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Entre la fameuse « pandémie », les scandales du médiator, la pilule de 3ème et 4 ème génération etc., un grand nombre de personnes sont devenue méfiantes au point que régulièrement on peu lire des articles comme celui du Figaro « Méfiants, les Français se détournent des vaccins».
Les travaux sur la vaccination avec pour support des légumes issus des cultures d’OGM (organismes génétiquement modifiés) sont bien avancés et protégés par des brevets.
La recherche s’est donc orientée vers le développement de « vaccins alternatifs » ou vaccins directement comestibles issus de diverses plantes potagères.
Les choix se sont portés sur la laitue, l'épinard, le chou, la tomate verte, la carotte, le raisin, l’aubergine et le tabac.
27 antigènes vaccinaux seront dans un proche avenir, selon les scientifiques potentiellement capables de lutter contre 17 maladies humaines différentes.Près de la moitié de ceux-ci on déjà faits l’objet de tests sur des animaux.
Dans le cas de vaccin végétal,
notre liberté de choix sera totalement inexistante.
Depuis quelques jours, nos médias semblent découvrirent la malbouffe.
En effet, que ce soit au Royaume-Uni, en France, enl'Allemagne, en Norvège, en Suisse, tous ces pays sont touchés par le scandale desplats préparés avec du cheval.
Voici, la liste des bons produits utilisés avec beaucoup d'amourpour la fabrication d'une tarte aux cerises de supermarché, depuis le champ de blé jusqu'à l'usine agroalimentaire.
Pour obtenir la farine, les grains de blé ont été enrobés d'un fongicide avant semis. Pendant sa culture, le blé a reçu de 2 à 6 traitements de pesticides selon les années, 1 traitement aux hormones pour raccourcir les tiges,
1 dose importante d'engrais: 240 kg d'azote, 100 kg de phosphore et 100 kg de potassium à l'hectare, tout de même !
Dans le silo, après récolte, les grains sont fumigés au tétrachlorure de carbone et au bisulfite de carbone, puis arrosés au chlopyriphosméthyl. Pour la mouture, la farine reçoit du chlorure de nitrosyl, puis de l'acide ascorbique, de la farine de fève, du gluten et de l'amylase.
Ensuite, il faut faire lever la pâte.
La poudre levante est traitée au silicate de calcium et l'amidon est blanchi au permanganate de potassium.
Pas de pâte sans corps gras.
Ceux-ci reçoivent un antioxydant (pour éviter le rancissement) comme l'hydroxytoluène de butyle et un émulsifiant type lécithine.
Histoire de la Crème...
La crème sur laquelle vont reposer les cerises se fait avec des oeufs, du lait, et même de l'huile.
Les oeufs proviennent d'un élevage industriel où les poules sont nourries avec des granulés contenant des :
- antioxydants (E300 à E311),
- arômes,
- émulsifiants: alginate de calcium,
- conservateurs : acide formique,
- colorants : capsanthéine,
- agents liants: lignosulfate
- et enfin des appétants : glutamate de sodium, pour qu'elles puissent avaler tout ça.
Elles reçoivent aussi des antibiotiques, bien entendu, et surtout des anticoccidiens.
Les oeufs, avant séchage, reçoivent des émulsifiants, des agents actifs de surface comme l'acide cholique et une enzyme pour retirer le sucre du blanc.
L’histoire de la cerise complétée d'après des éléments de "Aromathérapie" Jean Valnet 1990,Maloine
Les cerisiers ont reçu pendant la saison entre 10 et 40 traitements de pesticides selon les années.
Les cerises sont :
- décolorées à l'anhydride sulfureux
- et recolorées de façon uniforme à l'acide carminique ou à l'érythrosine.
Puis, elles sont plongées dans une saumure contenant du sulfate d'aluminium et à la sortie, elles reçoivent un conservateur comme le sorbate de potassium (E202).
Les cerises sont enfin enduites d'un sucre qui provient de betteraves qui, comme les blés, ont reçu leur bonne dose d'engrais et de pesticides.
Ce sucre est extrait par :
- défécation à la chaux et à l'anhydride sulfureux,
- puis décoloré au sulfoxylate de sodium,
- puis raffiné au norite et à l'alcool isopropylique.
- Il est enfin azuré au bleu anthraquinonique.
Par ces traitements, les cerises ayant donc perdu tout leur goût, il est nécessaire d'ajouter un parfum artificiel alimentaire.
Ce parfum est une recréation synthétique du goût et de l'odeur à partir d'éléments artificiels issus de la chimie du pétrole aux prix de revient extrêmement faibles - par économie d’échelle - en comparaison du parfum naturel de fruit.
L'exemple développé est ici la cerise, mais de tels composés servent à recréer aussi bien des parfums artificiels de fraise, d'ananas, de framboise, de miel, de caramel, de muguet.. Etc.
Le parfum artificiel de cerise se compose donc des molécules synthétiques (donc à la stéréochimie inversée) suivantes :
- acétate d'ethyle
- acéthyl méthylcarbinol
- butyrate d'isoamyle
- caproate d'ethyle
- caprylate d'isoamyle
- caprate d'ethyle
- butyrate de terpenyle
- geraniol
- butyrate de geranyl - acetylacetate d'ethyle
- heptanoate d'ethyle
- aldéhyde benzoique
- aldéhyde p-toluique
- vanilline
- essence artificielle d'amande amère SAP
- essence artificielle de girofle Bourbon
- essence artificielle de cannelle Ceylan
- essence de lie de vin.
Ce texte, consacré à "la tarte aux cerises de supermarché" a été rédigé par Claude Bourguignon, un ingénieur agronome qui travailla à l'INRA, avant de quitter l'honorable maison pour cause de désaccord.
Spécialiste de la microbiologie des sols, c'est lui qui démontra, pour la première fois, que les sols cultivés à grand renfort d'engrais chimiques et de pesticides, étaient biologiquement ... morts.
Tout ce qui fait la vie, et donc la qualité des terres, à savoir les populations microbiennes et fongiques, est détruit par les produits chimiques, conduisant à une perte des nutriments et à l'érosion des sols.
Membre de la Société américaine de microbiologie - en France, il n' y a plus aucune chaire de microbiologie des sols, y compris à l'INRA! - Claude Bourguignon a créé avec sa femme le Laboratoire d'analyse microbiologique des sols, qui intervient dans de nombreux pays, pour aider les agriculteurs à retrouver la fertilité de leurs sols.
Bon appétit ! Extrait du livre "Le sol, la terre et les champs" de Claude Bourguignon, microbiologiste des sols.
Admettons que l’étude du Pr Séralini ne soit pas parfaite, elle n’est pourtant pas la seule à pointer du doigt la menace des OGM ; là, je vous renvoie sur le site Inf’OGMainsi que sur le sitedeMarie-Monique Robinauteur entre autre du filmle monde selon Monsanto
L’Agence de sécurité sanitaire(ANSES) et leHaut conseil des biotechnologies(HCB) réfutent pour des questions de méthodologieles conclusions de l’étude du professeur Gilles-Eric Séralini sur la toxicité d’un maïs transgénique et demande une étude européenne globale sur l’effet des OGM.
Ces deux agences demandent une étude européenne globale sur l’effet des OGM mais en attendant doit-on continuer à consommer des OGM sans inquiétude ?Combien de temps doit on attendre cette étude complète 5 ans, 10 ans, 15 ans ?Que fait-on du principe de précaution ?
Puis une autre question me vient à l’esprit,peut-on se fier aux instances en charges des évaluations ?
Sans vouloir discrédité le sérieux l’ANSES et le HCB, on peut quand même se demander si les instances qui sont en charges d’évaluer un produit quelconque sur la base d’un rapport remis par l’industriel lui-même le font toujours librement et sans pression extérieur.
Assemblée nationale : de nombreux industriels, fédérations et cabinets de lobbying ont un droit d’accès qui leur permet de faire valoir leurs intérêts directement auprès des députés. Le site internet de l’Assemblée nationale publie d’ailleurs cette listeen toute transparence.
En sachant cela, Monsanto a-t-il envoyé ses plus fervents défenseurs des OGM pour contrer l’étude du Pr Séralini.
Le 27 février 2012 : Pour améliorer la productivité agricole, le milliardaire philanthrope plaide pour une « révolution numérique » et l’utilisation massive d'OGM. Source :JOL Press
Monsanto entend souligner que les produits visés par l’étude en référence ci-dessus ont fait l’objet de multiples évaluations réglementaires dans le monde entier. Ces évaluations ont toutes unanimement confirmé la sécurité du maïs NK603, ainsi que la sécurité du glyphosate et du Roundup ®.
Peut-on réellement faire confiance aux agences en charges des évaluations ?
Le samedi, 06 octobre 2012 : OGM : l'agence européenne aux doubles casquettes
L’Agence européenne de sécurité alimentaire (EFSA) se prend les pieds dans la déontologie.
L’un des deux scientifiques consultés pour rédiger le préavis assassin de l’EFSA sur la recherchede Gilles-Eric Séralini le 3 octobre dernier est le britannique Andrew Chesson.
Or c’est le même Andrew Chessonqui, avec Gijs Kleter, avait préparé le brouillon d’avis (draft)sur lequel le panel de l’EFSA avait voté positivement le 25 novembre 2003. Et qui concluait à l’autorisation de mise sur le marché du maïs NK 603.
Ainsi le même expert qui prépare l’argumentaire de l’Avis en faveur du feu vert à la commercialisation du NK 603 estprécisément le conseil scientifique, le Pair, de ceux qui doivent se prononcer sur l'étude qui met en évidence sa toxicité !
Le 12 octobre 2012 : Quatre agences européennes épinglées pour conflits d’intérêts
Jeudi 11 octobre, unrapport d’auditde la Cour des comptes européenne montre de graves conflits d’intérêtsau sein d’instances communautaires cruciales dans la protection de la santé et de la sécurité alimentaire.
La médaille d’or pour de graves conflits d’intérêts revient à : l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA)
Certains députés ont-ils peurs d’être accusé de corruption, de conflits d’intérêt ?
Le 17 octobre /2012 : Les députés font le ménage dans la liste des lobbyistes
Selon nos informations, les représentants des entreprises agrochimiques comme Monsanto et des laboratoires pharmaceutiques vont se voir retirer leur badge d’accès à l’Assemblée nationale.