Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

corruption

  • OGM, l’étude du Pr Séralini remise en cause.

    L’étude du Pr Séralini à peine rejeté que voilà La Commission européenne autorise un nouvel OGM à la commercialisation.

     

     

    http://sante.lefigaro.fr/sites/default/files/media/field_media_image/fe60d00c-0e2c-11e2-8b2e-01e37e0fea5f-493x328.jpg

     

    Image provenant : http://sante.lefigaro.fr/sites/default/files/media/field_media_image/fe60d00c-0e2c-11e2-8b2e-01e37e0fea5f-493x328.jpg

     

     

    Admettons que l’étude du Pr Séralini ne soit pas parfaite, elle n’est pourtant pas la seule à pointer du doigt la menace des OGM ; là,  je vous renvoie sur le site Inf’OGM ainsi que sur le site de Marie-Monique Robin auteur entre autre du film le monde selon Monsanto

     

     

    L’Agence de sécurité sanitaire (ANSES) et le Haut conseil des biotechnologies (HCB) réfutent pour des questions de méthodologie les conclusions de l’étude du professeur Gilles-Eric Séralini sur la toxicité d’un maïs transgénique et demande une étude européenne globale sur l’effet des OGM.

     

    Ces deux agences demandent une étude européenne globale sur l’effet des OGM mais en attendant doit-on continuer à consommer des OGM sans inquiétude ? Combien de temps doit on attendre cette étude complète 5 ans, 10 ans, 15 ans ? Que fait-on du principe de précaution ?

     

     

    Puis une autre question me vient à l’esprit, peut-on se fier aux instances en charges des évaluations ?

     

     

    Sans vouloir discrédité le sérieux  l’ANSES et le HCB, on peut quand même se demander si les instances qui sont en charges d’évaluer un produit quelconque sur la  base d’un rapport remis par l’industriel lui-même le font toujours librement et sans pression extérieur.

     

     

    Le saviez-vous ?

     

    http://www.paris-move.com/fck_upload/image/A%20VOIR%20ABSOLUMENT/Assemblee_nationale.jpg

     

    Image provenant : http://www.paris-move.com/fck_upload/image/A%20VOIR%20ABSOLUMENT/Assemblee_nationale.jpg

     

     

     

    Assemblée nationale : de nombreux industriels, fédérations et cabinets de lobbying ont un droit d’accès qui leur permet de faire valoir leurs intérêts directement auprès des députés. Le site internet de l’Assemblée nationale publie d’ailleurs cette liste en toute transparence.

     

    En sachant cela,  Monsanto a-t-il envoyé ses plus fervents défenseurs des OGM pour contrer l’étude du Pr Séralini.

     

    Le 10/10/2012 : Bill Gates et Bono seront reçus à 17h à l'Elysée

     

     

    Relation entre Bill Gates et Monsanto?

     

    http://blackmanx.files.wordpress.com/2011/04/bill_gates.jpg

     

    Image provenant : http://blackmanx.files.wordpress.com/2011/04/bill_gates.jpg

     

     

     

    Le jeudi 15 octobre 2009 : La fondation Bill Gates donne à l'Afrique et l'Inde des millions et des OGM. Source : ZDNet.fr

     

    Le 05 janvier 2012 : Envoyé spécial: Le monde selon Bill Gates

     

    Le 27 février 2012 : Pour améliorer la productivité agricole, le milliardaire philanthrope plaide pour une « révolution numérique » et l’utilisation massive d'OGM. Source : JOL Press

     

      

     

     

    Quel impact a pu jouer la saisine de Monsanto du 24 septembre 2012 relative à l’étude Séralini et al. (2012) mis en ligne par L’Agence de sécurité sanitaire sous le nom : Contribution de la société Monsanto (PDF)

     

    Monsanto entend souligner que les produits visés par l’étude en référence ci-dessus ont fait l’objet de multiples évaluations réglementaires dans le monde entier. Ces évaluations ont toutes unanimement confirmé la sécurité du maïs NK603, ainsi que la sécurité du glyphosate et du Roundup ®.

     

     

     

     Peut-on réellement  faire confiance aux agences  en charges des évaluations ?

     

     

     

    Le samedi, 06 octobre 2012 : OGM : l'agence européenne aux doubles casquettes

     

    L’Agence européenne de sécurité alimentaire (EFSA) se prend les pieds dans la déontologie.

     

    L’un des deux scientifiques consultés pour rédiger le préavis assassin de l’EFSA sur la recherche  de Gilles-Eric Séralini le 3 octobre dernier est le britannique Andrew Chesson.

     

     

    Or c’est le même Andrew Chesson qui, avec Gijs Kleter, avait préparé le brouillon d’avis (draft)  sur lequel le panel de l’EFSA avait voté positivement le 25 novembre 2003. Et qui concluait à l’autorisation de mise sur le marché du maïs NK 603. 

     

    Ainsi le même expert qui prépare l’argumentaire de l’Avis en faveur du feu vert à la commercialisation du NK 603 est  précisément le conseil scientifique, le Pair, de ceux qui doivent se prononcer sur l'étude qui met en évidence sa toxicité ! 

     

    Source complète : Le Nouvel Observateur

     

     

     

    Le 12 octobre 2012 : Quatre agences européennes épinglées pour conflits d’intérêts

     

    Jeudi 11 octobre, un rapport d’audit de la Cour des comptes européenne montre de graves conflits d’intérêts au sein d’instances communautaires cruciales dans la protection de la santé et de la sécurité alimentaire.

     

    La médaille d’or pour  de graves conflits d’intérêts revient à : l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA)

     

    Source complète : Rue89

     

     

     

     

     Simple coïncidence ?

     

     

    Certains députés ont-ils peurs d’être accusé de corruption, de conflits d’intérêt ?

     

    Le 17 octobre /2012 : Les députés font le ménage dans la liste des lobbyistes

     

    Selon nos informations, les représentants des entreprises agrochimiques comme Monsanto et des laboratoires pharmaceutiques vont se voir retirer leur badge d’accès à l’Assemblée nationale.

     

    Source complète : acteurspublics.com

     

     

     

     

    http://a401.idata.over-blog.com/600x423/3/96/03/31/OGM/60775_444508528929294_1854812612_n.jpg

     

     

    Image provenant : http://a401.idata.over-blog.com/600x423/3/96/03/31/OGM/60775_444508528929294_1854812612_n.jpg

     

     

    Pour aller plus loin sur Monsanto

     

  • Téléphone portable, lampe basse consommation sans danger ???

      http://gifs.toutimages.com/images/bureautique/telephones/telephone_026.gif

    Image provenant : http://gifs.toutimages.com/images/bureautique/telephones/telephone_026.gif

     

     

    Le 6.07.2008, j’éditais une note intitulé « Téléphone portable et risque de cancer : l'état des connaissances » Le Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports, dans un communiqué daté du 2 janvier 2008 rappelle donc les conclusions de l'expertise nationale et internationale sur ce sujet : aucune preuve scientifique ne permet aujourd'hui de démontrer que l'utilisation des téléphones mobiles présente un risque notable pour la santé, que ce soit pour les adultes ou pour les enfants…

     

    Pourtant…À partir du 15 avril 2011, il sera  obligatoire   d’Afficher le  rayonnement électromagnétique des téléphones mobiles afin que chaque consommateur puisse être informés du niveau d’exposition aux champs électromagnétiques émis par les téléphones mobiles.

     

    L’affichage de la valeur du Débit d’absorption spécifique (DAS) qui correspond à la dose d’énergie absorbée par le corps lors de l’exposition aux radiofréquences devient en effet obligatoire sur tous les lieux de vente mais aussi sur toute publicité. La valeur du DAS est exprimée en watts par kilogramme. La réglementation française impose que le DAS ne dépasse pas 2 watts par kilogramme.

    Source : Service public

     

     Soyez sur que le principe de précaution n’a rien à y voir, ils assurent  juste leurs arrière.

    A partir du moment où vous êtes informés des dangers, si, demain vous développez une tumeur ou autre, vous ne pourrez pas demander des dommages et intérêts.

     

    http://gifs.toutimages.com/images/objets/lumiere/lumiere_008.gif

     

    Image provenant : http://gifs.toutimages.com/images/objets/lumiere/lumiere_008.gif

     

    Revenons également sur la note du 26.01.2010 « DEVINETTE,  Quelle différence entre » où, je tentais de vous alerter sur les dangers que représentaient les lampes basses consommations (Lampe exigeait par l’Union Européenne)

    Aujourd’hui la Commission de la sécurité des consommateurs vient de mettre en ligne un Avis relatif concernant les risques liés à l’utilisation des lampes fluocompactes en milieu domestique 11/10 et 01/11. Pour ne pas faire une note trop longue, je vous ai juste sélectionné ce que la Commission recommande :

     

    Elle  préconise :

     

    1.        Aux pouvoirs publics

        De déterminer, éventuellement en liaison avec les autres Etats membres de l’Union Européenne, les valeurs maximales d’exposition aux vapeurs de mercure dans l’air ambiant, à court et à long terme, acceptables pour l’ensemble de la population et notamment les jeunes enfants.

        De demander la révision de la directive 2002/95/CE du 27 janvier 2003 afin de tenir compte des progrès techniques accomplis depuis la date de parution de cette directive et de la présence sur le marché de lampes affichant une quantité de mercure inférieure à 2 mg.

        De procéder à des vérifications du marquage de la quantité de mercure portée sur les emballages des lampes fluocompactes comme le définit le règlement européen 244/2009.

        De prendre des dispositions pour que l’éco-organisme agréé, charger notamment d’organiser la récupération et le recyclage des lampes fluocompactes usagées, assure effectivement la collecte des tubes et lampes cassés.

        De s’assurer que le respect des valeurs limites, définies pour la sécurité sanitaire de la population générale au regard des risques liés aux rayonnements électromagnétiques, offre également toutes les garanties utiles aux porteurs de dispositifs médicaux implantables et de prothèses électriques.

    2.      Aux fabricants

        D’adopter des technologies de fabrication des lampes fluocompactes permettant, d’une part, de diminuer la quantité de mercure très en deçà de la limite réglementaire actuelle de 5 mg et, d’autre part, de réduire l’intensité des rayonnements électromagnétiques parasites émis par ces lampes.

    3.     Aux distributeurs

        De mettre à la disposition des consommateurs des lampes fluocompactes contenant des quantités de mercure les plus faibles possibles.

        De développer leur participation à la collecte et au recyclage des tubes fluorescents et des lampes fluocompactes usagés, même brisés, réalisés par l’éco-organisme agréé.

    4.    Aux consommateurs

        De privilégier, au moment de l’achat, des lampes affichant des quantités de mercure les plus faibles possibles.

        D’éviter d’utiliser des lampes fluocompactes dans des situations où le risque de casse est élevé (par exemple lampes dites baladeuses) ou de les stocker dans des lieux dans lesquels le bris d’une lampe pourrait avoir des conséquences sur la santé de personnes sensibles (chambre d’enfant par exemple).

        De déposer les tubes fluorescents et les lampes fluocompactes même cassés, dans un des bacs de collecte prévu à cet effet.

    En cas de bris d’une lampe fluocompacte ou d’un tube fluorescent :

          De réaliser une ventilation prolongée et de quitter la pièce concernée ;

          Ultérieurement, de ramasser le plus soigneusement possible les débris de la lampe à l’aide de gants et de papier ménager absorbant, en évitant absolument le recours à l’aspirateur ainsi que, dans une moindre mesure, au balai, pour éviter de mettre en suspension des particules de mercure ;

          de placer ces débris dans des sacs en plastique en évitant de percer ces derniers avec les morceaux de verre ;

          De déposer ces déchets dans l’un des points de collecte équipés de bacs de récupération de tubes fluorescents et de lampes fluocompactes en fin de vie.

        De respecter une distance de précaution prenant en compte notamment l’avis de l’ADEME publié en juin 2010, qui recommande, en cas d’utilisation prolongée, de se maintenir à une distance minimale de 30 cm d’une lampe fluocompacte. Dans l’attente des résultats des vérifications demandées aux pouvoirs publics par la dernière recommandation qui leur est adressée, cette distance de précaution devrait être particulièrement respectée par les porteurs de dispositifs médicaux implantables et de prothèses électriques.

    Source : Commission de la sécurité des consommateurs  

     

    Il temps d’arrêter de se dire «  S’ils le vendent, c’est que ces sans danger ! ». L’affaire du médiator a encore prouvé que nous sommes gouvernés par des gens où seul l’argent compte.

    Et pour ceux qui en doute encore alors voici...

    Corruption des députés Européens