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SANTE : DIVERS - Page 14

  • Déremboursement des médicaments

      

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    Le saviez-vous ?  

    A compter du 2 mai 2011, le taux de remboursement des médicaments à vignette bleue passe de 35 % à 30 %.

     Ce nouveau taux de remboursement concerne aussi les médicaments homéopathiques et certaines préparations dont le Service médical rendu (SMR) est considéré comme modéré. Les taux de remboursement des médicaments varient de 100 % pour les médicaments à vignette blanche barrée (médicaments reconnus comme irremplaçables et coûteux) à 15 % pour les médicaments à vignette orange (médicaments à SMR faible).

     Ce nouveau taux fixé à 30 % fait suite à la loi de financement de la sécurité sociale pour 2011.

     Source : Service- Public.fr

      

    Pour aller plus loin :

     Réévaluation du service médical rendu (SMR) : Haute Autorité de santé (HAS)

     

     Liste des médicaments à vignette bleue désormais moins remboursés

     

    Mais, Pourquoi ces déremboursements?

     

    L’Objectif  présenté par le gouvernement est : Faire des économies.  

    Sécu: nouveau déficit record, le gouvernement veut limiter la casse en 2011

     

    Ok ! Le but est louable quand on sait que la France est ruinée. Il ne faut pas oublier que si nous possédons encore l’AAA par L’agence de notation  et bien que celle-ci  n'ai pas l'intention de dégrader la France, elle impose quand même la maîtrise nos dépenses.

     

    Source : le Figaro  

     

    Pourtant,  quand on entend nos dirigeants nous dire que nous allons apporter notre aide financière à tel ou tel pays, ou bien quand nous voyons les dépenses astronomiques de notre Président  rapporté par le site allemand  BILD.de  voir note : Sommes-nous tous logé à la même enseigne? 

      Ou encore avec celle de : Libye : Que se passe t’il réellement ?   

    On en ne voit pas très bien  où ce trouve la maitrise de nos finances. Pour le moment, on subit surtout  les augmentations en tout genre sous couvert de la crise et ne vous leurrez pas les plus grosses majorations viendront après les élections et ce quelque soit le partie politique qui sera au pouvoir.
    Mais en attendant de voir notre frigo se vider à vue d’œil revenons au déremboursement des médicaments car diverses questions mon trotté dans la tête.

     

    1er question : Pourquoi en France, nos pharmaciens ne nous délivrent pas  juste la quantité de médicament nécessaire à notre traitement.  C’est quand même incroyable de voire les doses de médicament que nous gaspillons.
    Exemple : On nous donne 1 boite de 30 comprimés alors que nous n’avons besoin que de 20 et le reste il devient quoi ?

     

    2eme question : Pourquoi  prendre un médicament si il n’apporte pas grand-chose ? Alors dans ce cas pourquoi continuer à le rembourser ?

     

    La raison est simple : Pour Les bénéfices des Laboratoires.

     

    Comprenez   un médicament   remboursé et peu importe la couleur de la vignette, c’est un médicament que votre mutuelle devra payer.
    Voyez ce que  nous explique le RAPPORT DE LA MISSION SUR LA REFONTEDU SYSTEME FRANCAIS DE CONTRÔLE DEL'EFFICACITE ET DE LA SECURITE DESMEDICAMENTS 
     réalisé par le Pr B. Debré, Député de Paris, et Pr P. Even, Président de l'Institut Necker.

     Page 30 :

    Par le biais des taux de remboursement de 0, 35, 65 ou100%, l'Etat reprend la main, car ces taux déterminent entièrement le succès et donc la commercialisation des médicaments, qui sont en pratique éliminés du marché où ils viennent d'être autorisés, s'ils ne sont pas remboursés ou remboursés à 35% seulement, à moins d'être extrêmement bon marché, mais n'ouvrant alors que de petits succès commerciaux.

      

    Et  pour ceux qui douteraient encore que la classification n’a aucun lien avec  le profit des laboratoires voici un autre exemple que l’on peut également lire dans cette expertise.

     

    Exemple de cette classification contestable, cité par les auteurs : le Multaq ®, des laboratoires Sanofi Aventis, avait initialement été classé en SMR "modéré" (donc vignette bleu). Il a ensuite été reclassé en SMR "important", malgré l'absence d'études probantes et d'éventuels risques hépatiques, ce qui a permis son remboursement à 65 %, avec un prix de vente 9 fois supérieur à la molécule de référence (sans que la preuve de sa supériorité ne soit faite...)

      

    Résumé du rapport : doctissimo     

     

    Vous comprenez maintenant à quoi sert la classification des médicaments?

     

  • Téléphone portable, lampe basse consommation sans danger ???

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    Le 6.07.2008, j’éditais une note intitulé « Téléphone portable et risque de cancer : l'état des connaissances » Le Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports, dans un communiqué daté du 2 janvier 2008 rappelle donc les conclusions de l'expertise nationale et internationale sur ce sujet : aucune preuve scientifique ne permet aujourd'hui de démontrer que l'utilisation des téléphones mobiles présente un risque notable pour la santé, que ce soit pour les adultes ou pour les enfants…

     

    Pourtant…À partir du 15 avril 2011, il sera  obligatoire   d’Afficher le  rayonnement électromagnétique des téléphones mobiles afin que chaque consommateur puisse être informés du niveau d’exposition aux champs électromagnétiques émis par les téléphones mobiles.

     

    L’affichage de la valeur du Débit d’absorption spécifique (DAS) qui correspond à la dose d’énergie absorbée par le corps lors de l’exposition aux radiofréquences devient en effet obligatoire sur tous les lieux de vente mais aussi sur toute publicité. La valeur du DAS est exprimée en watts par kilogramme. La réglementation française impose que le DAS ne dépasse pas 2 watts par kilogramme.

    Source : Service public

     

     Soyez sur que le principe de précaution n’a rien à y voir, ils assurent  juste leurs arrière.

    A partir du moment où vous êtes informés des dangers, si, demain vous développez une tumeur ou autre, vous ne pourrez pas demander des dommages et intérêts.

     

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    Revenons également sur la note du 26.01.2010 « DEVINETTE,  Quelle différence entre » où, je tentais de vous alerter sur les dangers que représentaient les lampes basses consommations (Lampe exigeait par l’Union Européenne)

    Aujourd’hui la Commission de la sécurité des consommateurs vient de mettre en ligne un Avis relatif concernant les risques liés à l’utilisation des lampes fluocompactes en milieu domestique 11/10 et 01/11. Pour ne pas faire une note trop longue, je vous ai juste sélectionné ce que la Commission recommande :

     

    Elle  préconise :

     

    1.        Aux pouvoirs publics

        De déterminer, éventuellement en liaison avec les autres Etats membres de l’Union Européenne, les valeurs maximales d’exposition aux vapeurs de mercure dans l’air ambiant, à court et à long terme, acceptables pour l’ensemble de la population et notamment les jeunes enfants.

        De demander la révision de la directive 2002/95/CE du 27 janvier 2003 afin de tenir compte des progrès techniques accomplis depuis la date de parution de cette directive et de la présence sur le marché de lampes affichant une quantité de mercure inférieure à 2 mg.

        De procéder à des vérifications du marquage de la quantité de mercure portée sur les emballages des lampes fluocompactes comme le définit le règlement européen 244/2009.

        De prendre des dispositions pour que l’éco-organisme agréé, charger notamment d’organiser la récupération et le recyclage des lampes fluocompactes usagées, assure effectivement la collecte des tubes et lampes cassés.

        De s’assurer que le respect des valeurs limites, définies pour la sécurité sanitaire de la population générale au regard des risques liés aux rayonnements électromagnétiques, offre également toutes les garanties utiles aux porteurs de dispositifs médicaux implantables et de prothèses électriques.

    2.      Aux fabricants

        D’adopter des technologies de fabrication des lampes fluocompactes permettant, d’une part, de diminuer la quantité de mercure très en deçà de la limite réglementaire actuelle de 5 mg et, d’autre part, de réduire l’intensité des rayonnements électromagnétiques parasites émis par ces lampes.

    3.     Aux distributeurs

        De mettre à la disposition des consommateurs des lampes fluocompactes contenant des quantités de mercure les plus faibles possibles.

        De développer leur participation à la collecte et au recyclage des tubes fluorescents et des lampes fluocompactes usagés, même brisés, réalisés par l’éco-organisme agréé.

    4.    Aux consommateurs

        De privilégier, au moment de l’achat, des lampes affichant des quantités de mercure les plus faibles possibles.

        D’éviter d’utiliser des lampes fluocompactes dans des situations où le risque de casse est élevé (par exemple lampes dites baladeuses) ou de les stocker dans des lieux dans lesquels le bris d’une lampe pourrait avoir des conséquences sur la santé de personnes sensibles (chambre d’enfant par exemple).

        De déposer les tubes fluorescents et les lampes fluocompactes même cassés, dans un des bacs de collecte prévu à cet effet.

    En cas de bris d’une lampe fluocompacte ou d’un tube fluorescent :

          De réaliser une ventilation prolongée et de quitter la pièce concernée ;

          Ultérieurement, de ramasser le plus soigneusement possible les débris de la lampe à l’aide de gants et de papier ménager absorbant, en évitant absolument le recours à l’aspirateur ainsi que, dans une moindre mesure, au balai, pour éviter de mettre en suspension des particules de mercure ;

          de placer ces débris dans des sacs en plastique en évitant de percer ces derniers avec les morceaux de verre ;

          De déposer ces déchets dans l’un des points de collecte équipés de bacs de récupération de tubes fluorescents et de lampes fluocompactes en fin de vie.

        De respecter une distance de précaution prenant en compte notamment l’avis de l’ADEME publié en juin 2010, qui recommande, en cas d’utilisation prolongée, de se maintenir à une distance minimale de 30 cm d’une lampe fluocompacte. Dans l’attente des résultats des vérifications demandées aux pouvoirs publics par la dernière recommandation qui leur est adressée, cette distance de précaution devrait être particulièrement respectée par les porteurs de dispositifs médicaux implantables et de prothèses électriques.

    Source : Commission de la sécurité des consommateurs  

     

    Il temps d’arrêter de se dire «  S’ils le vendent, c’est que ces sans danger ! ». L’affaire du médiator a encore prouvé que nous sommes gouvernés par des gens où seul l’argent compte.

    Et pour ceux qui en doute encore alors voici...

    Corruption des députés Européens

     

  • ALERTE : Nucléaire

     

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     CRIIRAD laboratoire agréé spécialisé dans les mesures de radioactivité

      Dossier JAPON Accidents nucléaires au Japon : dossier spécial

    Date 23 mars 2011

     COLERE ET INDIGNATION – VOLET N°1

    Les chiffres relatifs à la contamination de l’air existent mais ils sont confisqués par les Etats !   

    La CRIIRAD lance un appel international, invitant citoyens, associations, scientifiques, élus … de tous pays à se mobiliser à ses côtés afin d’exiger que les résultats relatifs à la contamination radioactive de l’air, obtenus grâce à l’argent public,  soient mis à disposition du public ET SERVENT A SA PROTECTION.

     

      PDF à télécharger : ici