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ACTUALITE - Page 67

  • A 6 km/h sur l'autoroute...

    Une Allemande de 81 ans, qui voulait prendre un raccourci pour aller au cimetière, a atterri au volant de son fauteuil électrique sur une autoroute.

     

    Le fauteuil roulait à 6 km/h, là où la vitesse minimale autorisée est de 60 km/h. Des automobilistes ont alerté la police qui a ensuite escorté la vieille dame.

     

    "Elle nous a expliqué qu'elle s'était perdue puis qu'elle avait voulu éviter de faire un grand détour", a déclaré un porte-parole de la police de Nuremberg, dans le sud de l'Allemagne.

  • Pfizer: Pas de vaccin contre la mort

    Plus de dix ans après les faits, le procès s'est ouvert mercredi.

     

    David contre Goliath, ou quand l'un des pays les plus pauvre de la planète s'en prend à un géant de l'industrie pharmaceutique.

     

    En 1996, en réponse à une épidémie de méningite à méningocoque particulièrement virulente -12 000 personnes trouvèrent la mort en six mois seulement- le laboratoire américain Pfizer avait décidé d'administrer un nouvel antibiotique à la population nigériane. Sauf que le médicament en question n'était pas encore commercialisé. Pis, il était toujours en phase de test.

    L'Etat nigérian a ensuite souhaité porter plainte, considérant que le Trovan, le vaccin en question, aurait entraîné la mort de 11 enfants. D'autres conserveraient des séquelles importantes de ce traitement. Pour elles, Pfizer s'est servi du Nigéria pour tester à grande échelle son nouveau médicament. Une version des faits contestée par le groupe pharmaceutique.

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    Selon le laboratoire américain, le produit en était à la dernière phase d'essais cliniques et "avait été testé chez plus de 5000 patients aux États-Unis, en Europe et ailleurs", précise la firme américaine. "Le Trovan apportait un vrai progrès grâce à sa formulation orale, explique un porte-parole, alors que le traitement de référence se faisait par voie injectable, ce qui est beaucoup plus compliqué à administrer, surtout dans ce type de pays." Interrogée sur les infirmités détectées chez les enfants sous traitement, le géant new-yorkais a une réponse toute prête: "Elles sont malheureusement courantes chez les personnes qui survivent à la méningite. L'essai a été réalisé dans les règles : autorisation du ministère, volontariat, accord des parents..."

    Débouté le 26 juin dernier, alors qu'il souhaitait amender sa plainte pour expliquer le temps écoulé - onze années - entre les faits et son recours en justice, le Nigéria attend beaucoup de ce procès. De son côté, le géant américain semble sûr de son fait, même si le Trovan, après plusieurs années de commercialisation, a été retiré du marché en raison de la nocivité de ses effets secondaires. Au-delà des considérations pécuniaires, c'est la question des essais des nouveaux traitements dans des pathologies mettant en péril la vie des patients qui se pose. Et de la position de faiblesse du continent africain, dépendant du bon vouloir international pour résoudre ses plus graves crises sanitaires. Pfizer a-t-il profité de la terrible situation rencontrée par le Nigéria pour tester son médicament à grande échelle et augmenter ses bénéfices?

    A la justice de trancher.

     

    Extrait du Texte provenant du « Le Journal du Dimanche »

    Texte intégral :  http://www.lejdd.fr/cmc/societe/200740/pfizer-pas-de-vaccin-contre-la-mort_61092.html

  • Sidoarjo : Un futur désastre

    Coucou amis du net,

    Aujourd’hui ma pensée va aux habitants de Sidoarjo en Indonésie qui vivent un enfer depuis Mai 2006.

    Des dizaines de villages sont aujourd’hui  engloutis, des milliers de déplacés et des dizaines de milliers de mètres cubes de boues qui continuent de se déverser sans réelles perspectives d’en contrôler le flot.

    Certains avancent que le tremblement de terre de Jogjakarta, a été déclenché par  l’entreprise Lapindo société d’exploitation de gaz naturel qui forait à 150 mètres de l’épicentre des coulées.

    Que le volcan de boue soit une catastrophe naturel ou non, les habitants ont  essayé tant bien que mal à limité les dégâts en déversant le surplus de boues dans la rivière Porong. A l’époque, le gouvernement assuré que ces boues n’était  pas dangereuses pour la santé.

    Malheureusement des analyses récentes montrent que cette boue contient des hydrocarbures, des métaux lourds notamment du mercure. On peut facilement deviner le  désastre futur.

     

    Aerial view of the mud gushing out of a Lapindo Brantas Inc. gas exploration well in Sidoarjo, East Java. According to Greenpeace, the situation is slipping beyond control and called on President Susilo Bambang Yudhoyono to hold Lapindo and its shareholders, Bakrie Group, Santos of Australia and Medco Group, fully accountable for one of Indonesia's worst industrial disaster.  

     

     

     Aerial view of the mud gushing out of a Lapindo Brantas Inc. gas exploration well in Sidoarjo, East Java. According to Greenpeace, the situation is slipping beyond control and called on President Susilo Bambang Yudhoyono to hold Lapindo and its shareholders, Bakrie Group, Santos of Australia and Medco Group, fully accountable for one of Indonesia's worst industrial disaster 

     

      Aerial view of the mud gushing out of a Lapindo Brantas Inc. gas exploration well in Sidoarjo, East Java. According to Greenpeace, the situation is slipping beyond control and called on President Susilo Bambang Yudhoyono to hold Lapindo and its shareholders, Bakrie Group, Santos of Australia and Medco Group, fully accountable for one of Indonesia's worst industrial disaster.

     

    Image provenant du site : http://www.greenpeace.org/seasia/en/footer/search?q=Sidoarjo&page=1