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COMMUNICATION - Page 28

  • Cote d’Ivoire : qu’elle intérêt pour la France?

    Cote d’Ivoire…  Autre sujet qui par la manière dont on nous l’a présenté à mis mes sens en éveil.

    De quel droit, nous proclamons :
    - « le président du pays est…  ? »

    Si lors de nos élections en 2012, un disfonctionnement apparaissait que se passerait il ? Est-ce l’ONU qui trancherait?

    Grâce à  l’appui français Laurent Gbagbo est arrêté,  Alassane Ouattara peut enfin se proclamer Président de la cote d’ivoire.

    Pourtant nombreux sont ceux qui dénoncent une élection des plus douteuses.

    Voici quelques exemples :

    Extrait de : 

    L'intelligent d'Abidjan

     Contentieux électoral / Aziz Pahad, ex-vice ministre sud-africain :
    Quelle est la vérité en Côte d’Ivoire?
     

    Les Etats-Unis et le gouvernement français ont impliqué plusieurs gouvernements et certains non légitimes de sorte à forcer Gbagbo à organiser les élections foulant au pied les accords signés.

    La CEI a failli à sa mission dans le délai prévu de 72 heures et le Conseil Constitutionnel a déclaré hors délai ses informations permettant au Conseil Constitutionnel d’achever le processus.

    Malgré le délai de publication passé ou poursuivant le travail de la CEI, le président s’est rendu de son propre chef dans le QG de Ouattara et a annoncé que Ouattara a gagné les élections.

    Selon la constitution, le Conseil Constitutionnel est la seule institution autorisée à le faire.

    Le représentant de l’Onu qui est n’est pas mandaté par l’Onu ou par l’Union Africaine a agi en violation des accords signés par les deux parties dans le conflit.

    L’Onu était de permettre le bon déroulement des élections ‘’libres et transparentes’’ et non de proclamer les résultats.

    La mission a enregistré de ‘’sérieuses irrégularités’’ dans plus de 70 bureaux de vote dans le nord. Le rapport fait savoir que ‘’ces sérieux événements prouvent que le processus de dépouillement à Bouaké, Korhogo, Ferkessedougou, Samatiguila et Mankono et dans bien de localités, n’a pu se tenir dans la transparence’’. Le rapport conclu qu’elle ne peut garantir ‘’l’honnêteté des résultats’’.

    Une équipe d’observateurs indépendants de l’Afrique de l’Ouest après avoir visité 620 bureaux de vote, elle a enregistré des actes de violences et autres sérieuses violations du code électoral, et ‘’confirme que la crédibilité du second tour (dans les localités visités) est mise en doute’’.

    Jean-Marie Ngongjibangte du Cameroun, chef de la mission d’observateurs du Cameroun, Sénégal, Benin, Mali, Morocco, Gabon et Togo soutient qu’il y a eu plusieurs problèmes dans la validation du processus électoral:

    Au vu de tout de cela, nous déclarons que le second tour de l’élection n’était pas libre, juste et transparente dans ces localités”.

    Cependant, les gouvernements français et américains et le Secrétaire général de l’Onu ont intensifié leur campagne pour la chute de Gbagbo.

    L’indépendance et la souvérainété de tous les Etats Africains sont en train d’être menacé. Dans l’intérêt de l’Afrique et dans nos efforts pour consolider le processus démocratique en Afrique, il est impérieux que nous ne succombions pas pour des programmes anti démocratiques qui viennent de l’extérieur du continent.

      

    Source :  Ici      

     

    Autre exemple :

     

    Extrait de la :

    LETTRE OUVERTE A HILLARY CLINTON

     

    Laurent Gbagbo est en fait le vainqueur de l’élection présidentielle

     Par James M. Inhofe, Sénateur des États-Unis d’Amérique

    Je vous écris à nouveau au sujet de mes sérieuses préoccupations sur le déroulement du second tour de scrutin pour l’élection présidentielle qui s’est déroulée en Côte d’Ivoire le 28 novembre 2010

    Comme je l’ai dit dans ma lettre du 9 Février 2011, c’est la Commission électorale indépendante (CEI) de la Côte d’Ivoire qui a déclaré Allassane Ouattara gagnant.

    En vertu de la Constitution de la Côte d ’Ivoire, c’est le Conseil constitutionnel de Côte d’Ivoire et non la Commission électorale, qui certifie et déclare le vainqueur de l’élection présidentielle.

    En outre, la Commission électorale a annoncé le vote final dépasse de presque 16 heures après l’heure prescrite par la Constitution pour signaler de tels résultats. Cette phase des élections la plus importante n’a pas été effectuée conformément à la constitution de ce pays.

    Un deuxième aspect troublant de ce deuxième tour de scrutin est les allégations crédibles de fraudes électorales massives- pour un montant de plusieurs centaines de milliers de voix dans le décompte du nord de la Côte d’Ivoire. J’ai reçu des preuves de ces allégations et vous l’a envoyé dans ma lettre précédente, mais n’ont pas encore reçu de réponse.

    Les éléments de preuves inclus permettent d’évaluer le nombre de circonscriptions où, lors du premier tour de scrutin, le Président Laurent Gbagbo a reçu plusieurs milliers de votes, mais au second tour, il n’aurait reçu aucune voix. Je trouve très troublant cet élément de preuve évidente de la fraude à grande échelle.                                    

    Les centaines de milliers de bulletins potentiellement frauduleux, combinés avec la méthode inconstitutionnelle par laquelle les votes ont été dépouillés et annoncés par la Commission Électorale Indépendante, m’amènent à conclure que l’élection n’était pas libre et équitable. Je conclus également que de nouvelles élections présidentielles devraient se tenir sous peine de sanctions internationales avec une supervision pour assurer une élection libre et équitable. 

     Source :   decapactu     


    Avec ces disfonctionnements n’auraient ils pas mieux valu  un recomptage comme pour les élections présidentielle de 2000 George W. Bush contre Al Gore 

    , ou pourquoi pas, de nouvelle élection comme  le proposé le sénateur James M. Inhofe.

    Pourquoi cette volonté féroce de la part des USA, l’ONU et de la France à voir Alassane Ouattara devenir Président de la cote d’Ivoire ?

    Alors voici peut être un élément de réponse :

     

    Dans le magasine  « Challenges » N° 251 dans la rubrique Actualité international : Le président de la cote d’Ivoire devra faire des miracles. Ce qu’on  apprend sur la personnalité de :

      Alassane Ouattara  

    ü           Brillant économiste formé dans les universités américaines.

    ü           1993, Premier Africain à accéder à l’état-major du FMI,

    ü           Homme préféré des hommes d’affaires (les actionnaires de fonds internationaux  ne pouvaient pas rêver de mieux)

    ü           Marié à une Française propriétaire d’un groupe immobilier (AICT) implanté en France et en Afrique.

    ü           Proche de Martin Bouygues pour lequel ils ont en côte d’Ivoire (comme par Hasard) une relation d’affaire dans l’eau et l’électricité.

    ü           Soutenu par l’américain George Soros, qui aurait financé sa campagne électorale. 

    ü           Appui des multinationales américaines du cacao, qui ont suivi son appel à stopper les exportations pour asphyxier Laurent Gbagbo.

     

    Les motivations Américaines, Française seraient elles une histoire de dollars ?  http://gifs.toutimages.com/images/objets/argent/argent_014.gif 

     

    Quoiqu’il en soit, les dollars que peuvent rapporter ce Président sont bien plus importants que les massacres dont est accusé Alassane Ouattara par l’ONU.

     

    Cela ne gêne personne qu’un pays réputé pour ses droits de l’homme colonise, assassine etc juste pour le profit. Notre identité national n’était elle pas France terre n’accueil ?  Voulons nous qu’à travers la planète les gens disent : France envahisseurs !

      

    Après

     la Libye, la Côte d’Ivoire

    à

    qui le tour ?

      

    Info supplémentaire :

     

    Quand Paris boudait Ouattara à cause de sa femme française.

     

  • Téléphone portable, lampe basse consommation sans danger ???

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    Image provenant : http://gifs.toutimages.com/images/bureautique/telephones/telephone_026.gif

     

     

    Le 6.07.2008, j’éditais une note intitulé « Téléphone portable et risque de cancer : l'état des connaissances » Le Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports, dans un communiqué daté du 2 janvier 2008 rappelle donc les conclusions de l'expertise nationale et internationale sur ce sujet : aucune preuve scientifique ne permet aujourd'hui de démontrer que l'utilisation des téléphones mobiles présente un risque notable pour la santé, que ce soit pour les adultes ou pour les enfants…

     

    Pourtant…À partir du 15 avril 2011, il sera  obligatoire   d’Afficher le  rayonnement électromagnétique des téléphones mobiles afin que chaque consommateur puisse être informés du niveau d’exposition aux champs électromagnétiques émis par les téléphones mobiles.

     

    L’affichage de la valeur du Débit d’absorption spécifique (DAS) qui correspond à la dose d’énergie absorbée par le corps lors de l’exposition aux radiofréquences devient en effet obligatoire sur tous les lieux de vente mais aussi sur toute publicité. La valeur du DAS est exprimée en watts par kilogramme. La réglementation française impose que le DAS ne dépasse pas 2 watts par kilogramme.

    Source : Service public

     

     Soyez sur que le principe de précaution n’a rien à y voir, ils assurent  juste leurs arrière.

    A partir du moment où vous êtes informés des dangers, si, demain vous développez une tumeur ou autre, vous ne pourrez pas demander des dommages et intérêts.

     

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    Image provenant : http://gifs.toutimages.com/images/objets/lumiere/lumiere_008.gif

     

    Revenons également sur la note du 26.01.2010 « DEVINETTE,  Quelle différence entre » où, je tentais de vous alerter sur les dangers que représentaient les lampes basses consommations (Lampe exigeait par l’Union Européenne)

    Aujourd’hui la Commission de la sécurité des consommateurs vient de mettre en ligne un Avis relatif concernant les risques liés à l’utilisation des lampes fluocompactes en milieu domestique 11/10 et 01/11. Pour ne pas faire une note trop longue, je vous ai juste sélectionné ce que la Commission recommande :

     

    Elle  préconise :

     

    1.        Aux pouvoirs publics

        De déterminer, éventuellement en liaison avec les autres Etats membres de l’Union Européenne, les valeurs maximales d’exposition aux vapeurs de mercure dans l’air ambiant, à court et à long terme, acceptables pour l’ensemble de la population et notamment les jeunes enfants.

        De demander la révision de la directive 2002/95/CE du 27 janvier 2003 afin de tenir compte des progrès techniques accomplis depuis la date de parution de cette directive et de la présence sur le marché de lampes affichant une quantité de mercure inférieure à 2 mg.

        De procéder à des vérifications du marquage de la quantité de mercure portée sur les emballages des lampes fluocompactes comme le définit le règlement européen 244/2009.

        De prendre des dispositions pour que l’éco-organisme agréé, charger notamment d’organiser la récupération et le recyclage des lampes fluocompactes usagées, assure effectivement la collecte des tubes et lampes cassés.

        De s’assurer que le respect des valeurs limites, définies pour la sécurité sanitaire de la population générale au regard des risques liés aux rayonnements électromagnétiques, offre également toutes les garanties utiles aux porteurs de dispositifs médicaux implantables et de prothèses électriques.

    2.      Aux fabricants

        D’adopter des technologies de fabrication des lampes fluocompactes permettant, d’une part, de diminuer la quantité de mercure très en deçà de la limite réglementaire actuelle de 5 mg et, d’autre part, de réduire l’intensité des rayonnements électromagnétiques parasites émis par ces lampes.

    3.     Aux distributeurs

        De mettre à la disposition des consommateurs des lampes fluocompactes contenant des quantités de mercure les plus faibles possibles.

        De développer leur participation à la collecte et au recyclage des tubes fluorescents et des lampes fluocompactes usagés, même brisés, réalisés par l’éco-organisme agréé.

    4.    Aux consommateurs

        De privilégier, au moment de l’achat, des lampes affichant des quantités de mercure les plus faibles possibles.

        D’éviter d’utiliser des lampes fluocompactes dans des situations où le risque de casse est élevé (par exemple lampes dites baladeuses) ou de les stocker dans des lieux dans lesquels le bris d’une lampe pourrait avoir des conséquences sur la santé de personnes sensibles (chambre d’enfant par exemple).

        De déposer les tubes fluorescents et les lampes fluocompactes même cassés, dans un des bacs de collecte prévu à cet effet.

    En cas de bris d’une lampe fluocompacte ou d’un tube fluorescent :

          De réaliser une ventilation prolongée et de quitter la pièce concernée ;

          Ultérieurement, de ramasser le plus soigneusement possible les débris de la lampe à l’aide de gants et de papier ménager absorbant, en évitant absolument le recours à l’aspirateur ainsi que, dans une moindre mesure, au balai, pour éviter de mettre en suspension des particules de mercure ;

          de placer ces débris dans des sacs en plastique en évitant de percer ces derniers avec les morceaux de verre ;

          De déposer ces déchets dans l’un des points de collecte équipés de bacs de récupération de tubes fluorescents et de lampes fluocompactes en fin de vie.

        De respecter une distance de précaution prenant en compte notamment l’avis de l’ADEME publié en juin 2010, qui recommande, en cas d’utilisation prolongée, de se maintenir à une distance minimale de 30 cm d’une lampe fluocompacte. Dans l’attente des résultats des vérifications demandées aux pouvoirs publics par la dernière recommandation qui leur est adressée, cette distance de précaution devrait être particulièrement respectée par les porteurs de dispositifs médicaux implantables et de prothèses électriques.

    Source : Commission de la sécurité des consommateurs  

     

    Il temps d’arrêter de se dire «  S’ils le vendent, c’est que ces sans danger ! ». L’affaire du médiator a encore prouvé que nous sommes gouvernés par des gens où seul l’argent compte.

    Et pour ceux qui en doute encore alors voici...

    Corruption des députés Européens

     

  • Des échantillons de lait français et américain contiennent des traces d’iode 131, en provenance de Fukushima.

     

     http://img.over-blog.com/250x250/3/26/82/45/00000-FUKUSHIMA-actu-info-direct-suivi-live/FUKUSHIMA-quoi-de-neuf-2-N--7.jpg

     Image provenant : http://img.over-blog.com/250x250/3/26/82/45/00000-FUKUSHIMA-actu-info-direct-suivi-live/FUKUSHIMA-quoi-de-neuf-2-N--7.jpg

     

     De l’iode 131 a été détecté dans des échantillons de lait en France et aux États-Unis, rapportent simultanément l’Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) et l’Environmental Protection Agency américaine. Les résultats d’analyses confirment que cet isotope radioactif provient des rejets de la centrale nucléaire de Fukushima. Les doses retrouvées sont toutefois très faibles et non toxiques (non toxique, info ou intox ?).

     

    L’analyse d’échantillons de lait effectuée le 25 mars en Loire-Atlantique (qu’en est il aujourd’hui le 02/04 ?) par l’IRSN fait état d’un taux inférieur à 0,11 becquerel par litre (Bq/l). Des prélèvements opérés à la même date à Spokane, dans l’État de Washington, situé sur la côte ouest des États-Unis, montrent un taux de 0,029 becquerel par litre.

     

    Ces résultats sont supérieurs à la normale puisqu’en temps ordinaire aucune trace d’iode 131 ne doit être décelable dans le lait. Ils demeurent toutefois « 5.000 fois inférieurs au taux d’intervention déterminé par la Food and Drug Administration (FDA) », indiquent nos confrères du New York Times. Ce seuil à ce jour est établi à 170 becquerels par litre.

     

    Rien à voir avec Tchernobyl !

     

    Par ailleurs, précisons que ces doses d’iode 131 restent bien en deçà des valeurs observées en mai 1986 en France, un mois après l’accident de Tchernobyl. « On avait détecté 100 becquerels par litre dans le lait à cette période » (Et dire que l’on nous avait dit que le nuage n’était pas passé par la France), indique Philippe Renaud, chef du Laboratoire d’études radio écologiques en milieux continental et marin à l’IRSN. Il rappelle également que « le lait est un des aliments les plus sensibles à la contamination radioactive, après les légumes à feuilles. Il est contaminé par le biais de l’herbe chargée d’isotopes radioactifs et consommée par les vaches ».

     

    L’iode 131 a une demi-vie de huit jours. En d’autres termes, il perd la moitié de sa nocivité en une semaine. Cet isotope radioactif est particulièrement toxique lorsqu’il est absorbé par la thyroïde. En cas d’exposition massive, les autorités sanitaires peuvent demander à la population visée d’absorber un comprimé d’iodure de potassium. Celui-ci sature alors la thyroïde, réduisant ainsi le risque de cancer. En revanche, il est tout à fait déconseillé – et potentiellement dangereux – d’absorber ce médicament sans y avoir été invité par les autorités.

      

    Source Futura-Sciences :  ici