenir !

    - Le formaldéhyde (formol) est classé dans la catégorie des cancérigènes.

    - Le mercurothiolate est destiné à limiter le risque de culture bactérienne. Il est composé de 49,6 % de mercure. Conjugué au mercure alimentaire, nous pouvons nous interroger sur notre toxicité…

    - L'hydroxyde d'aluminium prolonge et augmente la réponse immunitaire aux antigènes inoculés.
    L'hydroxyde d'aluminium traverse la peau et vient se combiner à la ferritine du sang pour gagner la circulation générale et éventuellement le cerveau.

    Tout récemment, le Pr. Gherardi, de l'hôpital Henri Mondor à Créteil (France), a décrit une pathologie particulièrement invalidante dont la fréquence ne cesse de croître : la myofasciite à macrophages (MFM).
    Celle-ci se manifesterait au point d'injection des vaccins.

     

    De plus, l'aluminium semblerait impliqué dans la maladie d'Alzheimer.

    Mais la liste ne s'arrête pas là !!.

    Voici, pour les végétariens tout particulièrement, de quoi faire réfléchir :
    certains vaccins sont cultivés sur la bile de bœuf ou le sérum fœtal de veau.

    Quant au vaccin contre l'hépatite B, c'est un vaccin génétiquement modifié.
    D'après le rapport technique 747 de l'OMS, trois types de contaminants peuvent se retrouver dans le produit final :

    1. des virus,

    2. des protéines capables de cancériser d'autres cellules

    3. de l'ADN provenant de cellules de culture.

    Par exemple: 

    le vaccin GenHevac B, fabriqué par Pasteur Mérieux, est préparé à partir de l'antigène HBs, produit par fragments du génome de deux virus : le SV40, virus de singe et le MMTV, virus de la tumeur mammaire de la souris. Ces cellules sont immortelles, ce qui signifie qu'elles ont un caractère de cellules cancéreuses…

     

    Il existe beaucoup d'expertises scientifiques sur les vaccins qui offrent des conclusions alarmantes.

    Pourquoi la situation ne se clarifie-t-elle pas une fois pour toutes ?

    L'empire du business pharmaceutique est- il si insurmontable ?

     

    ML In Biocontact, mensuel n°118-octobre 2002
    http://www.lasante.be/maladies/MFM.htm

    Simon Sylvie ; Vaccinations : l'overdose,1999Bickel René, Le malade déchaîné, 1996
    www.aventispasteur.com
    www.canadian-health-network.ca

    Source  provenant du texte : http://www.ise.uqam.ca/bulletins/vol14_no3.pdf

  • Fibromyalgie et Nanotechnologies

    Voilà 2 articles parues sur le site : Médecine douces.
    Source : http://www.medecines-douces.com/impatient/343avril07/nanotechnologies.htm

    Article 1 :

     

    Nanotechnologies entre espoir et interrogations

     

    Plus de 400 produits de consommation courante contiennent des nanoparticules. Alors que l’on ne sait pas grand-chose sur leur éventuelle toxicité !

    Le nanomètre est au mètre ce que le pamplemousse est à la terre, infiniment petit. Les nanotechnologies se réfèrent à toutes les technologies utilisant des particules de l’ordre du nanomètre, c’est-à-dire 1 milliardième de mètre. 

    Il existe des nanoparticules d’or, d’oxyde de titane, de noir de carbone (autrement dit les extra mini-poussières de fumée de bougie). Elles se présentent sous différentes formes : nanotubes (de carbone), nanosphères, nanocubes, nanocristaux (encore appelés boîtes quantiques ou « quantum dots »)…

    À ces dimensions-là, les propriétés physiques et chimiques de la matière se trouvent modifiées, comme le rappelle le groupe ETC dans son dernier rapport sur les nanotechnologies (1). « De manière générale, plus les matériaux sont petits, plus ils réagissent vite et violemment. Par exemple, le carbone, sous forme de mine de crayon est tendre et malléable, alors que sous forme de nanotubes, il devient beaucoup plus résistant que l’acier. » Le noir de carbone et le dioxyde de titane, classés potentiellement cancérigènes chez l’homme par le Centre international de recherche sur le cancer, le seront-ils moins ou plus à l’état nano ? On aurait pu penser que le règlement Reach (destiné à évaluer la toxicité des substances chimiques) résoudrait cette question, mais, rappelle l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail, « ce règlement n’est limité qu’aux substances produites à plus d’une tonne par fabricant, non cumulable. Par ailleurs, il s’applique aux substances et non aux matériaux ». Or les nanos se trouvent souvent à la frontière entre les deux mondes.

     

    Une toxicité encore méconnue
    On ne sait rien de la présence de nanoparticules dans divers produits courants : médicaments, crèmes antirides, shampooings, chaussettes désodorisantes, pneumatiques, raquettes … …de tennis (2)… Pourtant, elles n’ont fait l’objet d’aucune évaluation quant à leur toxicité pour la santé humaine ou celle de l’environnement…

    De plus, il n’existe pas de législation adéquate relative à leur étiquetage, ce qui permettrait « au consommateur de choisir en connaissance de cause et d’éviter, en vertu de la plus élémentaire prudence, l’utilisation de produits potentiellement dangereux », souligne le Grappe-asbl (Groupe de réflexion et d’action pour une politique écologique - Association sans but lucratif) (3).

     

    Dès 2003, Greenpeace donnait l’alerte en dénonçant la méconnaissance générale liée à l’absence pure et simple d’études sur le sujet (4). Depuis, plusieurs programmes européens (Nanosafe, Nanoderm, Shape Risk…) ont été initiés pour étudier les dangers de ces particules, leur capacité à franchir la barrière de la peau, les moyens de les détecter…

    Ce n’est qu’en janvier 2007 qu’une étude officielle du CNRS a démarré sur la toxicité des nanotubes de carbone. Découverts en 1991, ils entrent aujourd’hui dans la composition de matériaux courants : écrans plats, pneus, pièces de carrosserie (Renault et Peugeot) ou articles de sport (battes de baseball)… Lors du tour de France 2005, Floyd Landis roulait sur le premier vélo équipé d’un cadre aux nanotubes de carbone.

    L’étude du CNRS doit également examiner le devenir de ces matériaux après usage : leur dégradation, la libération des nano particules dans l’eau, l’air, les sols… La production annuelle mondiale de nano tubes de carbone (près de 99 tonnes en 2006) justifie sans doute cette attention, celles de noir de carbone (6 millions de tonnes par an, dont 200 000 en France), de dioxyde de titane et d’oxyde de zinc (1 000 à 2 000 tonnes par an) mériteraient également d’être prises en compte.

     

    Des cosmétiques révolutionnaires ?

    Si les applications médicales des nanotechnologies restent balbutiantes (lire encadré page suivante), il en va autrement des compléments alimentaires et de la cosmétologie qui contiennent déjà des nanoparticules. Le Grappe, inquiet des possibles conséquences sanitaires, vient de lancer en Belgique une série de débats citoyens sur le sujet. L’Afsset (5) émet des doutes : « Il existe très peu de données publiées sur les expositions par voie cutanée aux nanoréseaux […]). Compte tenu de leur faible diamètre, leur pénétration cutanée pourrait être largement facilitée. Peu de travaux sont disponibles dans la littérature et leurs conclusions apparaissent contradictoires. »

    D’autres sources d’exposition sont à craindre : les aliments que nous consommons ! Nano forum (6), réseau d’information sur les nanotechnologies constitué avec le soutien de la l’Union européenne, rappelle que « les applications des nanotechnologies dans tout le secteur de l’agroalimentaire sont multiples et déjà opérationnelles ». Des films plastiques d’emballage, truffés de nano particules de silicate, réduisent les échanges gazeux entre l’aliment emballé et l’extérieur, et protègent du dessèchement, des moisissures, de l’oxydation… Autre secteur, lui, expérimental : les nano particules dans les aliments pour leur conférer diverses qualités concernant la composition (avec ou sans sucre), l’apparence (texture plus ou moins onctueuse, couleur, saveur) ou la conservation (par exemple la libération de conservateurs après ouverture de l’emballage).

    Mais l’ingestion de telles particules pose question : leur possible traversée de membranes à effet barrière comme le placenta est dangereuse, leur persistance dans l’organisme pourrait être hautement pathogène…

    Et l’exposition professionnelle ?

    Fera-t-on face à une nouvelle affaire de l’amiante ? Pour certaines associations comme les Grenoblois de Pièces et Main d’œuvre (7), cela ne fait aucun doute. Ils assimilent les nanotechnologies à des « nécro technologies », au même titre que le nucléaire ou les biotechnologies. Il faut dire qu’à Grenoble s’est ouvert Minatec, un vaste complexe industriel, premier pôle européen sur les nanotechnologies. Sans aucune concertation avec la population. Sans information. « Minatec consomme à lui seul 15 % de l’électricité de la ville de Grenoble ! » s’indigne l’association. La concentration de l’air en nano particules devient en Isère beaucoup plus élevée qu’ailleurs…

    Avec quels risques ? L’Afsset rappelle sans ambiguïté que les nano particules « peuvent entrer dans l’organisme par trois voies principales : respiratoire, cutanée et digestive ». Des experts du CNRS estiment qu’en 2010, plus de deux millions de salariés y seront exposés.  Or, « aucun masque ne peut les arrêter », alerte le toxicologue Alain Lombard.

    Si bon nombre des recherches tiennent encore de la science-fiction, il n’en reste pas moins que nous sommes bel et bien entrés dans l’ère des nanotechnologies, souvent sans le savoir et sans en connaître les conséquences à long terme sur la santé humaine. On s’étonnera décidément toujours d’une politique de développement qui consiste à faire d’abord et voir ensuite !     

    Article 2:

    Fibromyalgie

    La fibromyalgie rencontre de plus en plus d’intérêt dans les milieux scientifiques, et le dernier Congrès mondial de la douleur s’en est fait l’écho à Sydney, en août 2005.
    Il ressort de ces études que 600 000 Français, 2 % de la population occidentale et jusqu’à 4,9 % des femmes seraient atteints par cette affection.

    Bien que reconnue par l’OMS, certains pensent que ce syndrome n’existe pas. L’un de nos confrères écrivait récemment dans une revue professionnelle (Revue pratique Médecine générale 2005 ; 19,692):   « Allons-nous longtemps cautionner des diagnostics douteux ou à la limite de l’escroquerie pure ? … »
      L’entourage de ces patients est également partagé entre bienveillance et suspicion. Pris entre deux feux, les patients sont dans une situation bien inconfortable, aggravée par le peu de traitements ayant fait la preuve de leur efficacité. D’autant plus que certains de ces patients ne tolèrent aucun médicament…
      Que pouvons-nous faire lorsque, apparemment, il n’y a rien à faire ?
     
      Aucune explication scientifique ne fait l’unanimité, plusieurs concepts sont discutés : neurophysiologique, psychologique, social. Il est légitime de s’interroger. Les modifications neurophysiologiques sont-elles cause ou conséquence d’un vécu perturbateur comme dans une dépression ? Les symptômes sont-ils l’expression somatique d’un trouble psychique ? Découlent-ils d’un « prêt-à-porter culturel » (Dr Anne Françoise Allaz), d’une construction sociale ? Ils semblent résister à nos hypothèses physiopathologiques, nos tentatives thérapeutiques. Le parcours médical de ces patients est une longue pérégrination qui a souvent duré des mois ou des années, au cours desquels ils ont rencontré des praticiens de spécialités différentes. Ceux-ci les ont écoutés sans les soulager, ou bien ne les ont pas écoutés, pas crus, et bien souvent les ont pris pour des simulateurs ou des malades psychiatriques. A la douleur physique s’ajoutent, alors, déception et découragement.

    Ma réflexion :

    Sachant que la myofasciite est dû a l’hydroxyde d’aluminium et hormis les personnes diagnostiqués fibromyalgique et qui n’ont jamais eu de biopsie et qui peuvent être donc atteintes de myofasciite sans le savoir,

    Alors question ?

    Fibromyalgie et Nanotechnologies peuvent-ils avoir un rapport ? Faites votre opinion !

  • VACCIN ET ALUMINIUM DANGER !

     
    En ce moment il y a une alerte concernant la méningite, alors une compagne vaccinale a été mise en place en Haute-Vienne.

    Je dis oui à la vaccination non à l’empoisonnement !

    *Le vaccin utilisé est le Neisvac, Non remboursé, Agréé aux collectivités 

    Composition : Neisseria meningitidis gpe C 10 µg
                          Conjugué à l’anatoxine tétanique : 10 µg à 20 µg  
                          Excipients : aluminium hydroxyde, sodium chlorure, eau ppi.

    *Vaccin ne contenant pas d’aluminium : VACCIN MENINGOCOCCIQUE A+C POLYOSIDIQUE, Non remboursé

    Composition : neisseria meningitidis gpe A : polyoside purifié 50 µg
                         neisseria meningitidis gpe C : polyoside purifié 50 µg  
                        Excipients : lactose monohydrate, sodium chlorure, phosphate disodique  dihydrate, phosphate monosodique, eau ppi.

    ALUMINIUM DANGER !!

    Extrait : Mission d’expertise sur la politique de vaccination contre l’hépatite B en France

    Site : www.sante.gouv.fr     

    Ces analyses décisionnelles montrent donc que les bénéfices de la vaccination restent supérieurs aux éventuels risques dans différents scénarios envisagés en fonction de l’importante incertitude entourant certains paramètres comme le taux de sous notification.
    Pour conclure cet état des connaissances sur le rapport bénéfice/risque, il faut noter Cinq points importants :

    1) Le risque, s’il existe, est encouru par tous les vaccinés alors que la protection va bénéficier uniquement à une faible proportion d’entre eux. Mais il est impossible de prédire qui en seront les bénéficiaires.

    2) Le risque d’EAD, s’il existe, est immédiat alors que les risques de complications de l’hépatite sont retardés.

    3) Si on considère qu'il existe un risque d’effet indésirable lié au vaccin, une information précise préalable à la vaccination de l’individu et/ou de ses parents est indispensable, ce qui rend la stratégie de vaccination scolaire peu réaliste.

    4) A risque constant, le rapport bénéfice/risque d'un programme de vaccination au long cours comme celui contre l'hépatite B, se réduit au fur et à mesure que sa mise en oeuvre produit les effets attendus. Ainsi, plus la réduction de l'incidence est élevée (en fonction du temps et l'efficacité de la stratégie vaccinale), moins les bénéfices additionnels futurs de la vaccination seront importants.

    En conséquence toute réévaluation du rapport bénéfice/risque doit prendre en compte dans le calcul du bénéfice la part correspondant à la réduction attendue de l'incidence et celle représentée par le maintien d'une prévalence réduite antérieurement par le programme. Un calcul du bénéfice qui négligerait de comptabiliser les acquis antérieurs conduirait à arrêter sur cette base tout programme qui tendrait vers une éradication de la pathologie. C’est par exemple le cas de la vaccination contre la diphtérie et la poliomyélite.

    Autres effets secondaires notifiés après vaccination contre l’hépatite B

    Plusieurs autres effets secondaires ont été notifiés après vaccination contre l’hépatite B : mort subite du nourrisson, aplasie médullaire, lupus érythémateux disséminé, autres maladies auto-immunes, myofasciite à macrophage.

    Nous avons choisi de ne pas consacrer un chapitre important à ce sujet, parce que nous avons fait, à l’instar de la dernière réunion de la Commission Nationale de Pharmacovigilance consacrée à ce sujet, le constat qu’à l’exception de la SEP , aucun signal de pharmacovigilance n’était suffisamment fort pour mériter d’être pris en compte dans une analyse bénéfice risque. De plus, du fait de la taille considérable de la population vaccinée, de la prévalence relativement élevée de ces affections dans la population rejointe et de la difficulté à définir une fenêtre de temps à risque après l’injection d’une dose de vaccin, l’argument de concomitance de survenue lié au hasard pourrait s’appliquer à presque tous ces effets secondaires. La seule étude (non encore publiée) est celle que M.Sturkenboom et al ont mené en Angleterre sur la base de données GPRD selon une méthodologie proche de celle détaillée précédemment. Cette étude a notamment étudié les associations pouvant exister entre le vaccin anti-hépatite B, plusieurs autres vaccins (rougeole, oreillons, hépatite A, DTP, BCG, grippe, méningocoque) et plusieurs affections auto-immunes, notamment polyarthrite rhumatoïde, lupus et maladie de Basedow. Pour l’ensemble des vaccins, cette étude ne met pas en évidence d’association statistiquement significative hormis pour le lupus et le vaccin anti-hépatite B dans le sous-groupe des sujets de plus de 40 ans (odds ratio=2,6 ; intervalle de confiance à 95% =1,1 ; 6,0).

    Dans le cas de la myofasciite à macrophage, c’est l’adjuvant constitué d’hydroxyde d’aluminium qui serait en cause.

    Voir également : Evaluation des risques sanitaires liés à l’exposition de la population française à l’aluminium 

    Site : http://agmed.sante.gouv.fr/

    Les effets cliniques avérés de l’aluminium sur la santé humaine ont toujours été observés dans des situations engendrant une forte accumulation d’aluminium dans l’organisme, un contact direct avec du sang ou des structures nerveuses. Dans ce cas, les effets décrits sont essentiellement neurologiques et osseux. Cependant, à partir de l’ensemble des données disponibles, rien ne permet à ce jour d’affirmer que l’exposition à l’aluminium par l’eau, les aliments ou les produits de santé aux doses habituellement consommées par la population française soit associée à une augmentation de risque pour la santé.

    Toutefois, à ce jour, l’évaluation des risques sanitaires liés à l’exposition à l’aluminium se heurte à un certain nombre de difficultés, liées à la fois à la mesure de l’exposition à l’aluminium et à la mauvaise connaissance de la cinétique, métabolisme et toxicité des différentes formes chimiques de l’aluminium. Par ailleurs, les principales pathologies mises en cause présentent des difficultés d’analyse épidémiologique. A partir de l’expertise scientifique mise en place par les trois agences de sécurité sanitaires et en l’état actuel des connaissances, un certain nombre de recommandations peuvent être formulées.

    Conclusion : A vous de voir et faites ce qui bon vous semble mais ne dites pas par la suite si j'avais su!!!